« Je suis une citation ou des paroles de chanson par exemple. »
Signes de reconnaissancefeat. PERSONNAGE de 尾方富生 Tomio Ogata @ExtraVirgin_OO
Visage: Mâchoire carrée encadrée par une barbe rasée au couteau, une bouche légèrement pulpeuse habituée à afficher des sourires multiples, un nez en trompette, un peu tordu dont la bosse sur l'arête est assez prédominante, signe qu’il a été cassé plusieurs fois. Des yeux expressifs se cachent sous des sourcils broussailleux tous de noir vêtus. Son visage est encadré par deux grandes oreilles légèrement décollées. Le tout est porté par un long cou épais réceptionné par des épaules tout aussi large.
Cheveux: D’un noir de jais, assez long, ils finissent souvent en dreadlocks pour éviter de les coiffer. Ils sont beaux naturellement, c’est ce qu’il préfère de son apparence.
Musculature:Taillé dans le roc, il a une musculature de combattant. Marqué par des heures d'entraînement intensives, il n’a pas un corps discret. Ce n'est pas à lui qu'on demanderait à passer par les tuyaux d'aération ! Par contre si vous avait besoin d'un videur, il est totalement taillé pour ! ...
Allure générale:Son visage affiche rarement une colère froide, ouvert aux autres, en bon camarade, le sourire est de mise, mais tel une météo capricieuse cela peut changer en un instant. Bombe à retardement ou pile ambulante, vous pouvez choisir le terme qui lui correspond. Certainement les deux... D'une apparence décontractée, vous le verrez toujours en mouvement même quand il dort, il s'agite ! D'après lui, c'est pour mieux faire partir son poing ou une autre partie de son corps s'il doit donner un coup !
Détails sur la tenue: Le même tenu classique que tout le monde, mais dès qu’il le peu, il se met torse-nu ou alors seulement avec le marcel blanc qu'il porte bien souvent en dessous. Il aime aussi retrousser ses manches des bras et des jambes. Pourquoi ? Il ne sait pas trop... Ça lui fait un style !
Signes distinctifs: Il avait un piercing à la langue qu’il a dû enlever à son arrivée. Il a aussi un tatouage tribal qui lui prend tout son dos et descend sur ses fesses, il aurait aimé le continuer sur ses jambes, mais il n’a pas eu le temps... Peut-être le continuera-t-il en prison.
Autres: C’est déjà pas mal tout ça .. Que voulez-vous d’autres ? !
Dossier mentalQualités:Charismatique ; Courageux ; Débrouillard ; Énergique ; Loyale , sociable et travailleur.
Défauts: Égoïste; possessif; brute ; colérique ; impatient ; Jaloux ; Têtu et impulsif
Orientation sexuelle:Homosexuel
Comment gère-t-il l’hostilité ? Et bien vu que c'est en partie du fait qu'il ne gérait pas bien l'hostilité qu'il est ici, on peut dire que la gestion de celle-ci est très mauvaise ! L'isolement, c'est son deuxième quartier ! Ne lui piquez pas son pain au réfectoire au risque de devoir vous rendre à l'infirmerie en raison d'un plateau encastré dans votre crâne ! Mais depuis quelque temps, il s'améliore. Le psy lui donne des techniques et plusieurs personnes de son entourage sont à même de le calmer.
Que pense-t-il de l'écart de privilèges entre les colonies et les Terriens? Comme il dirait, il s’en bat les couilles, mais nous resterons polis et traduirons par : il préfère vivre sa vie et il se moque d’une situation qui de toute façon, il ne pourra pas changer ! Déjà, si l’homme pouvait travailler sur les privilèges qu’il accorde à certaine couleur de peau se sera déjà bien, mais comme l’homme est une sale race, il n'y a pas de raison de discuter sur le sujet !
Quel est son plus grand rêve? Pouvoir contacter son ex afin de s’excuser et entendre son pardon.
Quel est son pire cauchemar? Difficile de tomber plus bas, mais à choisir un cauchemar, ce serait de se faire rejeter par les Blast devenus sa famille et par son premier codétenu. Vivre en solitaire, c'est pas du tout pour lui !
Quel est son but en prison?Vivre, c’est déjà bien !
Description générale: [250 mots minimum] Jaril pourrait être comparé à un animal sauvage apprivoisé avec le temps. Il aime le contact pour affirmer sa présence soit par les câlins, soit plus violemment par les poings ou les pieds lorsque la colère prend le dessus. Il a le sang chaud, mais très sociable, vous le verrez souvent affublé d’un sourire qui peut se décliner de plusieurs manières : narquois, moqueur, aguicheur, joueur mais guère sournois. Jaril n’est pas du genre à mentir ou à calculer dans l’ombre, il préfère vous faire face et vous dire directement ce qu’il pense, peut importe les conséquences. Il peut lâcher une bombe sans même se rendre compte des répercussions que cela pourra avoir sur autrui.. S'il doit le dire il le fait point !
Même si les Blast restent la priorité, il aura tendance à se faire passer en premier. On lui a appris depuis tout petit à ne pas faire confiance aux autres et à survivre par ses propres moyens alors difficiles de penser aux autres ! La priorité, c’est lui pour rester vivant ! Une tendance qui tend à décliner ses dernières années avec les rencontres qu’il a eues. Certes, c’est une tête brûlée qui agit avant de réfléchir, mais il reste loyal aux gens qu’il choisit de suivre. Il obéira sans poser de question. Parfois, il place son avis, mais comme simple remarque. Ce n’est pas lui la tête pensante, il fait ce qu’on lui dicte de faire. Pour lui, il y a toujours des personnes plus compétentes pour savoir ce qui est bon pour lui et le groupe. Lui, il est le bras armé, la force qu'on exploite. Parfois, il se conforte dans cette loyauté pour se brider au risque de se perdre dans la folie destructrice. Certaines voix le stoppent direct…
S’il est loyal, il en attend pas moins des autres, plus il est attaché à une personne plus il est possessif et jaloux. Protecteur au point ou cela peut être parfois étouffant si on le remet pas à sa place rapidement. Il est du genre à penser que tous les autres sont faible et sont soit à protéger soit à massacrer, car ils ne méritent pas de respirer le même air que lui. Mais il n'est pas totalement fermé et on peut lui faire découvrir de nouvel horizon !
On peut lui reprocher bien des choses, mais pas son travail ! C’est un bosseur ! De toute façon, il préfère être actif que de glandouiller sur son lit. Vous le verrez pratiquement toujours en mouvement, que ce soit pour s'entraîner, pour les Blast ou pour la prison. Il n’a peur de rien ou de pratiquement rien, peut être un peu accro à l’adrénaline, les combats lui manquent, il faut dire. Mais pour ça, il peut compter dans les nombreuses bagarres qui éclatent par-ci par-là en prison.
Bridé par la pauvreté et son éducation, Jaril possède un certain côté candide. Il aime s'amuser et quand il découvre de nouvelle chose, vous pouvez voir l'éclat enfantin dans ses yeux. Il en ressort un côté fanfaron quand il réussit quelque chose qu'il n'avait jamais fait avant.
Historique...
Ce qui avait de bien quand on était enfant, c’était que tout à l’air normal, amusant, intriguant... Lorsque le psy de la prison demanda à Jaril comment il avait passé son enfance, il répondait tranquillement que c’était une enfance normale avec les jeux dans les rues de son quartier, les chamailleries entre frères... Il n’avait pas vraiment connu sa mère, morte en donnant naissance à son frère. Il se rappelait seulement de son odeur épicée, de ses histoires avant de se coucher avec sa voix grave..De ses larmes quand son frère venait... Mais la femme qui la remplaça était tout aussi douce, elle faisait de bons petits plats, les abreuvait de câlin alors il n’avait pas à se plaindre de son enfance ! Et puis quoi de plus normal de se faire battre par l'ainé de la famille lorsqu'on faisait une bêtise, quand on disait un mot de travers ! Chez lui, c'était son oncle qui gérait. Son père était trop souvent absent pour ramener de l’argent. Son oncle, c'était le petit chef du coin de bidonville dans lequel il logeait, il tenait une affaire, vente de stupéfiant. Mais il n'avait pas vraiment de famille, sa sœur lui en avait donné une. Il s'était proclamé roi de la maisonnée en se moquant bien du père qui était très effacé.. Un bon bougre qui se faisait bouffer !
Rapidement, les enfants travaillaient pour la communauté. C’était classe de faire comme les adultes. Être guetteur, une grande responsabilité, un pas dans le monde des adultes ! Puis jouer au grand avait un succès fou, comme échanger des fausses cigarettes, trainer avec une cigarette derrière l’oreille pour faire genre, se battre pour montrer qui était le plus fort... La grande fierté, c’était le moment où on vous donnait votre première mission en solo ! Généralement, c’était d’aller livrer un colis contre de l’argent .. Vous ne savez pas ce qu’il contenait mais c’était trop cool de récupérer de l’argent .. Vous vous rapprochez du monde des adultes... Non, il y avait pas à dire, il n’avait pas vécu une enfance malheureuse !
La seule chose qu’il regrettait un peu, c’était de ne pas être allé à l’école pour apprendre à lire et écrire... Mais ils n’avaient pas les moyens et il y avait rien de mieux que l’école de la rue ! Enfin, c’était ce que disait son oncle en le secouant quand il lui parlait d’apprendre ... Cependant, maintenant, grâce à son colocataire de cellule, il a appris à écrire son prénom et son nom de famille. Et ça, il en était tout fier !
À dix ans lors d’un jeu débile dans le genre action ou vérité, il embrassa un de ses potes et se fut une révélation... Il avait déjà embrassé des filles et ça l'avait laissé de marbre même comme tout enfant, il avait trouvé ça dégoutant et ce n'était pas ce qu'il préférait quand ils imitaient les adultes. Mais ce baiser, c'était WOUAH, c'était une palpitation dans son bas-ventre , une découverte, une illumination... Il était émerveillé par cette trouvaille. Mais il fit l’erreur d’en parler à table avec l’innocence de l’enfance qu’il avait. Il vit aux yeux écarquillés et à l'air apeuré de sa belle-mère que c'était une mauvaise idée. Il n’eut pas le temps de se protéger que les coups tombèrent. Il eu de la chance ce soir-là.. Il s’en sortit de justesse grâce à sa mère d'adoption qui réussit à le calmer. Il ne reparla plus de sa sexualité en famille... Il mit du temps à s’épanouir de ce côté-là, mais après avoir rencontré Taha, l’homme qui lui fit connaître la passion, l’amour et la beauté de la vie, il n’avait plus de raison de le cacher surtout après être devenu assez fort pour se défendre.
Après avoir vu toute son enfant les gens être frappés quand quelque chose n’allait pas, de voir les autres se mettre à tabac parcequ’ils avaient pas respecté le temps pour payer ou autre, Jaril accumulait encore et encore une certaine violence. Il était naturelle de suivre un modèle, une normalité ...Un copain qui ne voulait pas lui prêter un jouer ? Paf un coup dans le nez pour le lui prendre ! Perdre un jeu ? Bim dans la mâchoire ça lui apprendra à avoir cet air si satisfait. Son père trop gentil essayait tant bien que mal de lui apprendre que la violence ne résoudrait rien, mais il s’effaçait automatiquement devant son oncle qui lui encouragea sa rage par sa propre violence. Il était une boule de nerf ambulante, un chien enragé !
Lors d’une bagarre de rue qui ne commençait pas très bien pour lui, il rencontra Bilal, un gars qui tenait une salle de sport et qui servait davantage aux combats de free fight illégaux ! Enfin pour ce que la police surveillait dans ses bas-fonds ... Il l'aida, le tirant d'affaire et lui fit découvrir un nouveau monde. Il le prit sous son aile et lui appris à se battre de manière plus efficace. C'était aussi un moyen de contrôler sa brutalité. Il façonna son corps pour qu’il devienne une arme. Jaril garda un temps le secret, de crainte que cela ne plaise pas à son oncle. Et puis plus il se renfonçait, plus il avait l’espoir de lui en mettre plein la tronche et il ne pouvait cacher une activité qui sculptait autant son corps.
Taha, Taha…. Que dire à son propos pour exprimer toute l’ampleur qu’il a pris dans la vie de Jaril. Au premier regard, il a ensoleillé sa pièce. Il avait l‘impression d’avoir le souffle coupé. Ce fut un coup de foudre... Enfin physique au premier abord, car la première approche ce ne fut pas trop ça... Même s’il venait de la même colonie, du même quartier, ils n'avaient pas eu la même éducation ni la même approche de la vie... Alors leur première rencontre ne s’est pas bien déroulé, enchaînant quiproquo sur quiproquo, gaffe sur gaffe ! Mais après plusieurs rencontres, que chacun ait appris à connaître l’autre, l’amour naquis. Le genre d’amour qui a toute sa place dans un livre. Ils étaient bien ensemble, ils se complétaient, ils se soutenaient, s’aidaient. Ils avaient trouvé une harmonie dans leur câlin, une douceur dans leur caresse et la passion dans leur baiser. Leur histoire dura près de 12 ans ! Ils y ont cru, ardemment, qu’ils finiraient leur vie ensemble. Jusqu'au bout, ils y ont cru que ce qu’ils avaient vécu, c’était l’amour avec un grand A, celui qu’on connaît qu’une fois dans sa vie. Celui qui dure pour toujours... Quelle naïveté ! Ils n’avaient malheureusement pas prévu qu’un événement allait les séparer tragiquement et à jamais !
Même s’il continuait à travailler pour la communauté, pour son oncle, car il était impossible de sortir de la famille, son ascension dans le milieu du free-fight était assez remarquable. Il était rentré dans le milieu alors âgé de 13 ans et il gagna petit à petit une renommée dans le milieu. Il se fit un nom, se forgea une réputation et à 29 ans avant le drame, il possédait une petite célébrité..
Sur 64 combats 59 victoires ; 1 exequo ; 4 défaites ..
Oui Jaril et Taha pensaient vivre une idylle loin de toutes emmerdes, mais il était naïf de croire que la société allait les laisser tranquille surtout dans le milieu dans lequel ils vivaient. Ils avaient eu le courage de ne pas cacher leur relation souhaitant normalisée leur amour. Cependant, peu de monde dans leur colonie et particulièrement dans leur quartier était prêt. Jaril pensait qu’après-avoir démontré sa force, il serait tranquille. Pourtant, un soir à la fin d’un combat dont il avait été victorieux, fier de rejoindre Taha à l'arrière de la salle qui n'appréciant pas les combats de son compagnon, l'attendait comme à ses habitudes en fumant une clope à l’arrière, Jaril se retrouva face à une scène qu'il aimerait effacer à jamais de sa mémoire. Jaril ouvrit en grand la porte de derrière prêt à sauter dans ses bras et lui offrir le baiser du siècle. Il se figea directe quand il le vit affalé par terre le visage en sang déformé par les coups. Il ne pouvait se détacher de la scène, restant longuement immobile... C'est seulement lorsqu'il se précipita à son chevet qu’il remarqua son pantalon baissé au genou son boxer déchiré... Il ne savait pas comment réagir face à cette scène. Il respirait faiblement, à semi-concient, mais Taha réussit tout de même à serrer la main de Jaril pour qu’il se focalise sur lui. Jaril appela les secours et resta avec lui jusqu’à l’hôpital. On dut le forcer à rentrer chez lui. Il ne voulait pas l’abandonner. Il devait savoir s'il allait bien. Il revient tous les jours, la colère tapie en lui ne faisait que s'étendre silencieusement. Il désirait massacrer ce qui avait fait ça à son amour. Au début, il était persuadé que c’était son oncle, mais pour une fois il avait rien fait. On ne s'attaquait pas au membre de sa famille, et même si son oncle ne voyait pas d’un très bon œil cette relation, le traitant dès qu'il le pouvait de tapette et tous les noms vulgaires associés, il ne lui aurait pas fait ça ! Surtout, que son neveu faisait du bon boulot pour la famille.
Dès que Taha put parler, il lui fit jurer de ne pas chercher à le venger. Il avait besoin de lui à ses côtés.. Mais les mots qui sortirent de la bouche de Jaril n’était qu’illusion, de simple mot rassurant pour que Taha puisse guérir en toute sérénité ! Il n’était pas question qu’on touche à ce qu’il lui appartenait, qu’on l’humilie de la sorte ! Taha ne méritait pas ça...et le voir frisonner et reculer dès qu'il approchait un peu trop ses doigts de sa peau était insuportable.
Il ne lui fallut pas longtemps pour trouver qui avait fait cela, il avait les bonnes connaissances pour se renseigner facilement. C’était un autre combattant de freefight qui l’avait eu mauvaise d’avoir perdu et avait voulut associer sa venger à un message de haine. Il n’attendit pas un prochain match pour se venger. À quoi bon attendre, Jaril n'en pouvait plus ! Il avait besoin d'exprimer sa rage. Se fut un massacre. L'homme eu beau essayer de se défendre, il était rapidement devenu une loque humaine. L'homme fut battu à mort et quand on réussit à l’éloigner du corps, il avait passé l'arme à gauche depuis quelques minutes déjà.
Il fut arrêté, jugé et condamné.
Taha ne vient pas au procès. Il ne pouvait certainement pas le supporter. Avait il eu l'impression d'être abandonné, trahis ? Jaril le chercha pourtant dans la salle mais jamais il n’accrocha son regard. Il l’avait fait pour lui ! Mais Est-ce qu’il le comprenait ? C’était par amour ... Mais Taha ne le comprit pas ou Jaril ne comprit pas que ce n’était pas ce que voulait Taha. Il était dans le déni pour se conforter dans l'idée qu'il avait pris la bonne décision. Il passa par tous les stades. Il en vient à le haïr un peu, à se mettre en colère contre lui avant d’intérieurement supplier à ce qu’il vienne le voir une dernière fois avant que le jugement tombe. Il avait besoin de le voir, de voir qu’il allait bien ! Mais il ne revit plus Taha et il devait bien se faire à l'idée que c'était terminé entre eux.
Il a fallu s’endormir pour se réveiller dans un endroit paumé dans l’espace... Une prison où il était impossible de s’évader à moins de voler un vaisseau. Le réveil, ce n'était pas le meilleur qu'il eut, comme après une très grosse cuite, un peu agar, les repères perdus. Il fallait s’habituer à un nouvel environnement, se faire une place ...Il devait très vite se trouvait des relations pour ne pas être mis de côté, il repéra rapidement un pauvre bougre qui n’avait vraiment pas l’air dans son assiette pire que lui. Il semblait chavirer. Il l’attrapa le soutenant. Cette action qui au départ n'était qu'une intention égoïste afin de pouvoir redemander un service par la suite fit finalement partie de ses meilleures idées, naissance d'une belle amitié. Il se trouva que l'homme était son futur co-détenu...
Jaril avait toujours vécu au sain d’un gang, il était donc naturel pour lui d’en trouver un en prison et quoi de mieux que les Blast ? Ce gang se rapprochait au mieux de ses idées et de la manière de faire de son oncle. Travailleur et loyal, n'hésitant pas à réaliser les tâches ingrates, il montra rapidement son dévouement au groupe. Après quelque temps en atelier pour apprendre un boulot, il se trouva un travail qui permettait d'aider les Blast dans leur affaire. Et il continuait d'utiliser sa violence quand il y en avait besoin et qu'on lui demandait. Il est chez eux depuis près de 4 ans maintenant.