Go on, burn a while ✦ jax L2vo
An 2588. Nous sommes à Rikers Space Jail Processing, un centre d'incarcération spatial. Détenus, surveillants, médecins, employés ou même pilotes chargés des vaisseaux de sauvetage, vous séjournez dans la station la plus éloignée du monde terrestre et des colonies qui gravitent autour de la Terre. Mais sauriez-vous percer le secret qui plane sur la Sedna Corporation, l'entreprise à l'origine de Rikers ?
Le Deal du moment :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : ...
Voir le deal

 :: administration :: Les incarcerations :: Fiches abandonnees Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

Go on, burn a while ✦ jax

avatar
Dim 13 Déc - 18:17
Invité
JAX LEROY
« I got lost in him, and it was the kind of lost that’s exactly like being found. »
Carte d'identité
Prénom & Nom: Jax Leroy

Âge: 29 ans.

Taille: 1m82.

Poids: 75 kg.

Couleur des yeux: Marron.

Lieu de naissance: La Terre aride et polluée. Celle qui rutile pas, qu’on a oubliée.

Origines: Les racines sont perdues mais ses traits clament un subtil métissage.

Situation familiale: Célibataire. Il te dira qu’il n’a pas d’attaches, pas de famille, rien… quand bien même celui qu’il appelle encore frère est emprisonné à Rikers.

Métier: Médecin affecté à l’infirmerie du secteur 1.

Années de contrat: 5 ans, renouvelable.

Années effectuées: En poste depuis un mois à peine, il a remplacé le vieux doc’ aigri de l’infirmerie, et prend doucement ses marques.


Signes de reconnaissance

Visage: Il a la cannelle sur la peau et le chocolat dans les yeux. Une douceur qui donnerait presque envie de mordre avec gourmandise, s’il n’avait pas l’air si impénétrable. Globalement, ses traits sont harmonieux, taillés à la serpe. Il a une mâchoire volontaire, carrée, un nez rond et des pommettes plutôt saillantes, rehaussées par les méplats qui creusent légèrement ses joues. Quand on s'arrête sur ses lèvres, on les remarque pulpeuses et charnues, naturellement relevées aux commissures. Et puis, il y a son regard en amande. Ce regard qui scrute et qui perce, dévoilant à qui cherche à s’y perdre des torrents de pensées inaccessibles.

Cheveux: Bruns, épais et bouclés, actuellement portés courts.

Musculature: Pas vraiment sec ni vraiment épais, sous sa blouse et ses fringues, il est en réalité bien plus mince qu’il ne semble l’être.

Allure générale: Une chose est sûre : il correspond pas vraiment à l’image que l’on se fait d’un toubib. Mais il y a quelque chose chez lui, de rassurant. Quelque chose qui attire le regard, aussi, de difficile à décrire mais qui est là, transpirant de ses pores. Avec son port de tête altier, ses épaules larges et sa démarche calme, Jax apparaît comme un mec sûr-de-lui, quoiqu’un peu rigide et hautain aux premiers abords – une impression qui s’évapore assez vite une fois la discussion engagée, toutefois, ou lorsqu’on réussi l’exploit de lui arracher un sourire.

Détails sur la tenue: Sous sa blouse blanche obligatoire, il porte les fringues qu’il a pu conserver ; des t-shirt à l’effigie d’antiques groupes de rock ou autres emblèmes décalés ou désuets, des sweaters confortables, jeans – noirs, pour la plupart – baskets ou bottines…

Signes distinctifs: Il a des tatouages sur les bras, le dos de la main droite et le torse ; des motifs floraux, symboles ou animaux pour l’ensemble, le tout entrelacé voire même superposé. Encre noire, sauf pour celui qui remonte sur son biceps droit, un dragon chinois tracé à l’encre rouge. Il a dû renoncer à son septum et ses boucles d’oreilles à cause du foutu règlement (mais il les porte encore parfois, en douce, lors de son temps-libre).

Autres: Il a de jolies mains, quelques cicatrices et une voix chaude et grave, apaisante (ou pas *kof kof*).


Dossier mental
Qualités: Bosseur acharné • Perfectionniste • Passionné • Cérébral • Attentionné • Persévérant • Ordonné (pour pas dire maniaque) • À l’écoute • Impliqué • Observateur.

Défauts: Le flegme qui emmerde • Ambigu • Un côté pragmatique • Frustré • Accumule • Refoule : "tout est sous contrôle"(mais jusqu’à quand ?) • comme une bombe à retardement qui s’ignore • Strict (envers les autres comme envers lui-même) • Méfiant • Renfermé.

Orientation sexuelle: Oh il aime les hommes… Il aime les courbes viriles, douces ou abîmées… Mais on peut pas dire qu’il ait eu le temps de s’épanouir, au cours de sa vie, niveau sexualité. Il y a beaucoup de refoulement chez lui, de retenue. Le problème c’est qu’il oubli parfois, que malgré toute sa volonté, ses regards le trahissent…

Comment gère-t-il l’hostilité ? Il est solide. Il analyse et encaisse. En fait, tant que tu t’amuses pas à tirer sur ses cordes sensibles, disons qu’il peut essuyer les tempêtes et même tenter de désamorcer le conflit. Mais voilà. Faut pas fourrer ton doigt au mauvais endroit. Faut pas t’en prendre à ceux qu’il aime. Ou sinon, c’est possible que ce soit une toute autre chanson qui vienne te percer les tympans, tôt ou tard.

Que pense-t-il de l'écart de privilèges entre les colonies et les Terriens? C’est un sujet sensible et compliqué. D’un côté, il y a la peine pour ceux qui n’ont jamais contemplé le ciel ou reçu la caresse du vent sur la peau, comme celle de la pluie – aussi polluée soit-elle. Et de l’autre, il y a le mépris pour ce luxe arraché aux plus pauvres. Cette rage contenue et entretenue à l’encontre des privilégiés qui ont bâtit leur existences sur le dos d’une population à l’agonie, que tout le monde ignore – celle-là même que les colonies semblent avoir oubliée.

Quel est son plus grand rêve? C’est l’histoire d’un rêve qui vire au cauchemar. Quand le souhait du gamin naïf se transforme en malédiction et que le temps et les embrouilles se chargent de tout décimer. Ça peut paraître con, mais ouais, son rêve c’était vraiment de devenir médecin… Et ouais, il s’y est accroché. Puis il a regretté, quand il s’est mis à perdre les seules personnes qui comptaient vraiment pour lui, à cause de ça…

Quel est son pire cauchemar? La liste est trop longue. Parfois c’est les autres ; parfois c’est lui-même. À croire que derrière le flegme couve autre chose. Trop de peurs, trop de doutes.

Pourquoi travailler à Rikers? Rikers parce qu’il a fait une promesse, il y a longtemps. Mais en réalité, c’est aussi le meilleur moyen qu’il a trouvé de fuir son ancienne vie. Bizarre, ouais, comme il a pu s’imaginer retrouver sa liberté… en gagnant une prison. Mais tout est une question de point de vue, après tout…

Description générale:

Jax, c’est la profondeur du regard et la froideur des traits que vient contredire la douceur des gestes. C’est l’homme placide qui sous le masque, se soucie véritablement des autres et s’en étouffe. Comme s'il s’effrayait tout seul à l’idée de mal faire, de perdre le contrôle de ses émotions et de se transformer en parfait connard. Car il y a trop d’exemples à ne pas suivre ; trop de mauvais choix ; trop de regrets. Et si c’était dans ses veines ?

Oui, peut-être que c'est dans ses veines.

Fermer les yeux, c'est facile. Oublier, ça l'est moins. Les gens comptent pour lui qui a goûté à la misère et au jeu des plus riches. Lui qui s'est fait pion et s'est laissé avoir et manipuler. Dans ses yeux, souvent, on peut distinguer les combats qu’il se livre encore sans interruption, en y repensant. Mais il est difficile à lire, Jax. Volontairement ambigu, il ne veut pas qu’on comprenne, il ne veut pas qu’on capte, cet homme qu’il est, en vérité. Par méfiance ou par crainte de laisser encore quelqu'un le tenir par les couilles, il construit des remparts. Et malgré la solitude dans laquelle il s'enlise, il se dit qu'il suffit juste de s’épuiser jusqu’à la trame, pour oublier. Ou bosser pour se perdre, alors, et tenir à distance les pensées qui le hantent comme dominer les pulsions qui vont avec, qui grattent et qui raclent, lui labourant constamment le cœur et le bide.

Jax, c’est aussi la retenue viscérale et les indécisions qui font bloc. T'as envie de le secouer quand tu devines qu'au fond, il est la glace au sein de laquelle brûle une flamme brute, inextinguible et sensuelle. Tu voudrais être celui qui craquera l'allumette et qui viendra l'embraser, qui fera trembler jusqu'à ses fondations. Mais... pas facile de le manier, cet homme qui écoute les autres mais qui s’écoute si peu. Il s’emporte lorsqu’on le lui fait remarquer. « De quoi tu t’mêles ? De quoi tu parles ? » Homme guindé ; guidé par ses convictions et un sens inné du devoir ; guidé par la peur de découvrir qu’en réalité, il aura vécu sa vie sans y trouver le moindre sens. Hypocrisie inconsciente ou simple peur de s’assumer. Les non-dits pour bouclier. C’est comme s’il était incapable de voir qu’il évoluait depuis tout ce temps dans l’œil de son propre cyclone. Et qu’est-ce qui dicte ses actes ? Qu’est-ce qui dicte sa volonté ? Cette vieille pute de Dalhia ? Non… De beaux idéaux ? Peut-être. Pour sûr, l’idiot pourrait prendre une balle pour ceux qu’il aime. Ouais, même si ce mot paraît si lourd à porter, et que ceux-là sont loin, désormais. Alors peut-être qu’un jour, il fera ce pas de travers qui finira par tout emporter. Peut-être qu’il comprendra l’illusion, les œillères, le flou, les chimères ; la crasse qu’il a accumulée et qui l'empêche de respirer. Et peut-être qu’il les entendra, finalement, toutes ces envies qui bouillonnent et ces désirs brûlant. Peut-être qu’il saura ignorer cette peur irraisonnée. Et alors, il aura l'air con de se retrouver coincé ici, dans cette prison, au milieu des autres...

En attendant il est là ; centré, occupé à maîtriser ce qu’il peut, à s’farcir l’esprit de toutes les distractions et pires conneries qui passent, faire semblant, plongé dans son travail afin de ne pas voir l’essentiel, ne pas ressentir, ne pas avoir à se justifier.

Et le pire ? Le pire, c’est qu’il y arrive admirablement bien... Mais s’il est là, en réalité, c’est peut-être aussi parcequ’il a l’impression de devoir se punir. Parcequ'il à ce sentiment, infecte, de n'avoir plus rien à perdre et tout à prouver. Puis ce besoin qu'il ressent... de se racheter auprès de quelqu’un... Trouver du sens à ce qui en manque…



Historique


2567 – Foyer pour jeunes de Queen Creek, Arizona.



Ça faisait vingt minutes que les adultes discutaient entre eux, sans se soucier le moins du monde des oreilles qui les écoutaient attentivement. Encore un sujet fâcheux à en juger par ces mines graves qui creusaient de profond sillons dans leurs fronts. Et pour cause : leur établissement était déjà plein à craquer et voilà qu’ils se retrouvaient avec deux nouveaux gamins sur les bras…

– T’es sûr ? Disait l’un. Ils ont aucune idée d’où pourrait être sa mère ?
– Non… Et son père a pris perpèt’ apparemment, dooonc…
– Putain.

Quelques secondes, leurs prunelles se braquèrent sur les deux gosses qui étaient assis l’un à côté de l’autre, sur le banc froid de l’entrée. Ah, ils avaient la mine sombre, eux aussi, avec leur petite valise posée bien sagement à leurs pieds – tout ce qu’il restait de leur ancienne vie.

– Et l’autre ?

Pour toute réponse, il n’y eu qu’un profond soupir.

Jax avait huit ans. Il avait huit ans quand son père avait décidé qu’il était temps de péter un câble et d’exploser la tête du vendeur, à l’épicerie du coin. Une fin de mois difficile, soi-disant. Comme si la folie n’avait rien à voir là-dedans. Comme si appuyer sur une gâchette et voir la cervelle d’un innocent éclabousser les murs, c’était du détail insignifiant. Pas étonnant que la mère se soit barrée.

Ce qui l’était plus, en revanche, était qu’elle ait laissé son fils derrière elle, en le faisant…

– Hé… Hé ! Murmura l’un des deux enfant – un petit blond – jouant du coude pour attirer l’attention de son compagnon d’infortune. Dis, tu t’appelles comment ?

Le concerné lui adressa un regard noir, le jaugeant d’un air maussade avant de daigner lui répondre, laconiquement :

– Jax…
– Tu as quel âge ?

Il hésita.

– Huit ans… et toi ?
– Bientôt pareil. Le gamin se tut un instant, faisant mine d’écouter ce que les adultes racontaient en se mordillant les lèvres. Mais l’envie de discuter étant bien trop forte, il revint à la charge : Pourquoi tu es ici ?

Jax haussa les épaules.

– Tu n’es pas bien malin hein ? Qu’il marmonna. À ton avis ?
– Ah. Ouais. J’suis bête. Ha ha. Alors ça veut dire qu’on va plus partir d’ici, pas vrai… ? Tu as entendu ce qu’ils disaient ? Ils vont pas nous mettre dehors, pas vrai ? Hein ? Ils vont pas le faire ? Y a rien, dehors…

Jax, qui était de plus en plus mal-à-l’aise à cause de l’intérêt grandissant que l’autre semblait lui porter, garda quelques instants le silence avant d’admettre :

– Je... Je ne sais pas…
Et c’était vrai. Il n’en savait strictement rien. Et c'était cette même incertitude qui lui plantait des épines dans l’estomac depuis de longs jours, faisant vrombir son petit cœur d’angoisse. À nouveau, il haussa les épaules puis fini par concéder, se bornant à n’afficher qu’un air renfrogné : Sans doute que non. Si on a de la chance, ils vont nous garder. Mais la chance, c’est pas donné à tout le monde. Ma mère, elle disait ça.
– Ma mère est morte. Elle avait une maladie… Et la tienne ? Elle est où ? Elle était malade aussi ?

Cette fois, Jax ne répondit pas. À cet instant, il aurait préféré que ses parents aient été victime du même sort. Parce que la maladie, quelque part, c’était une bonne excuse ; c’était quelque chose de pardonnable. Il était peut-être jeune, mais il n’était pas idiot. Il avait parfaitement conscience de la situation. Il avait dû grandir trop vite, s’adapter trop vite aussi... Et pourtant… Pourtant, il avait également conscience qu’une maladie c’était sans doute ce qu'il y avait de plus cruel. Cruel car ailleurs, sa mère, à ce garçon, quoi qu’elle ait eu, elle aurait pu survivre. Avec de meilleurs moyens, de meilleurs soins.

Mais c’était cette ville, le soucis. C’était cette ville qui rendait les gens malade ou fous de désespoir. Hors de cette ville aux allures de taudis, loin de ses bidonvilles et de sa crasse, toute cette poussière nocive qui finissait par vous atrophier les poumons ; Jax était persuadé que rien de tout cela ne se serait produit.

Mais… ils ne se seraient pas rencontrés, tous les deux.

– Moi c’est Felix au fait !
Ses petits pieds se balançaient dans le vide tandis qu’il réfléchissait. Jax… Jax… Dis… Je peux t’appeler Jaxie ?

Alors il sourit, avec ce genre de sourire débordant d’innocence et d’un soupçon de tristesse, qui ne pouvait laisser personne indifférent. Il sourit, et cette fois-ci, Jax eut bien du mal à détourner les yeux.

– Jaxie. Tu veux bien être mon frère ?



2577 : Dix ans plus tard.



– Allez, Jaxie, alleeez, magne-toi ! On va rater le scanne de présence si tu t’grouilles pas un peu !
– Tu permets ? Ronchonna l’interpelé en fourrant ses pieds dans ses bottes. C’est pas toi qui te tape la gueule de bois du siècle là… Rappelle-moi de plus jamais boire tes "cocktails spéciaux"…
– Ouais, ouais. J’sais, t’adore ça.
– Tsss. Non tu sais pas. Terminant de nouer ses lacets, il se leva puis lâcha un petit rire amusé en le rejoignant. T’as pas idée.
– Ah non ? Bah dis moi alors. Ricana Felix en le toisant.
– C’est comme avoir le cerveau compressé par les roues d'un tank… ou… une dizaine de tank, en fait.
– Ah ouais ? Chouette l’expérience. T’étais vraiment raide mort hier soir ha ha. Par contre faut vraiment que tu fasses un truc avec tes cheveux là, putain ils sont pas compressé eux.
– Tu t’fiches de moi en plus ? On appelle ça avoir la classe. Tu devrais essayer un jour, blondinet.
– Ouaiiis. Sacré super-pouvoir que le cheveu qui défie toutes les lois de la gravité.
– T’es jaloux ? Railla-t-il en affichant un large sourire. Tu peux toucher si tu veux. Vas-y. Essaie d’en faire un truc avant de critiquer. Aie un peu de compassion bordel !

Et ils étaient là, à se fixer l’un l’autre avec un air de pure provocation et de connivence mêlé.

– Mais fermez-là, vous deux. Vous avez pas mangé c’matin ? Pourquoi vous vous matez comme ça ?!
– Oh c'est bon, toi, ferme-là, Will. Grogna Felix, roulant les yeux au ciel et lui passant devant. Le voilà, le vrai jaloux.
– Bon. On va voir la gueule qu’elle a, la sponsor de cette année ? Peut-être qu’elle trouvera quelqu’un cette fois.
– Ouais, comptez pas trop à c’qu’elle vous sélectionne, bande de naze, ha ha ha !

Putain. S’ils avaient su.


Un mois plus tard.



Félicitations Jax Leroy ! Vous avez été choisi pour intégrer le programme d’aide aux jeunes défavorisés « New Hope ». Veuillez sélectionner votre choix de cursus :

[  ] SCIENTIFIQUE ou [  ] MILITAIRE.

– Alors, en gros… ils vont me payer toute ma scolarité, une piaule et un avenir. Rien que ça.
– Jax… c’est génial… Tu t’rend pas compte…
– Ouais, je sais mais… Il souffla. Non en fait… je sais pas…
– Cette Dalhia Lang a l’air sérieuse nan ? Sa corporation est ultra influente. Non mais t’as vu ses fringues ?! Et ses gorilles, ha ha. Et leur caisse putain ! Ce matos de dingue, on voit jamais ça ici. Tu t’imagines, plus tard ? Allons, faut voir plus loin, Jax.
– Boston c’est loin quand même…
– Mais mec, ils te demandent pas de décoller pour la lune, non plus. Il lui asséna une tape sèche sur l’épaule. Réfléchis même pas ! Tu sais, c’est toi qui parlais de chance quand on était gamin. Bah la voilà ! Et dis-toi que t’as des gars ici qui tueraient pour en avoir une comme ça. Alors accepte avant de te faire planter le bide par les enflures du coin !!
– Mais t’y crois toi ? Tu crois vraiment que le test qu’on a passé détermine un truc dans leur choix ? En fait je comprends pas. Il y a des gars mille fois plus intelligent que moi ici, qui le mérite cent fois plus.
– Je m’en fous. C’est ta porte de sortie. Reste pas ici pour crever au milieu des ordures. Prouve à tous qu’on peut réussir quelque chose, même en étant né dans la poussière.

Son cœur battait à tout rompre alors qu’il réfléchissait aux paroles de Felix. Son identité enregistrée, il n’y aurait probablement plus de retour en arrière possible. Et s'il se plantait royalement... ?

– OK. Ok ! Bon. Si j’arrive à devenir Médecin, je reviendrais ici. Pour toi et les autres.

À ces paroles, Felix le considéra un moment avec une étrange lueur un peu triste dans le fond des yeux.

– Ouais… Murmura-t-il. Il lui sourit doucement, déposant une main sur son épaule. Ouais. Fais donc ça…

[x] SCIENTIFIQUE ou [  ] MILITAIRE.


[Merci d’avoir validé votre choix, Monsieur Leroy ! Nous vous attendons le xx.xx.2577au SUNSET PLAZA pour planifier la suite du sponsorship avec Madame Lang. Veuillez trouver ci-joint le Pass pour la navette qui viendra vous chercher à compter de 10h00, le xx.xx.2577. Nous vous souhaitons par avance un agréable voyage. //voyage offert par la compagnie SkyJet, en partenariat avec la corporation STARR.]



2580



[Appel répondeur : 1 Message de Felix]

– Me raconte pas de conneries. J’sais pas ce qu’elle te fait, mais merde, atterri un peu ! Et c’était quoi ce putain de message, hier soir ?! T’étais bourré ?? Putain t’es pas foutu de m’appeler pour régler les embrouilles, mais me raconter des conneries incompréhensible, ça ouais ?!

Il y a un gros silence.

– … Ça se dit, tu sais.. ? Les gars, ils parlent sur toi. Y disent que t’es plus fiable. Y disent que t’as changé. T’es devenu comme eux, un gros snob à la con de merde, le petit toutou de cette pute… Ah, oui. Parce que Will t’a vu avec elle en train de t'afficher, sur les réseaux. Putain mais tu fous quoi !? Et j’croyais que t’aimais pas les meuf ?? Me dis pas que tu te la tape en plus ?!! [Il y a un blanc. On l’entends qui souffle puis marmonne des trucs inintelligibles, clairement à bout de nerf] … Merde, si c’était vraiment juste pour tes études, j’aurai rien dit. Mais ça ?  ?! Cette gourou maléfique t'as retournée la cervelle. Elle t’achète et tu bronches pas ? Tu vois pas qu’elle se sert de toi ? C’est pour toi qu’j’le dis ! Tu ferais mieux de redescendre sur terre, Jax. La vraie. Je sais que c’est moi qui t’ai poussé à accepter leur deal. Mais là… on dirait que tu t’es laissé aveugler par leur fric et leurs promesses, ou... ou j'sais pas quoi ! T'as capté qu'ils te font passer pour leur mascotte de propagande, au moins ?? Le p'tit miséreux qu’ils ont sauvé d'un destin tragique ? Tu crois quoi ? Tu vas changer quelque chose avec ta belle gueule d’amour, là-bas ? Tu crois tu pourras revenir soigner les petits pauvres de la misère, après ? … C’que t’es naïf, putain…

F’chier, Jaxie… on a besoin de toi nous aussi… Moi… Moi j’ai besoin de toi…



[Mail à Felix]

J'ai eu ton message... Je voulais te répondre plus tôt. J’en crevais d’envie mais j’en avais pas le courage...

Tu te souviens ? On nous disait que les choses pouvaient changer, si on était choisi. On nous disait qu’on pouvait devenir quelqu’un même en étant né pour n’être personne. Que ça suffisait de réussir leur test, même quand on n’avait rien d’autre pour vanter nos mérites que de petites notes inscrites en bas de page, dans nos dossiers. Genre, ils s'en foutaient qu'on traine avec des raclures, qu'on ait déjà des tatouages, ou pas la tête de l'emploi ?

Mais finalement ? Finalement… toutes ces histoires de sponsoring… Tout ça, c’était trop beau pour être vrai…

Felix, au bout d’un mois t’avais déjà tout capté, toi.
Ouais, bien sûr que t’avais raison sur toute la ligne. Mais tu sais quoi ? c’était déjà trop tard. C’était trop tard et j’ai dû m’adapter. Tout seul. Alors j'comprends votre déception, mais arrêtez de me gonfler deux sec. Parce que le fric qu’on m’avait promis, qui nous semblait astronomique chez nous ; tu t'souviens ? Bah là-bas il suffit à peine à me paye la bouffe pour le mois ! Tout est trop cher... Et j'peux pas me payer un billet pour revenir vous voir quand ça me chante, il y a des règles !

Peut-être que je suis devenu avide et con. Ouais, sans doute. Con de croire qu’un cerveau – une envie – ça faisait tout, là-haut. Qu’on pouvait me défiler le tapis rouge juste parce que j’étais plus malin et motivé, plus doué aussi, qui sait. J'avais été choisi. Oui mais non… Merde, je sais que les mecs comme nous c’est juste bon à servir de pion ! C’est bon à être utilisé ! Et alors ? sois tu joues le jeu, sois on te renvoie de là où tu viens, avec une dette au cul que tu pourras jamais payer de ta vie. C’est aussi simple que ça.

J’ai fais mon choix. Celui d’avoir un avenir. De pas faire les trucs en vain. Parceque quoi qu'il en soit, ce que j'apprends, ça a du sens. Et c'est ça qui me fait tenir, l'étincelle d'espoir qu'il me reste.

Alors tant pis, si ça plait pas à tout le monde.

C’est vous qui m’avez poussé à partir. Nan. En fait c'est TOI.

L'oublie pas.


[Mail envoyé]



2 Février 2584



[Appel de Felix]

– Salut. Vous êtes bien sur le répondeur de Jax. J’suis pas dispo. Laissez un message.

bip

[Appel manqué – Felix]

– Putain Jax ça fait quatre jours que j’essaie de te joindre ! Tu fais quoi...

[4 Appels manqués – Felix]

– Jax…



10 Avril 2584




[Votre correspondant n'est pas disponible, veuillez réessayer ultérieurement. . .]

bip

– …Hey, Felix. [la voix est traînante, fatiguée] Comment ça va ? Cette fois c’est toi qui réponds plus… Bon. C’était pour te dire… J’sais que j’ai pas assuré ces derniers temps, j’suis désolé, t’as pas besoin de me le dire. C’est la première chose à laquelle je pense tous les matins en me réveillant. Et Dalhia… [soupir] Écoute, j’ai pas l’temps là. Tu m’manques, ok ? Tu me manques de fou… Tape la bise à ces entêtés du foyer, explique-leur encore que j’ai pas le choix. Dis-leur que j’oublie pas d’où je viens, bla bla… J'en ai marre de vos conneries. Mais je suis désolé… Ça change rien entre nous. T’es toujours mon frère, ok ? Prend soin de toi…[silence] je t’aime.

[2 Appels manqués – Dalhia Lang]
[Appel en cours de Dalhia Lang]

Il inspire profondément.

– Oui, je vous écoute.
– Bonjour Leroy. Ta ligne était occupée… Est-ce que tout va bien ?
– Oui, tout va bien. Qu’est-ce qu’il y a ?
– … Mhm. Dis-moi, tes examens sont bientôt terminés. Je me disais qu’on aurait pu faire quelque chose ensemble, ensuite, pour fêter ça…
– Quelque chose comme ?
– Tu te souviens du nouvel interne ; comment s’appelle-t-il, déjà ? James… James quelque chose.
– James Delgado ?
– Oui ! Oui, c’est bien lui.
– Eh ben ? C'est quoi le rapport avec lui.
– Il te plaît ?
– … Comment ça, s’il me plaît ? C’est quoi l’embrouille cette fois ?
– Allons. Leroy… [Elle a un petit rire condescendant] Tu pensais que je ne le remarquerai pas ? Excuse-moi de briser tes illusions après tout ce temps, mais, malgré tous tes efforts, tu n’es pas exactement... disons, ce qu’il y a de plus vigoureux... tu sais... sous les draps. Alors… je me suis dit…
Quoi ? Tu t’es dis quoi ? La coupe-t-il, sur la défensive, n'en croyant pas ses oreilles, et clairement effaré par la tournure de la conversation.
– … Qu’il pourrait venir s’amuser avec nous.
– Put- Dalhia, c’est une blague, j’espère...
– Mon cœur, rappelle-moi la dernière fois que j'ai blagué, avec toi.
– …
– Bien. J’ai réservé une chambre à l'endroit habituel. Fais-toi beau, je pense qu'on va s'amuser~ Je raccroche.

Plus tard dans la soirée.

[Mail à Felix]

Comment faut-il faire pour briller ?
J’y suis. J’suis là-haut. J'endure. Mais personne n’a daigné me filer le putain de mode d’emploi.
Et mon prof qui persiste à de me dire : « continue de briller, Jax. Voilààà, parfait ! (quel gros con!) Continue de briller ! T’as un cerveau, utilise-le. T’as de l’ambition, sers-t-en. Marche avec ceux qui brillent ; leur scintillement finira par t’atteindre. Et toi aussi, alors, tu perceras les nuages, un jour ; toi aussi, tu respireras l’air pur et tu jouiras d’une vie de privilèges. »

Mais briller. Briller… Pour quoi faire ? Ça sert à quoi, Felix, de briller ? Pour briller, faut-il se faire constamment baiser, comme ça ??? Pourquoi il m’a fallu toutes ces années pour comprendre que celui qui brillait, en réalité : ce ne serait jamais moi ? Ce serait jamais nous ?

Tu me manques, putain. J’en peux plus…
Mon seul échappatoire c’est le boulot. J’arrive pas, autrement. Elle est TOUJOURS là, putain !!! Alors. Bosser, bosser, sauver des cons, bosser, apprendre, apprendre. La baiser. Merde.MERDE!MERDE!rEfreggthjg


[Mail non enregistré, êtes-vous sûr de vouloir le supprimer ?] - [oui]



Juin 2584




[Appel en cours. . .]

– Felix, répond…

[Votre correspondant n’est pas disponible, veuillez réessayer ultérieurement]

bip

– Alleeeez. Répond ! Qu’est-ce qui se passe ?! Pourquoi y a ton nom sur tous les écrans ?! C’est quoi cette histoire de meurtre ?? T’as pas fait ça ?! Felix !!

[Appel en cours. . .]
[Votre correspondant n’est pas disponible, veuil–]

bip

– Écoute. Écoute-moi ! Tu vas avoir ce message, hein ? Ce… c’est pas grave, ok ? Je– Je m’en fous, de ce que t’as fait. Je. Sache juste que j’suis là… Enfin… Je sais, j’arrête pas de merder… Mais je trouverai un moyen ok ? T’es pas tout seul. J’te promet, je trouverai un moyen… Je suis désolé… Bon sang, j'suis tellement désolé...

Trois jours plus tard.

[Ce numéro n’est plus attribué. . .]



2587 – Foyer pour jeunes de Queen Creek, Arizona.




– Mais qu'est-ce que tu veux. Tu nous a tous laissé tomber alors tu croyais quoi... Docteur Leroy, pfff ! William mort. Felix envoyé en taule à l’autre bout de l’univers. Et toi ? Toi tu reviens là, dix ans plus tard, avec ta p’tite bouche en cœur comme si c’était rien, content d’avoir obtenu ton diplôme, à me demander si tu peux pas "faire un truc" pour moi ! Non ! Non !! Il le poussa violemment. J’me fiches de tes raisons, mon garçon ! T’as déjà fait tes choix ! Et tes choix ? c’était pas nous ! Ton choix c’était toi. Alors fiston, casse-toi, j’veux plus voir ta gueule !
– Mais merde, Decker !! C’est quand même pas ma faute s’ils ont merdé ! Je les aurai aidé si j’avais pu !
– Ouais. Ouais, ouais, dis-toi ça si ça t’console. Si ça te permet d’pioncer.
– Tu me reproches quoi en fait ? D’avoir espéré ? De- d’avoir pu à un moment, trouver une vie hors de cette ville de merde ?? Hors de l’orphelinat ?? Tu voulais que je crève dans ces embrouilles, aussi ??
– Exactement. Ouais ! T’aurai dû crever ! Au moins ça aurai voulu dire que t’étais là pour tes frères ! Que t’étais avec nous. Mais t’y trompe pas. J’te reproche pas d’avoir espéré, naaan. Alors me sors pas ton discour de victime, parce que t’en es pas une, ok ? On sait tous que t’as préféré ton petit confort à nos problèmes ! Faire la sourde oreille, détourner les yeux. Tu vois où ça mène ? Alors tu veux quoi ? Saiiint Leroy. Me chialer sur les pompes parce que tu viens de réaliser que t’es tout seul, à nouveau ? Tseuh. Et cette fille de chez STARR, elle veut plus te donner la béquet, c'est ça ? Ben t’assumes mon grand. T’es diplômé. T’as un beau cerveau tout brillant et les poumons bien clean. Alors estime-toi heureux d’être encore en vie et casse-toi. Casse-toi, ouais ! J’veux plus voir ta gueule j’ai dis !

À quoi bon chercher à protester quand on se faisait balancer à la gueule de telles vérités ? Ces mots comme des gifles, assommaient le jeune homme qui ne savait soudainement plus comment se justifier. Alors il serra les dents. Il serra les dents, puis il articula, sans quitter des yeux celui qui avait été comme un père pour eux, durant toutes ces années :

– T’es sûr… ?

Mais c’était comme s’adresser à un mur… L’homme se ferma complètement. Il avait dans l’œil cette lueur implacable qui disait bien ce qu’elle voulait dire : c’était terminé. Les liens, s’ils avaient existé autrefois, venaient d’être brutalement coupé net. Et merde que c’était vif. Que c’était cuisant de capter, tout d’un coup, qu’il n’y avait pas de retour en arrière possible.

– Si j’pars, cette fois, je crois que je pourrai pas revenir.

En prendre conscience lui retourna le bide. Il dégluti, se reculant d’un pas en baissant les yeux sur cette terre polluée qu’il connaissait toujours par cœur. Ouais, ça faisait mal de capter qu’on était seul. Il se souvenait du jour où il avait foutu les pieds ici, à l’orphelinat. Ça lui faisait le même effet. L’effet de la perte, de la douleur, de l’échec, des remords. Et l’incompréhension, aussi. Avant ce moment, il ne l’avait jamais trop expérimenté ; ou du moins, jamais aussi vivement. Sans doute parce qu’il avait tout refoulé. Mais Dieu que ça faisait mal... Putain que ça faisait mal de se retrouver tout seul après tous ces efforts, là, comme un con, comme un gros abruti, avec des larmes plein les yeux. Ah, et depuis quand n’avait-il pas pleuré, d’ailleurs ? Ça aussi, c’était une question qu’il aurait dû se poser il y a longtemps – et qu’il se posera, plus tard, en essayant de déterminer sa part de responsabilité dans tout ça, en plus de culpabiliser.

Car ça le rongeait, déjà. Ça le rongeait aussi bien que l’acide de ces larmes qu’il ne voulait pas verser, et qui restaient là, coincées contre la bordure de ses cils...



Putain, que Dalhia allait jubiler, si elle le voyait revenir…

Nan. Il n’allait pas revenir. Pas chez elle. Pas cette fois.

Il lui fallait une solution.
Il fallait qu’il trouve un truc.

Finalement, peut-être que sa liberté se trouvait quelque part ailleurs.

Quelque part... Avec Felix. Et une belle brochette de psychopathes…

Pseudo: Vous finirez bien par savoir.

Age: Ouch, les 18 ans sont passé depuis un bail now.

Comment avez-vous connu le forum? Partenariat :]

Le mot de la fin? Hello, nice to meet you. Qu'est-ce qu'il est beau votre forum... Et les intrigues qui s'annoncent, ça me rend déjà fou. Du coup je suis là, j'ai pas résisté, j'ai bien envie de m'essayer au jeu dans votre univers si vous voulez bieng de moi °-°

Miguel Galvez
Messages : 263
Matricule : G8 - 2231
Métier/Activité : laverie / mécanique
Humeur : fulminante
Dim 13 Déc - 19:26
Miguel Galvez
Black Perros
Bienvenue Go on, burn a while ✦ jax 1060890681 !

"comme une bombe à retardement qui s’ignore"... qui s'ignore heiiin, j'en connais quelques uns qui devraient pas avoir ces informations entre les mains Go on, burn a while ✦ jax 240528705

Bon courage pour ton histoire, je suis impatient de lire tout ça avec ce que tu montres déjà

avatar
Dim 13 Déc - 19:45
Invité
Bienvenue jax ! Voilà un médecin intéressant et une bien jolie plume ! Go on, burn a while ✦ jax 240405778 En espérant que ça ne fasse pas trop de dégâts le jour où il explosera (c'est pas bon la frustration)

avatar
Dim 13 Déc - 22:30
Invité
Bienvenue toi ! Bonne chance pour ta fiche ~

avatar
Lun 14 Déc - 12:30
Invité
Bonjour ! Merci pour l'accueil, c'est sweet comme tout. Je m’attèle à l'histoire bientôt, hâte de venir jouer avec vous. Go on, burn a while ✦ jax 3025291235

Mais Miguel, Toni !?  Go on, burn a while ✦ jax 244369315  Il ne va pas exploser, voyons. Tout va bien se passer. Go on, burn a while ✦ jax 2724088737



Ou pas. Mais le cas échéant je décline toute responsabilité hihi.

avatar
Lun 14 Déc - 18:39
Invité
Bienvenuee ♥ courage pour la valid !

Caem Sullivan
Messages : 165
Métier/Activité : Responsable du jardin et de la ferme aquaponique
Humeur : Douce
Lun 14 Déc - 18:51
Caem Sullivan
Employé
Bienvenue et bon courage pour ton histoire !

Miguel Galvez
Messages : 263
Matricule : G8 - 2231
Métier/Activité : laverie / mécanique
Humeur : fulminante
Mer 16 Déc - 23:19
Miguel Galvez
Black Perros
Tu es validé !


OMG JAX Go on, burn a while ✦ jax 753821148

Tu as un style tellement agréable à lire, ton personnage est bien construit et surtout cette histoire... °-° Je me suis attaché aux personnages, et je prie pour voir Félix débarquer ici afin de suivre la suite de cette aventure! Tu as aussi pris des initiatives à propos du contexte, et c'est un plaisir de voir que tu as tout compris (sans être venu poser de questions ni rien, ce qui me rassure sur le contenu du forum).

J'espère que tu t'amuseras longtemps parmi nous ♥

Maintenant que tu es officiellement enfermé des nôtres, tu peux dés à présent réserver ton avatar ou faire une demande d'appartement. Tu seras, du reste, ajouté automatiquement à la liste des métiers. Une fois fait, tu peux faire une demande de lien ou une recherche rp afin de commencer l'aventure, et dans un même temps créer ton carnet de bord. Les intrigues sont à ta disposition si tu souhaites te pencher vers une quelconque enquête :)

Amuses-toi bien !

avatar
Mer 16 Déc - 23:59
Invité
Aahhhh merci beaucoup ça me fait plaisir Go on, burn a while ✦ jax 30969993
J'espère aussi !

Et Caem & Loco merci pour l'accueil !

Contenu sponsorisé

Go on, burn a while ✦ jax
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1
Sujets similaires
-
» Watch the whole world burn.
» Dominique - I want matches in case I have to suddenly burn.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
RikersSJP :: administration :: Les incarcerations :: Fiches abandonnees-
Sauter vers: