Sulvan Breeze -- I'm not winning, but I'm having a very good time. L2vo
An 2588. Nous sommes à Rikers Space Jail Processing, un centre d'incarcération spatial. Détenus, surveillants, médecins, employés ou même pilotes chargés des vaisseaux de sauvetage, vous séjournez dans la station la plus éloignée du monde terrestre et des colonies qui gravitent autour de la Terre. Mais sauriez-vous percer le secret qui plane sur la Sedna Corporation, l'entreprise à l'origine de Rikers ?

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Sulvan Breeze -- I'm not winning, but I'm having a very good time.

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Mer 3 Aoû - 17:10
Invité
Sulvan Breeze
« When the sky’s falling, I take shelter under bullshit. »
Carte d'identité
Prénom & Nom : Sulvan Breeze. Il porte évidemment très mal son nom de famille, puisque sa compagnie relève souvent plus de l’asphyxie que de la bouffée d’air frais.

Âge : 24 ans. Il paraît qu’il ne s’adoucit pas avec l’âge.

Taille : 1m83.

Poids : 78 kg.

Couleur des yeux : Contrairement aux yeux de ses frères aînés qui ont la couleur gris bleuté d’un aileron de requin, les siens sont noisette. Il a le regard très expressif et chaleureux – mais si –, un regard à clins d’œil par-dessus des lunettes malicieusement baissées… après vous avoir courtoisement expliqué comment vous alliez vous défroquer pour lui faire plaisir.

Lieu de naissance : C’est probablement l’un des pires produits des États-Unis.

Origines : Terriennes.

Situation familiale : Célibataire. Par bonheur, il n’a encore jamais songé à se reproduire.

Métier : Surveillant en charge du minage ; autant dire expert en pliage d’échines et de genoux récalcitrants – ceux des autres, naturellement.

Années de contrat : Son contrat se termine à la fin du mois. Non, c’est une blague : CDI, pour chieur à durée indéterminée.

Années effectuées : Presque deux, mais il a si bien pris ses repères et ses petites habitudes qu’il semble hanter la prison depuis dix ans déjà.


Signes de reconnaissance

feat. OC inconnu.

Visage : Une gueule d’ange pleine d’insolence qu’on s’attendrait plutôt à trouver sur la jaquette d’un Boys Band. Mâchoire carrée et assurée, nez un peu court mais pas moins impertinent, pommettes et menton fiers, lèvres pleines et railleuses ; bref, l’archétype de l’Américain très content de lui.

Cheveux : Dans le cas de Sulvan, on ne parle pas de cheveux, mais de huitième merveille du monde. Ils sont aussi blonds et soyeux qu’au jour de sa naissance, toujours coiffés au millimètre près, et il y a un enfer conçu tout particulièrement pour quiconque se hasarderait à en approcher sa main pleine de doigts.

Musculature : Déliée et profonde comme celle d’un danseur dans l’ensemble. Le bonhomme n’est pas du genre à rouler des mécaniques, alors on ne devine pas tout de suite que son cou et son thorax ont été épaissis par des années de boxe américaine. En fait, il ne donne pas du tout l’impression d’être imposant et il se fond derrière des dos plus larges que le sien avec la sveltesse d’une ballerine. Il aime ça, passer pour une aiguille – celle qui crève les grandes baudruches ou glisse douloureusement sous les ongles.

Allure générale : Sulvan est d’un abord très avenant. Il a le contact facile, sourit volontiers à ses interlocuteurs, occupe l’espace avec l’aisance des types arrogants qui considèrent leur simple existence comme un don du Ciel. Il sait ce que signifie avoir des manières et en joue quand la situation et son humeur s’y prêtent. Bien entendu, plus personne ne s’y trompe, et même les nouveaux ne tardent pas à apprendre que ses paroles insinuantes et son amabilité curieusement intrusive ont tout du traquenard. Malheureusement, il se laisse difficilement ignorer : il a en toutes circonstances l’aplomb d’une Mariah Carey en body pailleté sur son canapé et la superbe d’une Miranda Priestly sur le point de jeter votre style à la poubelle.

Détails sur la tenue : C’est une diva. Il paraît que la sobriété est de mise dans une prison – dites ça aux courges butternut qui leur servent de détenus –, mais avec lui, la chemise la plus ordinaire semblerait tout droit sortie de la maison Dior. Quoiqu’il ne puisse pas toujours se montrer extravagant, il a un œil d’esthète et ajuste chaque jour sa tenue comme s’il s’apprêtait à rencontrer son pire ennemi. Sans surprise, les couloirs de Rikers ne sont rien de moins que son catwalk personnel.

Signes distinctifs : Il porte souvent des lunettes teintées et prend soin de son apparence comme si chaque jour était le dernier.

Autres : Il a les oreilles décollées… mais pas autant que les rétines de ceux qui ont osé lui en faire la remarque.

Dossier mental
Qualités : Sulvan est sociable, il peut être votre meilleur pote, vraiment. Il sait se donner l’air de comprendre vos problèmes, les gros bras qui assurent ses arrières le disent même conciliant – mais si, c’est juste vous qui faites preuve de fierté mal placée. Il a le malheur d’être né intelligent, même si c’est souvent à mauvais escient, et d’avoir cultivé une vision propre depuis son plus jeune âge : il se montre souvent créatif, surtout lorsqu’il s’agit de trouver un moyen d’obtenir ce qu’il veut ou de vous inventer des noms d’oiseaux. C’est un rêveur, à ses heures perdues, il n’est pas toujours en phase avec le monde dans lequel il vit mais sait très bien faire abstraction de ce qui lui déplaît. Sa meilleure arme ? Une excellente mémoire, qu’il prétend bien sûr très sélective, en fonction de son interlocuteur. Son sens des affaires et des échanges de bons procédés fait de lui un précieux allié pour ceux qui souhaitent s’alléger le fardeau de la vie pénitentiaire.

Défauts : Fouineur ? C’est vrai, il a un talent particulier pour percer vos sales petits secrets et ses méthodes sont souvent aussi effrontées qu’une main glissée dans votre calbute. On le dit sournois, prompt à cacher ses intentions malveillantes derrière un extérieur souriant, mais franchement, c’est moins à vous qu’à l’ennui qu’il veut du mal : vous, vous n’êtes qu’un dommage collatéral. Il est superficiel, oui, fait en sorte que la profondeur de ses rapports affectifs n’excède pas celle d’un pédiluve, et alors ? Il s’aime beaucoup, c’est suffisant, et il estime que si chacun en faisait autant, le monde s’en porterait mieux. Aucun des coups bas qu’il fait pleuvoir n’entame son orgueil : il déploie des stratégies de rat pour régner à sa petite échelle mais n’en garde pas moins une désinvolture toute léonine. On ne sait pas trop s’il est vraiment lâche ou s’il préfère simplement être insoupçonné et sous-estimé. Manipuler son monde, il adore ça, et ça implique de laisser les autres se salir les mains à sa place. Au fond, il prend un plaisir pervers à regarder les gens se compromettre pour de menus avantages, à user leur patience et les articulations de leurs mâchoires en les accablant d’exigences.

Orientation sexuelle : Métrosexuel.

Comment gère-t-il l’hostilité ? En la créant et en la cultivant avec panache, bien sûr ! Ou alors il envoie Biby, 2m05, 108 kg, sur la tronche de ladite hostilité.

Que pense-t-il de l'écart de privilèges entre les colonies et les Terriens ? Si vous le prenez à sept heures du matin avant son café : « Rien à carrer. » À treize heures : « C’est ballot. » À dix-sept heures : « Y a des drames plus importants dans la vie, Johnny, à commencer par le paillasson dégarni qui te sert de cuir chevelu. » Un trésor de compassion, vraiment.

Quel est son plus grand rêve ? Devenir sa propre marque, gagner tout seul sa bulle d’air frais terrienne sans avoir à en passer par les arrangements familiaux, sucer la vie jusqu’à la moelle… Ce n’est pas comme si l’univers avait encore beaucoup de choses à offrir, hein ?

Quel est son pire cauchemar ? La calvitie.

Pourquoi travailler à Rikers ? Ah, c’est la grande question. « Pour la vue, connard. », ça marche pas ? Non ? Bon, il paraît qu’il est un peu là pour se racheter une conduite après avoir dépassé les limites fixées par son vieux, mais lui, il y trouve de plus en plus une voie d’accès vers une plus grande indépendance. Il occupe un poste très convoité grâce à son généreux cousin et a bien l’intention d’abuser de ses privilèges jusqu’au bout.

Description générale : Comment dire ? Par sa seule existence, Sulvan semble mettre un point d’honneur à redéfinir chaque jour le mot « peste » et à réinventer la formule du poil à gratter. Il est sympathique, de prime abord, mais sa familiarité peut vite devenir envahissante. Ce n’est pas quelqu’un qui met les gens à l’aise, et pourtant beaucoup finissent par se dénuder en sa présence, exactement comme on viderait son portefeuille pour apaiser le premier braqueur venu. Il a de ces réflexions insidieuses qui poussent à donner un doigt tout en sachant qu’on va se faire bouffer le bras. Ses attaches sont peu nombreuses, certains disent qu’il faut seulement savoir comment le prendre, mais il a horreur de se montrer trop prévisible et n’hésite pas à éprouver les nerfs de ceux qui l’entourent pour leur ôter l’idée qu’il puisse être apprivoisé. On peut traiter avec lui si on admet que « discuter » c’est s’agenouiller et il est assez fascinant de constater qu’il parvient presque toujours à obtenir ce qu’il veut. Au fond, si sa comédie fonctionne, c’est sans doute parce qu’il n’est pas ingrat non plus et qu’il remplit « sa part du marché » avec une exactitude d’huissier : il est étrangement efficace dans son boulot, c’est là que son culot paie le plus, et les gros bras qu’il gère quotidiennement ne cessent de l’en remercier. Pour le reste, on adore le détester. Il n’a clairement pas assez froid aux yeux, surtout au beau milieu de tous ces fous furieux, et beaucoup ont probablement songé à lui donner une petite leçon d’humilité… qui n'est pas encore venue. Est-ce qu’il craint le retour de bâton ? Ah, peut-être, c’est difficile à dire, tant il se comporte comme si tout lui était dû.

Historique

« Oh, c’est sûr que Sulvan n’a pas été le garçon le plus facile qui soit. Il est né dix ans après ses deux frères, Adrian et Harper, et il a vite compris qu’il pourrait se décharger sur eux de toute responsabilité. Le plus étonnant, c’est qu’ils s’aiment beaucoup, tous les trois. Adrian surtout a presque l’air de chérir la chance que Sulvan s’est donné d’échapper à l’enfer gestionnaire des entreprises familiales. Certains disent que c’est pour avoir une plus grosse part du gâteau, mais je connais mes fils, et même Sulvan est assez vieux jeu quand il s’agit de la famille. Il nous a donné beaucoup de cheveux blancs, à mon mari et moi, et Roy est si têtu dès qu’il est question de son petit dernier, mais c’est comme si rien ne pouvait nous briser. Et, quoi qu’on en dise, cette stabilité a dû être assez perturbante pour Sulvan, un peu dangereuse aussi : s’apercevoir qu’il pouvait ébranler, casser, puis revenir la bouche en cœur comme si rien ne s’était passé... Il a fini par éprouver toutes ses relations de cette façon-là, quitte à saboter prématurément de belles histoires. Mais avec nous, ça marche à chaque fois. On a toujours été là pour lui. Son envoi à la prison de Rikers n’y changera rien, si vous voulez mon avis, surtout qu’il y a un cousin et qu’il s’arrangera pour reconstruire son petit royaume là-bas. Son père lui a signifié qu’il avait dépassé les bornes, et après ? Cela méritait-il de le jeter dans la fosse aux lions ? Il devrait plutôt admettre qu’il ne pourra pas compter sur lui pour ses projets. Sulvan n’en a jamais fait qu’à sa tête. »

Mme Breeze, toujours un peu complaisante quand il s’agit de son benjamin.

***

« C’est bizarre, quand même. On est sûr qu’il a pas plutôt fait une merde qui lui vaudrait d’atterrir derrière les barreaux si ça s’savait… au lieu d’nous casser les couilles à longueur de journée ? Doit y avoir un truc à creuser.
— Genre ta propre tombe ? Fais gaffe, Billy. La dernière fois qu’un couillon s’est amusé à faire des hypothèses trop chiadées sur cette face de cul épilé, ça a pissé dans les douches pendant trois jours. Et quand j’dis qu’ça a pissé, j’parle évidemment pas du jus d’navet qui t’remplit la vessie. »

Herb’ et Billy, deux détenus préposés à la buanderie.

***

« C’est sacrément idiot, quand même, de s’être enterré à Rikers. Il n'a pas encore fini avec un couteau entre les reins ? Étonnant. Sulvan a figuré parmi les mannequins en vogue aux États-Unis pendant deux ans, il avait déjà prêté son image aux plus grands couturiers et il n’était pas rare de voir sa carrure longiligne et son air impertinent sur nos panneaux publicitaires. Vous saviez qu’il s’apprêtait à participer à une émission de téléréalité ? Il aspirait à devenir une personnalité médiatique et à obtenir toujours plus d’influence, mais en dehors de la sphère pharmaceutique de papa. Apparaître sur les plateaux de télévision et les réseaux sociaux, ce n’était pas assez, il voulait plus, et il était doué pour ça : il savait exactement comment séduire la majorité grégaire et se faire détester de la minorité pensante. »

Rebecca Coleman, son ancienne agente.

***

« Tu savais qu’le dirlo c’était son cousin ?
— Quoi ? J’pensais qu’il était juste passé sous l’bureau pour avoir son job, moi.
— Ben ça explique tout, en vrai. Il a sa piaule pour lui tout seul et j’serais pas étonné d’apprendre qu’il a une demi-heure d’eau chaude au lieu des vingt minutes réglementaires.
— Ah, ça m’fout les boules, mon vieux, ça m’fout les boules. »

Nacio et Stanley, entre deux dépeçages de lapins.

***

« Et sinon, il a d’autres passions dans la vie, à part faire chier l’monde ?
— Sa gueule.
— Son cul.
— Sa queue.
— Morty raconte qu’il a déjà aperçu un appareil photo chez lui.
— La ferme, Bart. »

Des commères au détour des cuisines.

***

« Paraît qu’il était entretenu par une femme plus âgée qu’lui, sur Terre.
— Ouais, on appelle ça une daronne, Billy.
— Me prends pas pour un con, Herb’, tu sais très bien de quoi j’veux parler. »

Toujours Herb et Billy.

***

« Ah, j’l’aime bien, mon p’tit Suly, mais qu’est-ce qu’y peut m’faire suer des fois. C’matin, il a passé un putain d’quart d’heure à m’faire arranger les plis d’ma combi. T’y crois, toi ? J’passe ma journée assis à miner derrière des putains d’lunettes et lui s’prend pour une fashionista. Bon, et après, il m’a parlé d’ma p’tite fille qui m’attend sur C13, comme s’il était d’la famille, tu vois. C’est là qu’j’ferme ma gueule. Toujours. J’sais bien que j’devrais pas et qu’c’est pas sain tout ça, mais voilà, il fait c’qu’il faut, Suly, et dans un an j’suis sorti d’affaires. »

Gene Biby, le meilleur de ses bonhommes au minage.

***

« Et comment on sait ça, qu’le dirlo c’est son cousin ?
— Les Orange Walkers, j’crois, mais j’suis pas sûr. Une sale histoire à mon avis. Un type a dû les solliciter pour fouiner un peu et s'donner d’quoi refroidir Sulvan, et à la place ils ont découvert c’truc-là qui nous met encore plus dans la panade.
— Tu veux dire qu’c’est pas lui qui l’a crié sur tous les toits ? Genre, Sulvan, qui abuse de son pouvoir pour un oui ou pour un non ? Comment c’est possible ?
— Aucune idée. C’est vrai qu’c’est bizarre. Et j’ai pas l’impression qu’ça l’ait enchanté, qu’ça s’sache comme ça. Il en parle jamais, d’ailleurs. Il te dit tu vas m’sucer la queue parce que je sais ça sur toi et qu’tu voudrais pas qu’ça s’ébruite une fois sorti d’ici, pas tu vas m’sucer la queue parce que l’dirlo c’est mon cousin.
— Il t’a vraiment demandé de lui sucer la queue ?
— C’était une métaphore, peau d’con. »

Nacio et Stanley, en train de vous préparer un bon civet.

***

« Il savait faire la fête, Sulvan. Ou plutôt il savait les organiser. Parce que pour monter sur la table, y avait du monde, mais pour rouler dessous, plus personne. J’le connais, moi. Il buvait pas une goutte d’alcool même s’il se donnait l’air d’en écouler des caisses, il reniflait pas un pet de coke. Il détestait la clope aussi. Pareil, tu lui proposais d’baiser sans capote, même pour rire, il te collait un gnon et te virait d’chez lui. Un putain d’ovni. Du genre super prudent derrière ses airs éclatés. Imagine il a l’alcool mauvais ? Ou alors c’est juste pour préserver sa peau d’bébé. Va savoir. Bon, torché ou pas, ça l’empêchait pas d’gueuler plus fort que nous tous. »

Larry, un « pote » terrien qui ne lui manque pas vraiment.

***

« OK, mais on sait pourquoi il a atterri ici, au juste ?
— Y a qu’des rumeurs.
— Du genre ?
— Apparemment son daron pouvait plus l’blairer.
— Ah, j'peux pas lui jeter la pierre...
— Il devait reprendre l’une de ses filiales aux Etats-Unis au lieu d’se désaper devant l’objectif mais il voulait pas.
— Pauvre chou.
— À la place, paraît qu’il ratait pas une occasion d’dilapider la fortune familiale. On raconte qu’il était fiancé, aussi, avec une riche héritière du coin, mais il aurait tout fait capoter.
— Ben voyons. Comment ?
— Y a plusieurs versions. La plus soft, c’est qu’il était mordu d’quelqu’un d’autre et qu’il a gentiment expliqué à sa zouze que ça n’allait pas être possible.
— Gentiment… ?
— J’ai dit la plus soft, pas la plus crédible. Ma préférée, c’est celle du deuxième mariage de son frère.
— Ouais ?
— Ouais. Un vrai maître du sabotage, dans celle-là. Y avait combien de chances pour qu’il se fasse gauler en train d’se taper l’oncle de sa belle-sœur alors qu’on l’cherchait pour qu’il bave son p’tit discours ?
— Ah, monsieur est géronto avec ça. Mais attends, ça l’dérange pas qu’on raconte tout ça sur lui ?
— Tu rigoles ? Ce mec est né avant la honte. »

Nacio et Stanley, en vous regardant bouffer leur civet.

Pseudo: AMP.

Age: Beaucoup trop vieille pour ces conneries. Sulvan Breeze -- I'm not winning, but I'm having a very good time. 2871860972

Comment avez-vous connu le forum? Par les partenariats, je crois, mais ça fait longtemps qu'il est dans mes favoris et je saute enfin le pas car il y a beaucoup de beauté par ici. Sulvan Breeze -- I'm not winning, but I'm having a very good time. 3171695643

Le mot de la fin? La bise !

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Jeu 4 Aoû - 12:45
Invité
Bienvenuuueee ♥

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Jeu 4 Aoû - 12:48
Invité
Bienvenue à toi, future queen de Rikers !

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Jeu 4 Aoû - 13:23
Invité
Welcome par ici ! Sulvan Breeze -- I'm not winning, but I'm having a very good time. 3634231485

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Jeu 4 Aoû - 16:35
Invité
Merci beaucoup les copains, au plaisir de jouer avec vous ! Sulvan Breeze -- I'm not winning, but I'm having a very good time. 3025291235

Edden Zubert
Messages : 340
Métier/Activité : Art thérapeute
Humeur : Fracassante
Jeu 4 Aoû - 20:55
Edden Zubert
Employé
Hiii bienvenue Sulvan Breeze -- I'm not winning, but I'm having a very good time. 2112338933

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Ven 5 Aoû - 10:04
Invité
Bienvenue Sulvan Breeze -- I'm not winning, but I'm having a very good time. 4061241142

Une fiche haute en couleurs !
Ça donne le ton haha

Bon courage pour la validation ~

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Ven 5 Aoû - 10:58
Invité
Bienvenue !

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Ven 5 Aoû - 12:57
Invité
Merci à tous les trois ! Sulvan Breeze -- I'm not winning, but I'm having a very good time. 3025291235

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Lun 8 Aoû - 18:34
Invité
Tu es validé !


Voilà un personnage que nous sommes heureux de voir incarné, qui a le sens de ses privilèges et qui va certainement apporter beaucoup de mouvement sur le forum !

Maintenant que tu es officiellement enfermé des nôtres, tu peux dés à présent réserver ton avatar ou faire une demande d'appartement. Tu seras, du reste, ajouté automatiquement à la liste des métiers. Une fois fait, tu peux faire une demande de lien ou une recherche rp afin de commencer l'aventure, et dans un même temps créer ton carnet de bord. Les intrigues sont à ta disposition si tu souhaites te pencher vers une quelconque enquête :)

Amuse-toi bien !

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