Charles...magne ! [Ieroklès daddy] L2vo
An 2588. Nous sommes à Rikers Space Jail Processing, un centre d'incarcération spatial. Détenus, surveillants, médecins, employés ou même pilotes chargés des vaisseaux de sauvetage, vous séjournez dans la station la plus éloignée du monde terrestre et des colonies qui gravitent autour de la Terre. Mais sauriez-vous percer le secret qui plane sur la Sedna Corporation, l'entreprise à l'origine de Rikers ?
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Charles...magne ! [Ieroklès daddy]

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Dim 24 Avr - 17:07
Invité
Ierokles Silas
« Un homme libre est une illusion. Nous sommes tous contraints de rentrer dans des cases. »
Carte d'identité

Prénom & Nom : Ieroklès Silàs

Âge : 43 ans

Taille : 1.83 m

Poids : 86 kg

Couleur des yeux : Vairons (l’un bleu, l’autre pers)

Lieu de naissance : La Lune

Origines : C’est le bordel, mais vu son nom, des ancêtres Grecs.

Situation familiale : Il n’en parle pas, c’est compliqué.

Métier : Professeur de Lettres (de formation) mais il enseigne surtout des bases de culture générale, de philosophie. L’important n’est pas tant le fond mais la manière de le transmettre.

Années de contrat : CDI

Années effectuées : 10 ans déjà, bientôt la retraite pépé !


Signes de reconnaissance

feat. Nyx Ulric de Merwild
Visage : Nez vif (même si ça veut rien dire), mâchoire carrée, saillante. Le reste du visage est relativement banal ; si vous le rencontrez dans une supérette (oui ça n’arrivera pas ET ALORS !) il ne risque pas de vous laisser un souvenir impérissable.

Cheveux : Bruns, tout ce qu’il y a de plus commun, en-dehors peut-être de la coupe. Il les rase sur les côtés de manière à laisser une crête sur le dessus et la nuque longue (NON CE N’EST PAS UN MULET). Se confectionne quelques nattes pour éviter que ça ne retombe sur ses oreilles.
/!\ Warning : homme poilu. /!\

Musculature : Rapport taille/poids homogène. Il a un peu de bidon du fait de son âge. Cuisses musclées.

Allure générale : Random équipé avec options :
1. Sourire avenant
2. Démarche assurée de daddy
3. Une bombe atomique ? R.A.S ma couille, détends-toi ça va bien se passer
4. Toujours le bon mot pour déjouer les tensions (bons mots old school souvent)

Détails sur la tenue : Cool. S’il veut faire cours en t-shirt à fleurs il fait cours en t-shirt à fleurs. Sa garde-robe est peut-être la moins formelle et la plus colorée de tout le personnel. Ah et des semelles compensées aussi, ça fait « Batman », et pour botter les culs c’est nickel chrome.

Signes distinctifs :
- Griffe du lion entre les yeux.
- Il a un gros grain de beauté sous l’œil gauche.
- Une patte d’ours tatouée sur chaque pectoral.
- Lunettes de repos.
- En-dehors des heures au contact des détenus, il porte plusieurs anneaux sur chaque lobe.

Autres : "Si Chuck Norris pose sa main sur l'épaule d'un enfant, il arrête sa croissance."


Dossier mental

Qualités : Bienveillant – Compréhensif – Avenant – Pédagogue – Aimant - Passionné

Défauts : A du mal à tisser des liens profonds et à parler de lui-même – Mordu de boulot au point de délaisser d’autres aspects de sa vie – Fait confiance rapidement même au pire des gars (il pense qu’on peut laisser sa chance à tout le monde) – Aime le couscous avec beaucoup trop de pois chiches dedans…

Orientation sexuelle : Trompettiste.

Comment gère-t-il l’hostilité ? Avec une forme de diplomatie mêlée d’humour, et ça a fait ses preuves pour désamorcer des têtes brûlées. On fait appel à lui aisément en cas de « caca nerveux ».

Que pense-t-il de l'écart de privilèges entre les colonies et les Terriens ?
Que la scission de la société entre riches et pauvres ne date pas d’hier, que s’insurger, c’est une chose à la portée du premier venu (il allait dire « péquenaud »), mais qu’il vaut mieux éduquer les deux parties pour éviter de creuser encore plus le gap.

Quel est son plus grand rêve ? Une bière avec l’homme qu’il aime sur les genoux, et des enfants partout qui courent en criant « Papa ! ».

Quel est son pire cauchemar ? Il l’a déjà vécu. La prison en tant que détenu et l’humiliation qui s’en suit. Il ne tendra pas l’autre joue.

Pourquoi travailler à Rikers ? Parce que tous ces types ne sont pas foutus et irrécupérables, et que même si certains n’en sortiront jamais, il veut les aider et leur permettre de réfléchir à leur situation, à leur condition d’être humain et pas seulement d’incarcéré.

Description générale :
Ieroklès n’est pas du genre à utiliser des euphémismes, il est même parfois un peu vulgaire mais son propos est toujours explicite, clair, net et précis. On l’aime ou on le déteste ; pas de compromis possible.
D’une nature positive et sociable, il considère avant tout les détenus avec humanité, ce qui peut lui être reproché, cependant il n’a eu à essuyer que peu d’incartades en dix ans de loyaux services (une bagarre qui lui a laissé des ecchymoses, tout au plus, à ses débuts), preuve que son fonctionnement porte des fruits, quoi qu’on puisse en dire.
C’est un acharné du boulot qui passe énormément de temps à la bibliothèque, à lire et à se documenter. Il suit aussi les actualités terrestres, lunaires et coloniales afin de ne pas se contenter de son bagage déjà acquis et se remettre en question continuellement, cherchant des sujets pouvant captiver ses « élèves ».
Foncièrement bon malgré son parcours difficile, il a plus foi en les autres qu’en lui-même mais c’est un trait de caractère qui n’apparaît pas au premier regard, car il fait toujours tout pour éviter de parler de lui directement (sauf quelques anecdotes amusantes pour étoffer ses leçons).
Certains diront qu’il est « relou », d’autres que ça a son charme. Car charmant, il l’est. Toujours attentionné envers ses collègues, il reste cependant assez insaisissable quant à s’engager dans des relations sérieuses. Chat échaudé craint l’eau froide, et il a vraiment tout du matou dont on a envie de grattouiller la crête et p... Vous avez compris l’idée.


Historique
...

   Il n’y a pas de jour ni de nuit sur la Lune, mais nous dirons que c’est par une belle après-midi de Mai qu’il est né d’une mère journaliste et d’un père mineur que le destin a étrangement liés, sur le satellite terrestre plein de taches d’huile. Contrairement aux idées reçues, ce n’était pas un « beau » bébé ; Ieroklès naît avec des taches un peu partout sur le corps (qui disparaissent en grandissant), et surtout c’est un prématuré qui a failli ne jamais voir le jour. Ses parents ne l’en aiment que davantage, et en cela, il a une enfance chérie, ne manque de rien.

   Iero’ développe très jeune un don pour l’écriture et la lecture. Ses parents lui lisent des contes tous les soirs, et il écrit à sept ans ses premières histoires de dragons mangeurs de planètes et de vaisseaux spatiaux voguant jusqu’au bout du monde. Certes, ce ne sont pas des chefs-d’œuvre, mais c’est le meilleur moyen qu’il ait trouvé pour laisser libre cours à son imagination débordante, et indirectement rendre extrêmement fiers ses parents. Tout au long de sa vie, il écrira. Sa bibliothèque s’agrandit sans cesse de livres et de contenus audio et vidéo envoyés par ses grands-parents des colonies.

   En voyage scolaire avec sa classe sur une colonie proche de la Lune abritant un parc zoologique, il comprend qu’il est attiré par les garçons lorsque lui et son meilleur ami de l’époque s’isolent près de la volière des grues japonaises, et échangent leur premier baiser. C’est merveilleux, ça le transporte et lui inspire des poèmes un peu bancals qu’il envoie à Timothé (le fameux meilleur ami). Seulement du côté de ce dernier, c’est juste « pour tester », voir ce que ça fait d’embrasser un garçon. Ça s’arrête là. Ieroklès est dévasté et vit son premier chagrin d’amour. A quatorze ans.

   Lorsque ses parents se séparent, sa mère retourne vivre sur Terre pour y continuer son métier de journaliste-reporter, mais Iero’ a du mal à quitter son père… Il ne veut donner raison à aucun d’eux et décide d’entreprendre des études pour devenir professeur, sur une colonie à égale distance entre la Terre et la Lune. Diplômé au bout du compte avec une mention plus qu'honorable, tout lui réussit alors et après une année de stage, il enseigne enfin. Partagé entre plusieurs niveaux, c’est auprès des presque jeunes adultes qu’il prend le plus plaisir à enseigner les Lettres. Leur répondant et leur désir de connaissances le comblent. Lors de sa deuxième année, il fête ses vingt-quatre ans et rencontre Sam, de dix ans plus jeune que lui. Et c’est là que les emmerdes commencent.

   Sam est un jeune garçon extrêmement intelligent et rejeté par les autres qui ne voient en lui qu’un petit « intello ». Il ne s’épanouit que dans la compagnie des adultes, notamment de ses professeurs avec lesquels il peut échanger et libérer son esprit fourmillant de questions sans réponses. Ieroklès est admiratif et l’encourage à échanger dès qu’il en ressent le besoin. Sam reste toujours quelques secondes supplémentaires à la fin de ses cours, quand tous les élèves sont partis, puis les secondes deviennent des minutes, les minutes des heures… Une relation très forte se noue entre eux. De l’ordre de l’admiration d’une part, de l’affection de l’autre. Sam est entreprenant, sollicite Ieroklès même en-dehors des cours, le soir, les week-ends, pendant les vacances, jusqu’à laisser entrevoir la réalité de sa démarche : son attachement est au-delà du respect. Il est profondément épris.

   Deux années passent durant lesquelles Ieroklès s’abstient de faire remonter à sa hiérarchie ce « débordement » qu’il pense pouvoir gérer avec délicatesse. « On ne peut pas aimer son professeur, pas de cet amour-là », dit-il un jour à Sam. Cependant, en lui-même il sait déjà très bien que la réciproque est engagée, et que le jeune étudiant doit le ressentir. Le repousser n’a fait qu’exacerber ses sentiments, et nourrir son propre désir. Au-delà des lois. Mais personne ne sait, personne ne saura, ils seront prudents… ? C’est l’été venu, au cours d’une heure d’aide aux devoirs, que la main de Sam glisse sur celle d’Ieroklès. Il fait chaud, ils se regardent, puis s’embrassent passionnément d’un commun accord.

   A mesure que les entrevues se multiplient, l’étau se resserre. Leur liaison dure un an. Jusqu’à ce qu’un détail stupide, un détail insignifiant ne mette le feu aux poudres et ne compromette ce qui n’aurait de toute façon jamais dû commencer, ni exister. La porte. La porte du bureau d’Ieroklès, laissée ouverte un soir, alors qu’ils s’enlacent, sur le point d’aller plus loin… C’était sans compter sur la femme de ménage qui passait à cette heure-là. Comment avaient-ils pu omettre un élément aussi…habituel, ancré dans le quotidien ! Excès d’assurance. Bien entendu, la femme de ménage parle. Au directeur. Qui fait parvenir l’information aux parents de Sam, à l’académie, afin qu’une enquête soit menée. Toutefois, le père de Sam, qui n’est pas homme au cœur noble et dont les croyances archaïques affirment que l’homosexualité est une maladie grave, cet homme-là donc, fait tout son possible pour mener Ieroklès droit aux enfers. Et il l'y mènera.

   Sam doit suivre une thérapie de conversion dans un établissement spécialisé. Ieroklès ne le revoit qu’à son procès. On l’accuse de détournement de mineur, de viol, de « lavage de cerveau », on le traite de « sale pédé », « comment un représentant du savoir a-t-il pu abuser de notre enfant ! », on le répudie. Sam ne peut promouvoir son consentement qui n’a de toute façon aucune valeur légale, qui plus est il est si terrifié par le traitement réservé par son père qu’il abandonne son professeur à sa peine : Ieroklès écope d’une amende de soixante-quinze-mille dollars et de cinq ans de prison ferme. Son monde s’effondre encore un peu plus quand il apprend que sa mère a été tuée en plein reportage dans un conflit terrien. Dans cet obscur tableau, la seule lumière provient de son père qui ne cesse de lui assurer son soutien, et de proclamer son innocence.

   Lakla. Maison carcérale de la colonie Ellarobog. C’est dans une toute petite cellule qu’il purge sa peine, côtoyant la pègre. Les violences sont quotidiennes, bousculades lorsque c’est calme, lynchage, jusqu’au viol pour certains dans les mauvais jours. Ieroklès échappe au pire, par chance, enfin surtout parce qu’il se lie d’amitié avec les deux gitans qui partagent sa « cabane ». Ils le protègent, et en échange il leur apprend à lire, à écrire, à compter et à réfléchir par eux-mêmes. C’est auprès d’eux qu’il prend pleinement conscience de l’écart de privilèges entre les colonies elles-mêmes et demande à travailler en prison. Il donne des cours aux volontaires, accompagné par deux surveillants, et commence ainsi à rembourser son amende. Lakla reste à la fois un terrible et un excellent souvenir qui l’a forgé et lui a permis de rebondir.

   A trente-deux ans, il quitte Ellarobog passe quelques mois avec son père et postule dès qu’il le peut pour reprendre un emploi fixe, n’ayant pas perdu la flamme de la passion de transmettre. Mais avec un tel casier judiciaire et une réputation mise en pièces par le père de Sam, personnalité influente n’ayant rien laissé au hasard, il est refusé dans tous les établissements.
Tous, sauf un.
Rikers SJP trouve son CV intéressant, son expérience enrichissante, et après un entretien virtuel, il obtient un poste de professeur là-bas. Très bien payé. Il a carte blanche, et qui mieux placé qu’un ancien détenu pour s’occuper d’autres détenus ?
Mais Rikers est rude, plus rude que Lakla, et les hommes ne l’écoutent pas. Avoir le rang de « professeur » et donc de supérieur hiérarchique ne fait pas le respect, et il l’apprend. Des ecchymoses en témoignent, une fois pas deux. C’est à lui de s’adapter, pas à eux. Il sait ce que c’est que d’avoir été jeté dans une cage, d’avoir rampé et lutté contre soi-même, contre le monde entier. Il leur en témoigne, à eux, les cassés, les balafrés, les meurtriers, les bourreaux, les dérangés, les cannibales et les hackers. Et petit à petit, ils l’écoutent.



Pseudo : L’Ours

Age : C’est la vieillerie bordel de bordel !

Comment avez-vous connu le forum ? Ceci est une vraie question ?

Le mot de la fin ? Les poissooooons…les petiiiiiits poiiiissooooooons !

avatar
Dim 24 Avr - 17:58
Invité
Welcome back ,daddy lunaire ♥

avatar
Dim 24 Avr - 18:53
Invité
Merci BG ! Charles...magne ! [Ieroklès daddy] 4224168824

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Mar 26 Avr - 16:36
Invité
Bienrevenue sur le forum ! Hâte de pouvoir balancer des gens dans les papattes de Iero !

avatar
Mar 26 Avr - 19:10
Invité
Et pourquoi est-ce que tu ne te balancerais pas TOI, Lococo ? Charles...magne ! [Ieroklès daddy] 2871860972

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Mer 27 Avr - 16:01
Invité
Tu es validé !


Ieroklès est un perso génial, on ne peut qu'en tomber amoureux ! Son histoire est très "douce" dans un sens, et tellement bien amenée !

Maintenant que tu es officiellement enfermé des nôtres, tu peux dés à présent réserver ton avatar ou faire une demande d'appartement. Tu seras, du reste, ajouté automatiquement à la liste des métiers. Une fois fait, tu peux faire une demande de lien ou une recherche rp afin de commencer l'aventure, et dans un même temps créer ton carnet de bord. Les intrigues sont à ta disposition si tu souhaites te pencher vers une quelconque enquête :)

Amuses-toi bien !

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