Rien n'éteint le feu. [Kostaki] L2vo
An 2588. Nous sommes à Rikers Space Jail Processing, un centre d'incarcération spatial. Détenus, surveillants, médecins, employés ou même pilotes chargés des vaisseaux de sauvetage, vous séjournez dans la station la plus éloignée du monde terrestre et des colonies qui gravitent autour de la Terre. Mais sauriez-vous percer le secret qui plane sur la Sedna Corporation, l'entreprise à l'origine de Rikers ?
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Rien n'éteint le feu. [Kostaki]

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Sam 18 Déc - 20:22
Invité
Kostaki Bademagu
« Je crame donc je suis ? »
Carte d'identité

Prénom & Nom : Kostaki Bademagu

Matricule : B7 - 9937

Âge : 37 ans.

Taille : 1.95 m

Poids : 85 kg

Couleur des yeux : Bleu (il n'en a qu'un seul).

Lieu de naissance : Terre (mais il a pas mal bourlingué dans l'espace)

Origines : Europe de l'Est (du sang moldave).

Situation familiale : Seul, archi-seul.

Motifs d'incarcération : Officiellement ? Incendies de biens privés, de biens collectifs. Assassinat de sa mère, immolation de son ancienne compagne et autres "petites" diableries. (Officieusement, il a en toute conscience tenté de mettre le feu aux locaux de la SEDNA Corp, et a de ce fait en sa possession des informations qui ont accéléré et aggravé son jugement. Rikers le garde soigneusement en son sein afin qu'il ne divulgue pas ce qu'il sait de très...trèèèèès compromettant.)

Années de détention : Perpétuité, au vu de sa dangerosité.

Années effectuées : 5 bébés années.

Groupe : Neutre pour le moment. Pas sûr qu'un électron libre trouve sa place où que ce soit.

Fonction/métier : Inapte pour le moment. Lui confier des responsabilités n'est sans doute pas une bonne idée, il risquerait de foutre le feu au moindre prétexte. Il l’a déjà fait.


Signes de reconnaissance

feat. Pip Bernadotte de Hellsing

Visage : Anguleux, sa tête, on dirait un foutu triangle imberbe.

Cheveux : Roux, longs, nattés. Souvent des mèches se barrent de là-dedans.

Musculature : Coup de trique (immangeable !). Les muscles semblent soudés au squelette, comme ceux d’un cheval de labour.

Allure générale : Même quand ça ne va pas, il sourit. Un large sourire d’apocalypse sous cloche. Les rides aux coins de ses lèvres ne sont pas pour arranger le tableau ; on dirait qu’il n’y a que là qu’elles poussent.

Détails sur la tenue : Son chapeau lui manque beaucoup...

Signes distinctifs : Faute d'avoir pu se faire poser un œil bionique, il porte un cache-œil sur la paupière gauche, qui lui enserre toute la tête. L’œil qui lui manque a été crevé, arraché, mangé par Kentin Bolkov au cours d'une rixe entre leurs deux clans, sur une colonie.
Ses bras sont couverts de marques de morsures de chien...un malinois pour être précis.
Toujours un pansement sur le nez, personne ne sait pourquoi.  
Il lui manque l'annulaire de la main droite et un orteil au pied droit.

Autres : Il tuerait pour une cigarette, car à son arrivée il a dû être sevré de force (on comprend pourquoi non ?) alors qu’il était du genre fumeur invétéré à au moins un paquet par jour. L’envie de fumer n’a jamais vraiment disparu, il la compense avec le sexe, auquel il est devenu addict.


Dossier mental
Qualités : Bon comédien (quoi c’est un défaut ?) – Soigneux de ses affaires et de ses cheveux – Repère l’odeur d’un combustible de loin – Loquace – Utilise tout le temps le mot « grandiose » ?

Défauts : Gère très mal l’anxiété et le stress – La solitude exacerbe son caractère belliqueux – Provocateur – N’éprouve pas de remord dans la destruction – Mythomane – Excessif.

Orientation sexuelle : Tout ce qui peut se faire sodomiser. Il aime d’ailleurs mener son psychiatre en bateau en lui racontant toutes sortes d’anecdotes « fondatrices » sur les origines de sa manie : par exemple qu’il aurait violé une brebis à l’âge de neuf ans.

Comment gère-t-il l’hostilité ? Il la génère et ça finit rarement bien, à moins qu’il y ait un cerveau évolué et pas malade en face de lui. Affronter les autres, que ce soit avec des insultes ou une attitude physique désinvolte et provocatrice, c’est un moyen d’entretenir le feu ; de se sentir vivant.

Que pense-t-il de l'écart de privilèges entre les colonies et les Terriens? Là où il y a des hommes, il y a de la merde, faut bien essuyer ses chaussures avant d’entrer quelque part.

Quel est son plus grand rêve? Est-ce qu’on peut se résoudre à finir sa vie enfermé et surveillé ? En cinq ans il a déjà bien avancé là-dessus, et se résigne jour après jour à une chose : dynamiter Rikers de l’intérieur et révéler son secret au grand jour, avant de kamikazer dans un grandiose feu d’artifices qui embrasera son corps et son esprit.

Quel est son pire cauchemar? La solitude… Les séjours en isolement ont tendance à l’achever, il lui faut des semaines pour se « rallumer ».

Quel est son but en prison? Le Chaos.

Description générale : Kostaki est un artiste incompris. Sa manie est un talent obtenu par-delà le sang et les larmes. En prison, les phases d’hystérie intense sont régulées par des médicaments puissants mais sa personnalité demeure palpable, toujours sous-jacente, caractérisée par un sourire à toute épreuve. Même quand il se fait fracasser, il sourit, voire rit, ce n’est pas une défense pour rendre le monde plus digeste, c’est juste sa façon de réagir. Rien n'éteint le feu. Et ça énerve.
Globalement l’entente avec le genre humain est délicate. Ses relations sont souvent superficielles, il n’a pas vraiment d’amis sur qui compter (même si un ami serait simplement quelqu’un qui lui procurerait des cigarettes ou une petite allumette à vrai dire… définition revue à la baisse) et ne se lie que pour tirer un coup de temps en temps ou flatter grassement. D’ailleurs, il n’a toujours pas réintégré – oui en cinq ans !! – une cellule avec un ou plusieurs autres détenus. C’est aussi un observateur. Il agit relativement peu, paraît attendre des occasions anodines pour les autres afin de bouger ses pions. Il sait que démolir l’institution ne se fera pas en quelques années, et il compte bien faire frémir ses bases régulièrement, rappelant qu’il sait. Personne ne le croirait, s’il se mettait à parler de tout ça de toute façon, alors il se tait, donne le change, ment, détourne. Jugé inapte à travailler dans quelque domaine que ce soit, l’équipe médicale attend qu’il ait fait davantage ses preuves en matière de bonne conduite sur la durée avant de réviser son jugement le concernant.


Historique



Et si j’avais décidé que tout ce qui va suivre est faux ? Inventé de toutes pièces ? Oh, vous savez, j’ai pas de remord à coudre ma propre vie dans tous les sens. Alors…on va faire un deal : à vous de retrouver ce qui est vrai, et ce qui est faux ! Je suis sûr que ça va être amusant !!!!!!


🔥
Inceste:

C’est chouette hein ?! ALLEZ on continue !


🔥 J’ai toujours su que ça se manifesterait, d’une manière ou d’une autre. Je veux dire que ce que j’avais vécu m’avait changé et que j’attendais juste de voir quelle forme prendrait ma rébellion intérieure. J’étais curieux de moi-même, mon propre sujet d’expérimentation. Je provoquais des situations sensibles pour voir si quelque chose se déclenchait, des disputes, des bagarres, des accidents. Mais j’étais déçu que rien ne prenne. Terreau infertile et inutile que j’étais. Jusqu’au jour où j’ai, après avoir suivi des miaulements pendant une bonne dizaine de minutes, déniché un chat englué dans de l’huile de vidange. Impossible de déterminer sa couleur d’origine, et ses yeux étaient tout collés, de même que son poil qui lui donnait des airs de rat famélique. Sans gants, je l’ai sorti de là en lui parlant pour le rassurer, pour qu’il n’ait plus peur et qu’il fasse confiance au môme de douze ans que j’étais. Ce n’est pas vraiment par amour des bêtes, mais plus pour me laisser le temps de comprendre comment il était tombé là-dedans. Le garage était immense et vide à cette heure ; quand on est petit, on peut se faufiler par une trappe ou une fenêtre mal fermée. Et puis il y avait quelque chose d’autre, quelque chose de nouveau et qui dormait en moi depuis deux ans déjà. Ça s’est réveillé, ou plutôt ça s’est animé. Le chat poisseux sous le bras, j’ai dérivé vers un chalumeau posé sur un établis. Bel engin, je m’en rappelle encore, et surtout et très précisément du bruit de la flamme bleue qui a jailli et grillé un moucheron qui passait là.

Le lendemain, aux informations, on déplorait la disparition du garage « Bembo4 » dans un incendie probablement dû "à un dérèglement du système électrique".


🔥 J’ai eu ma première érection au bout de trois feux. J’avais quatorze ans. C’est l’incendie qui déclenche ça : cet état d’extase, de jouissance infinie qui monte, qui monte, qui monte…. Ahhhh, si haut ! Qui peut dire avoir connu un tel brasero ? Ce sont des orgasmes paroxystiques.
Au début, je m’en tenais à quelques-uns et puis au fil des années la fréquence a augmenté drastiquement, au rythme d’un besoin exponentiel.

Brûler. Brûler. Brûler.

Je vous raconte ça très calmement, mais l’évocation du feu suffit à m'exciter, même sous forme de métaphore.


🔥 Il y a eu des périodes plus calmes. Deux ou trois ans de flambées plus mesurées pendant que je bossais dans un grill à faire rôtir des poulets, des pièces de bœuf et de mouton toute la journée, et même une bonne partie de la nuit parfois. C’est là que j’ai découvert combien la viande cuite avait une odeur remarquablement subtile ; une autre forme d’extase. Je ne quittais pas les fourneaux, jamais.
Et puis j’ai recroisé ma mère.
Je ne sais pas, elle passait juste. Ça m’a fait un électrochoc, d’autant qu’elle ne m’a pas regardé.

Elle. ne m’a. pas. regardé.

Je me souviens qu’un collègue m’a demandé ce que je faisais avec la bombonne de gaz en partant, et avoir répondu précisément que je n’en avais plus chez moi. Mais je n’allais pas dans ce que j’avais encore envie d’appeler « chez moi ». C’était chez elle. Et j’ai attendu qu’elle soit dans son lit, qu’elle s’endorme, égrainant les heures sans sourciller, docilement. J’aurais pu attendre toute la nuit comme ça. Pénétrant sans bruit, comme un chat noir, j’ai dégoupillé la bombonne dans sa chambre, et j’ai attendu qu’elle se vide suffisamment, laissant une excitation indicible me gagner.

En sortant, je n’ai eu qu’à envoyer le jus dans sa chambre via le compteur. Rien qu'une minuscule et insoupçonnable étincelle, équilibre parfait entre oxygène et propane. Ça a été grandiose. Dans l’explosion, j’ai hurlé, hurlé jusqu’à ce que ma langue soit sèche : tout est sorti, tout est parti.
J’ai le souvenir d’avoir ri à gorge déployée pendant une heure après ça, sans parvenir à me calmer.


🔥 La Zoubritskaïa ? C’est eux qui m’ont trouvé, sur une vieille colonie. Ils ont flairé mon sang moldave et puis n’ont eu qu’à suivre les cendres et les traces d’essence. A l’époque ils étaient pas trop regardants sur « qui », « quoi », « où », « comment », et ils avaient besoin d’un incendiaire. Ma réputation me précédait, et j’étais flatté de trouver enfin un milieu qui ne chercherait pas à me mettre une laisse et à me faire aller dans le droit chemin. Soulagé de pouvoir arrêter de changer de planque tous les mois.
Leur chemin était une route qui visait à devenir une autoroute, et ainsi de suite. J’aurais toute la place pour étendre mes ailes. Leur spécialité : disparaître et semer les chiens des gouvernements. J’étais le seul avec les cheveux longs, et j’ai préféré donner un doigt et un orteil pour entrer que de me raser la boule à Z.
Vol, trafic, meurtres, répression, attentats, leur publicité faisait envie. Il fallait pas déconner avec les plans, mais j’ai vite pris la main. On était des jeunes loups, on sortait en meute, j’étais l’extrémité de cigarette toujours allumée qui marchait devant avec un jerricane et un Zippo. Ça a été le pied, cette demi-vie.


🔥
Violences:


🔥 J’ai toujours admiré béatement les hommes, sans jamais oser les approcher. Jusqu’à Volodia. C’est bizarre hein ? De coucher avec le type qui couchait avec mon ancienne nana ? C’est lui qui m’a fait comprendre pourquoi. C’est ce qu’ils dégagent, leur aura puissante, le feu qui navigue sous leur peau, dans leurs veines, un feu que je ne peux pas maîtriser celui-là, semblable au mien.
Nastia était un catalyseur, Volodia a été un détonateur.


🔥 Qui est Kentin. Oh pardon ! Qui est Kentin ? C’est le petit nom que j’ai donné à l’œil qu’il me manque. Pourquoi ne pas nommer ce qui n’est plus ? Pourquoi pas. C’est le nom de mes douleurs fantômes. Son nom à lui, Kentin. Si vous saviez, j’étais simplement et gentiment sorti faire un peu de repérage et fumer tranquillement ma ribambelle quotidienne de clopes, quand je suis tombé nez à nez avec un gamin à l’air ahuri. A mon habitude, j’ai souri, l’ai invectivé – gentimeeeeent - pour savoir ce qu’un « clodo » faisait sur le territoire de la Zoubritskaïa et la tension est montée. J’adore ça, j’ai donné le premier coup. Électricité dans les poings, ça décoiffait. Jusqu’à ce que des aboiements ne retentissent. Le clodo avait un cabot. J’en garde de belles traces de morsures, bien profondes, sur les deux avant-bras, et une sensation douce-amère d’intérêt et de vengeance mêlés envers ce gamin.

Sans mauvais jeu de mots : ça a mis…le feu aux poudres. HA HA HA HA HAAAA ! Je suis con.


🔥 Les Zoubrit éliminent toujours ce qui traîne chez eux. C’était sans compter que le fameux Kentin fasse partie d’un clan adverse qu’il a rameuté pour éviter de passer à la casserole tout seul – casserole, feu, tout ça, on s'marre. J’ai perdu un œil au combat, le gauche ; d’abord crevé, puis arraché salement, et gobé sous mes yeux par l’intéressé. Je crois que ce dont je me rappelle le plus, c’est de mon hébétement, plus que de la douleur lancinante qui a failli me faire perdre connaissance, plus que la tiédeur du sang qui coulait sur mon visage, souillant mes fringues. Si je retombe un jour sur lui… comme dit le proverbe : « Jamais deux sans trois ! », je sais pas qui mangera qui.


🔥 Ah, douce Rikers. Sacrée putain pour les crasseux, les déphasés, les immortels génies du mal, de la peur et du vice. C’était prévisible que j’échouerais tôt ou tard dans une boîte de conserve. J’avais envisagé voler encore un peu de colonies en colonies avant qu’on stoppe ma course à coup d’antipsychotiques et de stabilisateurs d’humeur. Il faut croire qu’ils ont très peur de moi là-dedans. Au point que je suis suivi de manière hebdomadaire par un type qui croit me connaître et veut me guérir. La thérapie proposée est la suivante : on me construit des activités susceptibles de m’éloigner de mes pulsions et visant à canaliser mon comportement impulsif. OK. BONNE CHANCE LES MECS.
Si vous visualisez des coloriages et du yoga, vous êtes pas loin de la réalité. C’est de la connerie, ça me fait rire et ça me désole à la fois qu’ils aient si peu d’imagination, et accessoirement rien compris du tout à mon œuvre. Parce que je sais que je suis pourri, tombé par terre il y a bien longtemps. Les pommes tavelées ne remontent jamais dans l’arbre.

J’aime mener le psy’ en bateau, m’inventer, me réinventer, répondre à des questions par des questions ; ça participe à tromper l’ennemi, lui donner ce qu’il veut et garder les meilleurs morceaux pour moi. Même si mentir est un jeu dangereux – enfin bon il y a longtemps que je le pratique.

J’ai pas raconté ça encore ? Comment j’y suis arrivé ? Merde, c’était peut-être bien pour un incendie plus gros que les autres, ou alors une flambée de rien du tout. Quelque chose qui n’avait rien à voir avec les Zoubrit, quelque chose qui avait juste à voir avec moi et ma détermination farouche et indomptable à semer le chaos. Le grand Désordre. Tester…les limites. Ce que je fais depuis toujours.

S’attaquer aux locaux de la SEDNA Corp était probablement la marche de trop dans l’escalier de mon ascension. On pourra pas me reprocher d’être resté les mains dans les poches !

Il a fallu des mois pour tout planifier. Endroit bien gardé, trèèèès bien gardé. Faux papiers. Usurpation de l’identité d’un gardien envoyé au placard. Infiltration. Je n’avais pas beaucoup de temps pour agir, chaque zone semblait plus à même encore que la précédente à accueillir au mieux le feu que j’allais faire naître, qui allait jaillir et tout emporter, à l’aide de délicats explosifs. Jusqu’à cette salle de contrôle. Jusqu’à ce que je réalise l’envers du décor, que j’avais sous les yeux un des plus grands fiascos de ce millénaire…et que j’éclate de rire. Les premières détonations ont commencé à retentir, puis une sirène et le vacarme des démineurs et du personnel de sécurité. Aujourd’hui, je continue de me dire, ironiquement, que c’est mon rire qui m’a trahi, et les cendres de ma cigarette tombées sur le panneau de contrôle. Ils m’ont serré, et je riais, je riais car je savais qu’ils allaient me descendre. Que c’était la fin.

Bah ça ne l’a pas été et sur ce point ils m’ont troué le cul. Bien sûr, il était hors de question pour eux de me laisser traîner dans la nature ou dans une prison – une « PRISON » - banale. L’idée, c’était de m’avoir à portée de main, et mon avocat a pu essayer de plaider toute la folie du monde, ceux de Rikers ont jugé que ce que je savais devait rester entre leurs murs. Et me réduire au silence aurait été un aveu trop important.
Alors j’ai passé ce que j’appelle le « sas », et je suis resté pendant des mois en observation, loin des autres détenus après mon « réveil » chez eux.

Observation, isolement, observation, isolement.

J’appelais ça la « balançoire ». Quelques départs d’incendies à droite à gauche pour faire chier, pour le plaisir quand j’avais ce qu’il fallait où il fallait, un gardien décédé des suites de ses brûlures. J’ai été balloté comme un vieux mégot entre la poubelle noire et la poubelle jaune.

Ahhhh. Quelle vie !

Je compte bien pourrir la leur, désormais, et regarder les murs fondre d’eux-mêmes.


Pseudo: Björn

Age: Bientôt 28 t_t

Comment avez-vous connu le forum? J'ai déjà déposé mes valises deux fois ♫

Le mot de la fin? BURN THEM ALL !!!!!

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Dim 19 Déc - 12:39
Invité
Bonjour fellow psychopathe~
C'est bien dans cette prison, quand on pense avoir creusé le fond des dégénérés il y en a encore ! Au plaisir d'allumer ton feu un de ces jours 🔥

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Dim 19 Déc - 18:18
Invité
Dégénéré ?? Tu vas le vexer ! C'est un artiste ! /PAF

Merci pour le petit mot Rien n'éteint le feu. [Kostaki] 4224168824

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Dim 19 Déc - 20:01
Invité
Bienvenuuuueeeee ♥

*sautille pour aller lire la fiche*

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Lun 20 Déc - 10:14
Invité
*ronronne* Merciii ♥

On se verra sûrement bientôt Rien n'éteint le feu. [Kostaki] 2871860972

Miguel Galvez
Messages : 263
Matricule : G8 - 2231
Métier/Activité : laverie / mécanique
Humeur : fulminante
Mar 21 Déc - 12:03
Miguel Galvez
Black Perros
Tu es validé !

Quel personnage !

Fort en personnalité, en histoire, sans tabous, je l'aime beaucoup beaucoup ! Et je suis fasciné que tu ais réussi à l'écrire en un weekend, agréablement et sans fautes (du moins je n'en ai pas vu)  Rien n'éteint le feu. [Kostaki] 2817153971

Il y a de quoi s'amuser avec lui, je suis impatient de voir ce que ça va donner  Rien n'éteint le feu. [Kostaki] 3542112596


[b]Ta cellule se trouve dans la zone 01 et ton camarade de cellule n'est autre que @Kentin Bolkov  Rien n'éteint le feu. [Kostaki] 463559343

Maintenant que tu es officiellement enfermé des nôtres, tu peux dés à présent réserver ton avatar. Tu seras, du reste, ajouté automatiquement à la liste des métiers. Une fois fait, tu peux faire une demande de lien ou une recherche rp afin de commencer l'aventure, et dans un même temps créer ton carnet de bord. Les intrigues sont à ta disposition si tu souhaites te pencher vers une quelconque enquête :)

Amuse-toi bien !

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