Can't say Goodbye to Yesterday L2vo
An 2588. Nous sommes à Rikers Space Jail Processing, un centre d'incarcération spatial. Détenus, surveillants, médecins, employés ou même pilotes chargés des vaisseaux de sauvetage, vous séjournez dans la station la plus éloignée du monde terrestre et des colonies qui gravitent autour de la Terre. Mais sauriez-vous percer le secret qui plane sur la Sedna Corporation, l'entreprise à l'origine de Rikers ?
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Can't say Goodbye to Yesterday

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Mer 21 Juil - 4:21
Invité

Cezar O. Cojocaru
« it's not premarital sex if you never get married. follow me for more biblical loopholes »
GET A GOOD VIBE
Prénoms & Nom: Cezar Oz Cojocaru. (Il est très fier de l'acronyme que ça donne).

Âge: Secret défense. (41 ans et trop bien conservé.)
Son anniversaire est le 12 août. ♌

Taille: 1m82

Poids: 88 kg

Couleur des yeux: Le genre de question qui nous tient éveillés le jour comme la nuit. Personne ici n'a jamais vu sa (ses ?) vraie(s) couleur(s) d'yeux.

Lieu de naissance: Lunaire. Il ne prive jamais ses interlocuteurs de cette anecdote assez cocasse que comme quoi, il aurait été conçu sur la lune. En effet, ses parents travaillaient là-bas à l'époque et ont un peu trop fricoté ensemble. "J'ai beaucoup pris d'eux à ce niveau-là !" qu'il dit sans honte.

Origines: Originales.
Noooon, un peu de sérieux quand même. Elles sont principalement américano-roumaines, mais il vient d'un peu partout même s'il n'a jamais su aller nulle part.

Situation familiale: Can't say Goodbye to Yesterday 95bgbQK

Métier: Coiffeur/Barbier ; Co-surveillance des conversations enregistrées non-anglaises (espagnol, mandarin, portugais, russe, roumain). C'est pas du tout dans son contrat, mais il est très bien capable de vous apporter les premiers soins si vous ne vous videz pas de votre sang. Sinon, c'est lui qui va vider son estomac.

Années de contrat: Une année renouvelable pour mesurer la température de l'eau (pis c'est pas comme s'il pouvait compter plus loin hein).

Années effectuées: Elle est toute belle ! Elle est toute fraîche la salade Cezar ! (Une à deux semaines, disons).


KEEP IT REAL

feat. Ares (Percy Jackson) de SoyNutts

Visage: La mâchoire est bien définie et carrée, le menton décoré par quelques poils drus mais courts et disciplinés. On pourrait presque dire qu'il est un peu bombé, mais l'épaisseur de la lèvre juste au-dessus lui vole la vedette. Elle est si bien hydratée qu'on pourrait la qualifier de juteuse avant même de la croquer. Chose impressionnante quand on sait à quel point il aime parler.
Certainement que le bougre cache un baume à lèvres dans le fond de sa poche, ce serait le minimum de survie d'un aussi grand gueulard.
Le nez est un peu court si on le compare au reste du visage plus allongé, mais il reste somme toute discret. Si l'on réussit à lui dévisser ses lunettes du crâne, on pourra alors observer des cils courts, de petites ridules et quelques pattes d'oie autour des yeux. Les sourcils sont épais et bien fournis — ou en tout cas il réussit à faire croire que c'est le cas — tout en étant très expressifs. Personne n'est jamais préparé à la première danse des sourcils que monsieur leur offrira.

Cheveux: Ah ça, c'est une chevelure qui crie le bonheur et l'épanouissement à pleins poumons. Peut-être que vous serez tout aussi heureux, un jour. Mais là, cette couleur châtaine voire auburn scintille et appelle votre regard, tandis que les capillaires lisses, souples et soyeux se courbent presque voluptueusement de bon cœur. Le tout est souvent raccourci aussi bien derrière que sur les côtés. Et si de petites mèches se rebellent joyeusement sur le front en toute impunité, les quelques cheveux blancs sont massacrés sur-le-champ.

Musculature: Calculez son IMC et regardez ces kilos en trop. C'est que du muscle. Ou en tout cas c'est ce qu'il aime raconter.

Allure générale: Souvent, Cezar peut avoir l'air d'un bon gros couillon. La bonne humeur dégouline de ses traits, une bonne humeur que l'on pourrait croire imperturbable, comme si rien de mal ne pourrait plus jamais lui arriver. Alors oui, il peut avoir l'air candide et inconscient, du genre trop confiant pour son bien.
Sa posture n'en demeure pas moins correcte pour autant — le dos est bien droit, le bassin pas trop vers l'avant. On pourrait imaginer un ventre bien plat par-dessous ses vêtements — et ce n'est pas très loin de la réalité... quand bien même il suffit de le pincer au bon endroit pour se rendre compte que c'est plutôt bien charnu par là.

Lorsqu'il jette son dévolu sur quelqu'un, ou pire encore, si vous faites le malheur de flirter avec lui, son attitude se décontracte. La tête se penche, les épaules se détendent et les mains sortent des poches pour venir se poser sur ses hanches, voire le bas de son dos, si l'envie lui prend d'appuyer l'importance des deux arguments de derrière, pas aussi plats que son estomac.

Parfois, on peut l'apercevoir en train de rêvasser, les yeux dans le vide interstellaire. Dans ces moments-là, il pense probablement à quelque chose d'idiot et donne l'impression de s'amuser. Mais d'autres fois, sans qu'il ne s'en rende compte, son visage se ferme, ses épaules s'affaissent, et son air contrit crie la question : est-ce que tout ceci n'est pas simplement une façade ?

Détails sur la tenue: Le sang a beau lui donner la nausée, le rouge reste sa couleur préférée et il trouve toujours le moyen de l'intégrer dans ses tenues. En dehors de son uniforme de travail, monsieur porte souvent des débardeurs par-dessus lesquels on a des vestes assez courtes en divers matériaux, dont il remonte souvent le col. Pas de discrimination au niveau des pantalons, il les aime aussi bien amples que près du corps (mais pas trop quand même, c'est pas cool de se faire serrer les couilles). Il a tout un tas de ceintures classes, à croire qu'il fait une collection ou qu'il a un kink, et toujours une vieille montre autour du poignet sans laquelle il se sent désagréablement tout nu.

Signes distinctifs: Eh bien déjà, il y a ses lunettes de soleil aux verres teintés rouge. Il les garde presque tout le temps, histoire d'avoir l'air plus idiot (et plus cool) qu'il ne l'est vraiment, mais les retire pour s'occuper des cheveux d'autrui. Ça lui permet également d'avoir un regard baladeur et complètement dévergondé. Mais ça peut arriver qu'il les retire si on le lui demande gentiment, ou simplement pour ajouter de la force à ses punchlines (certaines en ont désespérément besoin).

Justement, quand on les lui retire on tombe sur ses iris.
Quel bordel.
Deux à trois couleurs sont en coloc' dans chacun des deux yeux, et elles changent en fonction de l'angle sous lequel on les observe. Un chaos total qui reste somme toute harmonieux en toute circonstance. Ça lui va bien.
Et oui, ce sont des lentilles bien sûr, mais à moins que vous ne le lui affirmiez, notre salade préférée vous laissera patauger avec plaisir dans votre sauce naïveté. Et forcément il ajoutera une ineptie du style "Dieu m'a fait avec des arcs-en-ciels dans les mirettes pour tous les gens qu'ont pas pu être ouvertement gays". Bien qu'il soit assez rare de le voir, lorsque la luminosité diminue trop, le nombre de couleurs baisse lui aussi.

Pour finir, son corps, même son visage, arbore de multiples vilaines cicatrices, vestiges d'un temps où il était plus aventureux et réellement con.

Autres: Son signe astrololo est le Lion, il est né le jour de la journée internationale de la jeunesse (voilà le secret de sa beauté éternelle).

Il décrit la différence entre les gravités terrestres et artificielles comme "quand deux personnes t'embrassent aussi fort l'une que l'autre, mais pas de la même façon."

Tous les jours, il mange au moins trois fruits différents, boit un peu moins de deux litres et demi d'eau, fait du sport (bien qu'il définit ça comme "n'importe quoi tant que ça m'fait transpirer") et case une heure de sieste quelque part, sans quoi il est de mauvais poil (et il a beaucoup de poils alooors-).

DON'T BE FAKE
Qualités: Au moins il est beau ? ; flexible ; méticuleux ; bienveillant ; sympathique ; donne de plutôt bons conseils...

Défauts: ...qu'il ne suit pas toujours ; aime se faire passer pour un abruti ; mais quel gros bébé quand même, c'est une petite nature ; soit il ricane soit il rit fort, pas d'entredeux ; lâche, d'un certain point de vue ; ce type est chiant ; ses sous-vêtements sont ringards (se faire soulever par un type avec un caleçon fraise ? aleeeed)

Orientation sexuelle: Pourquoi résister si personne ne vous résiste ?

Comment gère-t-il l’hostilité ? Parce que vous gérez l'hostilité vous ? Pfffft- Plus sérieusement, si avant il était du genre à recracher directe ladite hostilité, aujourd'hui ça lui passe au-dessus du cuir chevelu et il en rit.
La plupart du temps.
Sinon il jette de l'huile sur le feu lorsqu'il peut se le permettre, mais il n'essaie plus de l'étrangler ou quoi que ce soit du style (bah oui, faut être con pour essayer de taper des flammes). Sa résolution c'est de plus se disputer avec les imbéciles, mais il y a tant d'autres façon d'envenimer une situation...

Que pense-t-il de l'écart de privilèges entre les colonies et les Terriens? C'est triste à dire mais plus rien ne l'attriste.
Noooon, vraiment désolé, même si c'est pas très loin de la réalité. Il préfère simplement ne pas y penser, car après tout, à se prendre et se péter la tête sur des choses qu'on ne contrôle pas, qu'est-ce qu'on y gagne ? Du stress, du stress, du stress, et avec ça viennent les cheveux blancs et la recrudescence d'acné. C'est ce qu'il dit en tout cas.

Quel est son plus grand rêve? Avec la quantité de choses différentes que ce type a appris à faire sans pression extérieure, c'est difficile de croire qu'il a un but précis dans la vie (à part de réussir à tuer quelqu'un avec ses blagues pourries, peut-être). À l'heure actuelle c'est un mélange instable de "laissez-moi faire la sieste" et "être le soleil dans la vie de mon prochain". Si c'est pas cheesy ça ?

Quel est son pire cauchemar? C'est déjà une histoire ancienne dont il n'arrive pas à tourner la dernière page. Mais ce qu'il craint le plus à présent serait que ses gosses viennent lui cracher ses 832 vérités (et, accessoirement, qu'un malade ici lui ajoute une énième cicatrice, mais ça encore il peut y survivre).

Pourquoi travailler à Rikers? Il dira tout plein de choses comme l'argent ou l'environnement de travail atypique, mais il avait surtout besoin de s'éloigner de tout, de se couper du monde, de recommencer, et quel meilleur moyen d'y parvenir que de venir travailler dans un coin perdu où personne ne le connaîtra ?

Description générale: À défaut d'être le meilleur père de l'univers, monsieur est une vraie commère, du genre à vous tirer les vers du nez jusqu'à... Qu'est-ce qui se passe quand on a plus de vers dans le nez ? Qu'importe, ce type a besoin de tout savoir sur tout, alors surveiller les conversations des détenus c'est le métier parfait pour lui — même si certaines risquent de faire couler une larme ou deux. C'est qu'il est sensible le bougre, empathique même. C'est peut-être pour cela qu'il est capable de si bien garder les secrets, contrairement à ce que l'on pourrait penser. Mais voilà, il n'a pas (trop) honte de cette sensibilité, trouvera probablement le moyen de rebondir vers quelque chose de plus drôle, de rire tout seul et d'avoir de la morve qui lui échappe sur le coup.

Physiquement parlant il est très similaire — c'est-à-dire qu'il est plutôt douillet voire un gros bébé, appelez ça comme vous voulez. Chose qui pourrait surprendre pour un aussi grand type avec autant de cicatrices. Mais les moqueries sont fortement déconseillées, ou il trouvera forcément un moyen de se venger en tout amitié.

Avec le temps il est peut-être passé de hyperactif à hyperbavard, mais il aime toujours faire des blagues et la compétition, délirer et faire délirer, butiner à droite à gauche tel un papillon. Il aime s'activer, bouger, rêver, pour ne plus se laisser le temps de penser, de dériver, de s'échouer.

Lost Time Memory
« Ne vous éloignez pas trop les enfants ! »

En guise de réponse, des piaillements aigus bientôt lointains se font entendre, caractéristiques des petits prépubères. La Terre est si bleue vue de l'espace, mais son ciel l'est bien plus une fois les pieds au sol. Comment est-ce possible ? Cezar n'a plus le temps de se poser la question, entraîné par ses cousins vers la colline boisée.

« Tatie a dit de pas s'éloigner ! » que l'un geint. « Ouais mais elle saura jamais si on s'est éloignés ! » répondent Cezar et Cynthia en cœur, avant de se regarder puis de rigoler. Si l'on se trouvait dans un film action/comédie, ladite Cynthia serait probablement la folle aux couteaux. Mais ici, disons simplement que c'est une guerrière. Du genre très féroce ! Il y a quelques jours encore ils jouaient à l'épée et elle a été déclarée vainqueur... après avoir manqué de rendre le petit Cezar borgne, lui laissant à la place un beau souvenir au milieu du sourcil.
Apollo, le frère de notre guerrière et celui à l'origine de la remarque précédente, soupire longuement. L'envie de rétorquer le prend, mais c'est comme s'il savait d'avance qu'il allait perdre — peut-être a-t-il l'habitude ? Alors en aîné plus intelligent (aîné à dix secondes près, mais aîné quand même), il décide de rebrousser chemin et sa cadette le siffle immédiatement. « Maman t'as dit de jouer avec nouuus ! » Il se fige net. Était-il donc condamné à désobeir dans tous les cas ? Devait-il choisir entre sa mère et sa tante ? De ce point de vue-là... autant céder et s'amuser, tout en espérant que personne n'en sache rien. Ou du moins, s'amuser autant que faire se peut avec ces deux brutes.

« Non non l'écrase pas ! C'est une coloccinelle ! » « Coloccinelle ? » « Coccinelle. » « Vous avez pas de coloccinelles dans l'espace vous ? » « Coccinelle ! » Des petites choses banales pour les jumeaux, Cezar les voit comme un carnivore qui découvre des boulettes de soja. C'est si novateur. Tant et si bien qu'il se laisse bercer par la couleur de l'insecte, la sensation de chatouillement étrangement supportable alors que celui-ci parcourt sa main, jusqu'à finalement s'envoler.

Leur randonnée continue tranquillement. Ils courent, crient, trébuchent et se relèvent.
Ils se salissent, aussi. Les racines sont trop nombreuses et l'endroit un peu trop épineux pour une course, alors voilà qu'un concours de lancé de cailloux est organisé. « Hé ! J'en veux un aussi ! » « T'as qu'à apprendre à viser ! » rétorque-t-elle en astiquant le fruit qu'elle a réussit à faire tomber. « Ou vous pouvez grimper si vous voulez. Chui sûre que vous êtes pas cap' ! » « Non. » Abandon immédiat du joueur américain. « Si ! » La semaine dernière encore, Cezar n'aurait pas levé une seule fesse pour cette fille qu'il ne connaissait même pas. Mais aujourd'hui, désireux de prouver sa valeur et contaminé par cette confiance en soi dont déborde toujours sa cousine, il relève le défi.

L'écorce du tronc est bien trop rugueuse et lui érafle les doigts. Il se retourne un instant, croise le regard dubitatif d'Apollo et celui amusé de sa cadette. Alors il gonfle les joues, retire son t-shirt qu'il reconvertit en gant pour au moins l'une de ses mains. L'élan est pris, les pieds décollent du sol. « Eeeh mais c'était une blague hein ! » Oh, Cynthia n'était pas sérieuse ? Raison de plus pour le garçon de continuer son ascension. C'est qu'elle ne s'y attendait pas alors. Les fruits qu'il décrochera de cet arbre n'en auront que meilleur goût.

Et sa chute n'en sera que plus lourde.


Le blessé est ramené au bercail, dans la demeure familiale appartenant à ses grands-parents. Il y a quelques jours, c'était la grandeur et la beauté de l'endroit qui lui ont fait tourner la tête. Maintenant, c'est la douleur.
Les informations sur leur escapade sont bien vite extraites de ses petits compagnons d'armes, et le regard désapprobateur que sa mère lui lance est définitivement plus douloureux que la branche qui a failli lui rentrer dans l'œil la semaine dernière. Son coude quasi-ensanglanté reste tout de même en tête de liste, et c'est probablement la raison pour laquelle elle ne prend pas la peine de le gronder. Bébé Cezar va déjà chouiner assez pour un mois entier au moment de devoir désinfecter le tout.

Plus tard, Cynthia s'amuse et le traite de momie alors qu'il n'a même pas tant de pansements que ça. Le soir venu, voilà l'oncle qui se moque de sa tronche. Tel père telle fille.
Quelle journée pourrie.

Le lendemain est secrètement une punition. Une punition chaude et ensoleillée.
Journée plage.
Journée plage alors qu'il a encore son pansement du coude tout frais. Tout le monde est là, et il est le seul à être physiquement incapable de se baigner. Mais la naïveté est douce et il ne soupçonne pas la tactique maternelle, n'a pas l'occasion de s'en sentir outré.
Au moins les raisins de mer sont délicieux.

••

La Terre est si bleue vue de l'espace, mais son ciel l'est bien plus une fois les pieds au sol. Comment est-ce possible ? Cezar a d'autres préoccupations en tête, maintenant qu'il quitte la planète pour la première fois. « Quand est-ce qu'on reviendra ? » Question posée plus tôt dans la journée, il n'avait pas osé la répéter alors que sa mère et sa tante parlaient. N'importe qui d'un minimum expérimenté pourrait lire un "Je ne sais pas encore mon chéri" sur son visage. Néanmoins elle ne répond pas tout de suite, sourit à la place avant de prendre une petite inspiration : « Quand tu seras plus sage. » Le principal concerné n'apprécie pas du tout cette réponse. Il gonfle les joues en regardant à travers le hublot, se retenant de lui rappeler qu'elle leur avait dit de ne pas s'éloigner, l'autre jour, et qu'ils sont en train de faire le contraire. La connaissant, elle se contenterait simplement de lui faire la moue ou de se moquer de lui.
Ce que les gens aiment rire dans cette famille.

Mais voilà, le fait est que du côté maternel, tout le monde a plutôt bien réussi sa vie. Qui sait quand sera la prochaine fois où ils réussiront tous à coordonner leurs congés sur les vacances scolaires des enfants ? Et puis la partie plus douloureuse : à moins de vivre aux crochets de ses parents, même avec sa situation, madame ne pourrait pas venir sur Terre dès qu'une occasion se présente sans se ruiner.

« Je veux au moins une ptite sœur alors ! » Voici la moue à laquelle il s'attendait tout à l'heure. Mais bien vite, elle se déforme et laisse place à un rire surpris et sincère. « Je ne crois pas non. » Et voilà qu'elle lui explique qu'un bébé c'est envahissant, que Cynthia a un an de plus que lui et qu'une petite sœur n'aurait rien à voir.

Gonflement des joues en réponse.

Ses yeux cherchent leur colonie à travers les étoiles, quand bien même elle ne sera pas en vue avant plusieurs heures.

« Papa viendra la prochaine fois ? »

••

Les autres enfants ont toujours trouvé ça bizarre, que ses parents ne vivent pas ensemble. Alors qu'ils travaillent au même endroit, en plus. La lune, c'est si romantique. C'en est arrivé à un point où, un jour, il leur a demandé s'ils étaient divorcés. Quel choc ça a été. Mais voilà, Cezar vit chez les parents de son père et ce dernier vient les voir un weekend sur deux. Sinon, le bonhomme appelle ses parents plusieurs fois dans la semaine lorsqu'ils sont au travail.

Ils l'aiment tous les deux et c'est ce qui compte.

C'est ce qu'il a retenu jusque là, mais le fait d'être fils unique et de ne pas vivre sur Terre le rend un peu geignard durant les quelques jours qui suivent ses vacances. Qu'il vive sur une colonie, c'est plus pratique pour que eux passent le voir, qu'ils lui disent. Trop poli pour rétorquer, Cezar se demande simplement pourquoi travailler sur la lune, avec une famille aussi riche que celle de sa mère.
La réponse est la passion.
Elle est passionnée par son travail, ses recherches. Mais en attendant de comprendre le concept, le garçon concocte déjà son plan d'invasion terrestre.

Être médecin, ça paie si bien apparemment.

•••

« Écoute... » « Non non non ! Je peux pas ! » « C'est pas comme si t'allais devenir chirurgien poussin... » « Je ne. Veux pas. Je veux plus. Ça m'a suffit... »

Ah, l'adolescence. C'est le boulevard des rêves brisés, là où les cœurs sont esquintés. Si l'idée de nager dans l'argent et venir vivre sur Terre n'était qu'un vieux rêve d'enfant, les possibles études de médecines qu'il a engendrées sont bien plus tangibles.
Ou du moins, elles l'étaient jusqu'à aujourd'hui.

Ce qui était censé être une journée excitante à l'hôpital durant son stage d'observation a viré au cauchemar. C'était un blessé - de quoi, il ne sait même pas - qui est arrivé ensanglanté. Tout ce rouge a été un renvoi soudain à sa propre agression de l'année dernière, un coup de couteau pour avoir défendu sa malheureuse sacoche.
Après coup, il s'était dit que le sang l'avait écœuré parce que c'était le sien. Mais là, il a confirmation. Il ne pourra pas travailler comme ça.
Bien qu'inquiets, papa-maman ne prennent pas la chose trop au sérieux. Pour eux c'est juste sa crise d'adolescence, ou au moins sa crise lycéenne. Très mécontent et, bien conscient que ses grands-parents ne sont guère de meilleurs confidents, bébé Cezar reste cloîtré dans sa chambre pour la majeure partie de la soirée.


Que lui reste-t-il à présent ? Derrière les sourires, les blagues et les rires durant les jours qui suivent, il y a cette anxiété et ces incertitudes grandissantes. La médecine semblait être un si bon plan. C'était si passionnant.

Il est bon en langues, certes, mais où ira-t-il avec ça ? Loin de lui l'envie de devenir professeur... les enfants peuvent être des créatures si dangereuses et sans cœur. Les seuls cours de langue qui l'intéressent à l'heure actuelle sont ceux de nature plus... privée. Il pourraît peut-être faire dans la traduction, mais ça ne l'attire pas vraiment.
Pour la première fois depuis toujours, Cezar n'a aucune idée de ce qu'il veut faire de sa vie. Par rapport à l'adolescent moyen, il a beaucoup de retard sur l'angoisse et la détresse que ça peut engendrer. Ça commence avec les ongles rongés. Voyons où ça va le mener.

Au revoir, tendre enfance.

••

Ce sont les plus oisifs qui souvent se mettent en danger. N'est-ce pas ? Sans but précis à l'horizon, le jeune homme s'active, de jour comme de nuit. Un coup c'est la cuisine, maintenant c'est le mandarin, demain ça sera peut-être la mode... Passion et motivation sont des denrées fragiles et éphémères qu'il préserve en enchaînant les nouveautés. Le tout est saupoudré de sorties et de fêtes, après chaque semaine de cours passée en tant qu'élève perdu et plus qu'à moitié sérieux.

Mais ce genre de situation peut vite dégénérer, surtout ici dans les colonies. Bien heureusement, à défaut de se dire que rester chez lui serait plus sage, Cezar semble doté d'un sixième sens lorsqu'il s'agit de savoir quand un plan devient foireux. Comme cette fois où deux types s'insultaient dans une autre langue dans le jardin, et que la plupart des invités déjà pétés se sont mis à les rejoindre. Nope nope nope. Autant rentrer chez soi avec ses potes pour une grande partie de karaoké (voilà l'avantage de vivre avec des grands-parents quasi sourds). Parfois on lui dit qu'il est chiant, mais bien souvent on est content le lendemain en entendant les nouvelles. C'est son "gut feel" comme il dit. Douloureux rappel au-dessus de sa hanche qu'il faut savoir se retirer lorsque c'est encore possible.

•••

Le revoilà dans des circonstances similaires, quelques années plus tard. Une soirée comme une autre. Des gens sympas, d'autres plus idiots. Impossible de savoir ce qu'ils ont mis dans les olives, mais Cezar les trouve délicieuses. Pour revenir aux idiots, parce que ce sont toujours eux les meilleurs, en voilà un qui sort des pétards et des feux d'artifice. Ne faisant pas particulièrement frais ou humide en cette période, il suffit d'un coup d'œil au jardin sec et négligé pour voir ce que ça va donner.
Deux groupes d'amis ont le même réflexe : ils s'extirpent bien vite de là, se croisent, se jaugent du regard. Appréciant probablement l'étincelle de jugeote qu'ils décèlent l'un chez l'autre, — ou juste parce que certains se sont déjà parlés plus tôt — ils décident de s'organiser un petit quelque chose entre inconnus et connaissances, alors qu'on peut apercevoir derrière eux un premier feu d'artifice se loger dans la toiture de la maison.

BOOM.

C'est le bruit que fait le cœur du ptit Cezar, là.
Elle s'appelle Amara, et les voilà déjà à se complimenter sur la beauté et l'entretien de leurs ongles, discuter de leurs sandwich préférés, et celui qui osera commenter là-dessus se prendra un "t'es jaloux ?" dans la tronche.
La gêêêne.
Il faudra attendre la semaine prochaine pour l'intimité du premier rendez-vous et les questions ordinaires qui vont avec. Au moins, leur petit spectacle donne à leurs amis un sujet de conversation qui n'est pas prêt de s'essouffler.

••

Elle s'appelle Amara, elle a vingt-quatre ans, et elle est plombière. Plombière. De suite il l'imagine en salopette bleue, avec la grosse ceinture et la boîte à outils. Le t-shirt blanc qui contraste avec sa peau cuivrée, ses nattes qu'elle doit attacher ou alors sans cesse replacer dans son dos, lorsqu'elle s'occupe de la tuyauterie.
L'image est plaisante. Peut-être un peu trop, vu le regard et le mouvement de tête auquel il a droit. Oups ? I-Il s'appelle Cezar et il a vingt ans, qu'il peine à articuler entre deux sourires bien trop grands. « Traduction spécialisée multilingue. Que je fais, je veux dire. C'est pour devenir traducteur médical. » « Ah, genre, tu traduis ce que les maladies disent ? » Pris par surprise, le jeune homme peine à la corriger jusqu'à ce qu'elle éclate de rire. C'est là qu'il se rend compte qu'elle se fout juste de lui (et que c'est bien le genre d'ineptie qu'il sortirait, en plus). Il fond sur place.

••

C'est comme un rêve. Il s'avère que Amara est le genre de femme qui, quand on lui dit qu'on ne peut ingurgiter la moindre goutte d'alcool sans quoi il sera impossible de la ramener chez elle, tend une bière avec un clin d'œil. Ou, peut-être que Cezar est le genre de gars qui la fait réagir comme ça, qui sait ? Quoiqu'il en soit, les semaines qui suivent sont parfaites. Presque parfaites. Il y a juste un couac.
Elle a déjà une fille de quatre ans.
L'horreur.
Si l'envie de fuir n'est pas là; l'appréhension, elle, est bien palpable. Les enfants, il s'y connait pas. Ses parents n'ont même pas daigné lui faire des demi-frères ou sœurs. Misère. L'envie de continuer subsiste malgré tout.


Contrairement à ce que le bougre a pu cauchemarder, la petite Beverly ne lui a pas bouffé le bras dès la première occasion. Le gâteau qu'il a fait a sûrement beaucoup aidé, mais tout de même... dire qu'il avait plus peur d'une enfant que de ses examens qui approchent. Elle est même plutôt sympa. Pour une gosse de quatre ans. Pas de drame à l'horizon.
La véritable épreuve s'avère être ses propres parents. « Plombière tu dis ? Pour de vrai ? » « Elle ne travaille pas dans le même hôpital que toi j'espère ? » « Elle est pas secrètement médecin ou traductrice aussi hein ? Faut pas mélanger boulot et argent. » « Boulot et vie privée. » « Boulot et vie privée ! » Ce serait presque ironique venant d'eux, s'ils n'étaient pas aussi sérieux. Son père l'a appelé poussin, en plus. Devant Amara. La honte.

••

Le diplôme, il est dans la poche.
Une vie professionnelle morne s'étend maintenant devant Cezar. Mais tant qu'il a une vie personnelle plus excitante et épanouie à côté... Il n'en est que plus facilement vexé lorsque sa dulcinée lui dit qu'ils devraient passer plus de temps chacun de leur côté. Il pense avoir fait quelque chose de mal, alors que la morale c'est juste que vivre 100% scotché à l'autre n'est très pas vendeur ou saint. C'est sûr que commencer par « Tu sais que jt'aime bien mais... » n'a pas aidé, mais bon, l'humour on pige pas toujours.

Il lui faudra plusieurs jours (et une mini thérapie avec sa mère qui miraculeusement ne lui a pas ri au nez) pour surmonter ce choc qui n'a en fait pas lieu d'être. Les excuses fusent des deux côtés, les mots sont pesés et la vie continue son cours. C'est le premier des quelques accrochages dont seront parsemées leurs futures heureuses années. Le genre de bêtises qui rapproche. Mais pas autant qu'un enfant.

•••

Dax. Dax. Dax. C'est le seul mot qu'ils ont à la bouche, d'après les dires de mademoiselle Beverly. Seulement neuf ans et déjà en pleine crise d'adolescence. Elle est fâchée depuis qu'elle a appris que ce serait un frère et pas une sœur. Elle peut pas juste rigoler du fait qu'avec leurs prénoms ils sont maintenant la famille ABCD ? C'est facile de simplement se dire ça et passer à autre chose. Mais Cezar sait ce que ça fait de ne pas être pris au sérieux par ses parents, alors il fait au mieux. Elle est sympa Beverly, quand on réussit à la faire parler d'autre chose que du bébé. À côté, il y a Amara qui se plaint de devoir s'occuper de leur cheveux à toutes les deux. Et à chaque fois, monsieur la menace de devenir coiffeur pour pouvoir "légalement les tondre une bonne fois pour toute". Le genre de bêtises qui rapproche. C'est juste pour rire. Mais au fond, l'idée lui vend un peu de rêve. La première partie, du moins.

•••

Reconversion ou pas reconversion ? C'est le genre de question qui hante, quand on a personne de confiance à qui la poser.
« Ah mais fonce Coco ! » qu'elle lui a dit. Là de suite c'est un peu plus facile de se décider. Ça s'est pas fait en une nuit, mais pouvoir envoyer le petit Dax à son premier jour de primaire avec une coupe qu'il a lui même faite, ça a un quelque chose d'extrêmement satisfaisant. Ha, et les ragots qui circulent dans les salons de coiffure et de beauté, on en parle ? Lui il en parle bien avec Amara, entre deux partie de Lolopoly. Monopoly ? Qu'importe. Magnifique nouvelle passion que voilà. Traducteur ça lui parlait - littéralement - pas, et il manquait trop de retenu pour faire interprète. Voici le juste milieu tant désiré.

•••

Devoirs ? « Demande à Beverly. »
Manger ? « Demande à Beverly. »
Acheter  ? « Demande à Beverly. »

Ça fait plus d'un mois que ça dure et à ce stade, Dax n'essaie même plus de parler à son père. ABCD, sans le A, ça sonne étrangement comme DCD. Le lycéen ne rend des comptes qu'à sa sœur désormais. Cette dernière n'apprécie pas du tout la chose, et chaque regard est une centaine de coups de poignards lancés au responsable. Quand bien on lui a dit et répété à Cezar. Qu'il n'est pas responsable. Que c'est un accident non responsable. Ils étaient juste au mauvais endroit au mauvais moment. Une balade romantique en voiture au milieu de nulle part, des idiots avec leur course illégale et... paf. Leurs vies ont été complètement chamboulées. Quelque chose s'est brisé. Et avec des "et si" il refait le monde. "Et si j'avais fait en sorte qu'on vivent sur Terre ? Et si...". Penser, rêver, il ne peut plus s'y risquer sans finir par s'échouer. Même regarder les enfants est douloureux. Il aimerait s'excuser d'autant les délaisser, mais les mots ne veulent pas sortir. C'est plus facile de s'éloigner, de s'exiler et de prier qu'à son retour, tout va s'arranger.

Pseudo: Axer, Axel, Axerwan, Oz ; aka Eren's Homie, Jax's secret admirer et Pieyres. Au point où j'en suis, que puis-je dire si ce n'est "faites vous plaiz" Can't say Goodbye to Yesterday 2rlGclF

Age: 21 ans, c'est triste la vieillesse

Comment avez-vous connu le forum? c RN il m'a bullied

Le mot de la fin? Une fin sans fin [Jojo Part 5 Main Theme intensifies] Can't say Goodbye to Yesterday Egjut4t

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Mer 21 Juil - 10:42
Invité
OUI. Viens rejoindre la famille! Can't say Goodbye to Yesterday 2286351639 Ton perso est trop cool (et décapant - c'est peut-être moi que son humour va buter who knows), j'ai hâte de lire son histoire :D

Eren Van Graff
Messages : 91
Matricule : V5 - 3827
Métier/Activité : entretien du jardin médical
Humeur : :)))
Mer 21 Juil - 12:43
Eren Van Graff
Neutre
ohlalalalala mais j'ai hâte de voir cette fiche remplie, j'aime déjà ce début 👀
J'te confierai mes cheveux, c'est pas encore ma vie mais c'est tout comme Can't say Goodbye to Yesterday 2849309416

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Jeu 22 Juil - 0:39
Invité
Oouhh prometteur ! Bienvenue :3

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Jeu 22 Juil - 4:45
Invité
CC toi

dsl mais ton blaze et tout j'ai lu Cézar O.Cocu alors 😭

te venge pas sur ma coupe stp
Can't say Goodbye to Yesterday 2296224038

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Jeu 22 Juil - 21:38
Invité
Jax Babe > Quitte à te tuer et devenir un détenu, je préférerais le faire de façon plus drôle quand même (plus drôle que mes blagues oui oui, j'y travaille j'y travaille) mais en attendant, je suis peut-être pas médecin ou plombier, mais je suis sûr que je peux t'aider avec ton histoire de décapage Can't say Goodbye to Yesterday OuXZcxO

Air aine >

LocoRoco > Can't say Goodbye to Yesterday XUSolFK

Valentin Bolosskov > Cocu rira qui cocu le dernier Can't say Goodbye to Yesterday WPi2LlK
(tant que tu me bouffes pas de façon littérale j'aurais pas besoin de te couper quoi que ce soit d'irremplaçable, no stress 😌)


RN >


Du coup merci pour les messages ! Le caractère a été complété pour les intéressés (et sa playlist est complète, aussi) 💃









Eren > "lol", said the scorpion, "lmao" j'ai juste littéralement rien d'intelligent à te dire si ce n'est "stay tuned" mais c'est so 2010

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Ven 23 Juil - 10:18
Invité
"21 ans, c'est la triste vieillesse" ?? XD Jpp

On avait bien besoin d'un coupe-tifs dans cette baraque flottante !
En tout cas il envoie du pâté ce gars o_o

Bienvenido !

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Ven 23 Juil - 19:10
Invité
En voilà un homme haut en couleurs ! Bienvenue, installe toi bien *sort les poufs et le thé* et courage pour la fin de ta fiche !

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Dim 25 Juil - 21:42
Invité
We, bienvenue officiel toi, courage pour ta fiche Can't say Goodbye to Yesterday 3248158617

Miguel Galvez
Messages : 263
Matricule : G8 - 2231
Métier/Activité : laverie / mécanique
Humeur : fulminante
Ven 6 Aoû - 9:53
Miguel Galvez
Black Perros
J'aime trop cette dégaine et l'univers que tu proposes Can't say Goodbye to Yesterday 30969993 !!!

Allez il ne te reste plus grand chose, n'hésite pas si tu as besoin d'aide :)

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Lun 9 Aoû - 4:29
Invité
[pousse le couvercle de son sarcophage et inspire profondément]

Chui pas mort, promis Can't say Goodbye to Yesterday EEaFB24

Du coup mille ans plus tard (pour la plupart) mais merci bcp de vos messages, ça fait plaisir Can't say Goodbye to Yesterday EVitJBe

Adora (l'exploratrice) > On peut manger du pâté ensemble si tu veux, je te laisse voir quelle saveur, c'est toi l'chef après tout Can't say Goodbye to Yesterday C61S1hT

Toni Truant >
Spoiler:

Isma > Occupe-toi bien de Jax pour moi Can't say Goodbye to Yesterday KCxWRQ4

Miguel (là, tu te dis que t'es le seul du topic à pas avoir reçu un surnom ou jeu de mots, mais la vérité c'est que dans ma tête je prononce Migwel, pas Miguel héhé) > Content si ce que tu vois te plait déjà 💃
eeeeuh plus grand chose ? tout est relatif dans la vie
J'ai pas de questions vraiment utiles, mais j'en ai toujours des bêtes, alors je vais update mon topic dans la section invité, get ready 👀


Du coup en attendant j'ai ajouté un bout du prologue (c'est qu'un bout oui, j'espère que ce sera pas trop énorme à la fin mais bon, c'est mon cerveau qui tient les rênes, pas moi Can't say Goodbye to Yesterday HI0gdkt)
Biiiz

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Mar 7 Sep - 17:26
Invité
Hey !

Je viens aux nouvelles :/ on s'inquiète un peu de l'avancement de la fiche qui traîne... La fiche risque d'être supprimée d'ici à la fin de la semaine faute de nouvelles   Can't say Goodbye to Yesterday 1498417296  
Le délai étant largement outrepassé, alors si tu galères pour achever n'hésite pas à nous demander de l'aide, on est là pour ça ! Can't say Goodbye to Yesterday 4061241142

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Dim 12 Sep - 16:03
Invité
Tiens salut vieille branche ! Un ancien Joseph Oda te salue !
Bienvenue et bon courage pour la fiche/validation !

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Lun 13 Sep - 8:18
Invité
Papabasa > Aaaaa j'avais même pas vu que t'avais aussi posté sur la fiche, mille misères de pardon (est-ce que je fais sens, je sais même pas)
Encore déso et merci Can't say Goodbye to Yesterday 747136946979078215

Baberiel > Mici Can't say Goodbye to Yesterday KCxWRQ4

Du coup c'est fini, sorry d'avance si vous trouvez des fautes dans la dernière partie de l'histoire avant que j'ai le temps de corriger, il est 2h ici et je vais dodo avant relecture, homme très efficace que je suis Can't say Goodbye to Yesterday Emote
Bisous

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Mer 15 Sep - 18:36
Invité
Tu es validé !


AVE CESAR (fallait bien qu'on le fasse à un moment ou l'autre.)  Can't say Goodbye to Yesterday 2871860972

Non mais cette fiche  Can't say Goodbye to Yesterday 4224168824 c'est pas mêlant, je suis toujours sur le cul, mais là, rqiwfjsdkcref. Je veux le bouffer quand il était gosse, cette mignonitude (je vais pas dire que je veux le bouffer quand il est adulte parce qu'ici on a le secret-défense qui surveille TOUT.)

J'en connais une filée qui vont vouloir se faire tondre hihihi  Can't say Goodbye to Yesterday 3542112596

Maintenant que tu es officiellement enfermé des nôtres, tu peux dés à présent réserver ton avatar ou faire une demande d'appartement. Tu seras, du reste, ajouté automatiquement à la liste des métiers. Une fois fait, tu peux faire une demande de lien ou une recherche rp afin de commencer l'aventure, et dans un même temps créer ton carnet de bord. Les intrigues sont à ta disposition si tu souhaites te pencher vers une quelconque enquête :)

Et enfin, petite étape obligatoire avant de commencer, n'oublie pas de filer faire ton résumé de personnage !

Amuses-toi bien !

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