Jaaziel ~ Miguel Galvez L2vo
An 2588. Nous sommes à Rikers Space Jail Processing, un centre d'incarcération spatial. Détenus, surveillants, médecins, employés ou même pilotes chargés des vaisseaux de sauvetage, vous séjournez dans la station la plus éloignée du monde terrestre et des colonies qui gravitent autour de la Terre. Mais sauriez-vous percer le secret qui plane sur la Sedna Corporation, l'entreprise à l'origine de Rikers ?
Le Deal du moment :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur ...
Voir le deal
600 €

 :: administration :: Les incarcerations :: Fiches validees :: Les prisonniers Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

Jaaziel ~ Miguel Galvez

Miguel Galvez
Messages : 263
Matricule : G8 - 2231
Métier/Activité : laverie / mécanique
Humeur : fulminante
Sam 17 Oct - 16:37
Miguel Galvez
Black Perros
Jaaziel
« J'voulais fumer une clope sur la Lune »
Carte d'identité
Prénom & Nom: Miguel Galvez - Surnom : Jaaziel

Matricule: G8 - 2231

Âge: 30 ans

Taille: 1m84

Poids: 77 kilos

Couleur des yeux: Bleus

Lieu de naissance: Colonie

Origine: Mexicaine

Situation familiale: Mère décédée. Père non reconnu. Un demi-frère de 10 ans son cadet.

Motif(s) d'incarcération: Officiellement, braquages et blessures graves sur un membre de l'autorité

Années de détention: 22 ans

Années effectuées: 4

Groupe: Perros

Fonction/métier: Bras droit chez les Perros / Mi-temps en réparations mécaniques et mi-temps à la laverie


Traits physiques


Grand. La taille d'un homme à peine au-dessus de la moyenne, imposant. Menton levé, épaules droites, dos dressé, mais Miguel fait beaucoup plus grand encore. Il tient sur ses jambes, donne le sentiment que se trouver sur son chemin ce serait se faire bousculer sans aucune considération. Un corps solide, faussement sec, car peaufiné par les rondeurs de la trentaine, des cicatrices et des tatouages çà et là. Une cuisse brûlée. Une peau brouillonne. Claire, malgré ses origines.

Noir. Regard noir la plupart du temps. Sinon moqueur, espiègle, chieur. Pourtant ses yeux sont presque clairs quand l'orage n'y gronde pas, parce qu'ils sont bleus et perçants comme des éclairs. Il a les yeux qui sourient quand il sait qu'il va faire une connerie, quand il suit ou qu'il juge, qu'il apprécie. Des petites rides commencent à poindre dans les coins externes, près de ses cils sombres et courts, le visage trop souvent troublé et malmené par les tourments d'années mentales. Il a le sourire de travers. Les dents trop carrées, trop écartées, trop pointues, trop droites ou on ne sait pas vraiment. Mais sa bouche parait trop grande quand il sourit pour narguer, carnassier, et il a l'air de pouvoir mordre l'âme de sa proie, sinon les tripes qu'il prend plaisir à malmener.

Détruites. Comme les tenues qu'il portait, parce qu'il ne prend pas soin de ses affaires et que le matérialisme est à l'opposé de sa personnalité. En prison sa combinaison subit ses quatre années, malgré qu'elle soit changée et qu'il noue souvent les manches autour de ses hanches pour rester en débardeur. Si les bijoux n'étaient pas interdits, il continuerait à porter des bagues autour des doigts. Des élastiques les remplacent parfois pour combler le vide contre ses phalanges.

Rasé. Au plus court, son crâne apparent sous quelques millimètres de cheveux sombres. Autrefois il les colorait, de couleurs disgracieuses sûrement, comme un punk de rue qu'il était. Maintenant ça à l'avantage de ne pas réussir à l'attraper, de ne pas le tenir par la crinière comme lui le fait. Militaire. Pour sur, il inspire le combat mêlé à l'audace d'un indiscipliné.

Dossier mental


Qualités: Loyal - Débrouillard - Franc - Généreux - Courageux (ou bête?) -Sensible (à sa façon...)

Défauts: Hyper possessif - Vantard - Colérique - Violent - Nerveux - Trop franc

Orientation sexuelle: Bisexuel, bien que son homosexualité ne soit pas assumée en dehors la prison.

Comment gère-t-il l'hostilité? Il cogne. Miguel est le genre à partir au quart de tour, même si l'âge l'a rendu plus réfléchi et observateur. Il ne contrôle pas toujours sa colère, elle claque et se compare à la bête qui sommeille en lui, qui s'endort puis qui surgit. Fut un temps où elle était incontrôlable, mais aujourd'hui, elle se fait de plus en plus vieille.

Que pense-t-il de l'écart de privilèges entre les colonies et les Terriens? Il s'emporte comme un politique improvisé au fond d'un bar. Il trouve évidemment ça injuste, au point qu'il exècre les terriens. Il aspire à une justice plus complexe et des solutions plus larges afin d'assurer le confort de tous êtres. Mais bon... à force de défaites et de fatalité, sa propre solution reste de cogner.

Quel est son plus grand rêve? Un monde changé et une idéologie impossible. Peut-être que son désir le plus profond serait de ne plus voir les injustices de cette société. Mais puisqu'il vit un cauchemar, il en crée. Son plus grand rêve n'existant pas et ses rêves étant inaccessibles, il crée le pire et combat le mal par le mal avec pour propre privilège de jouer les aveugles lui-aussi.

Quel est son pire cauchemar? S'effacer et se mettre en retrait: s'entendre. Alors il gueule à plein poumons, de différentes manières au fil des années. Il va là où sonne le pire pour fuir le silence d'un repos qu'il ne croit pas mériter. Il a peur de ce qui serait bon pour lui, peur de s'ennuyer, peur de ne pas savoir aimer. Donc il déteste avec le cœur, et il crève de peur de ne plus savoir se faire remarquer et d'être ainsi laissé seul avec ses démons. Son cauchemar ? Lui-même.

Avec tout ça, autant dire qu'il supporte très mal l'isolement en quarantaine.

Quel est son but en prison? Vivre au jour le jour.

Description générale:

Ça tourne pas rond là-dedans ! Au début, ce n'est qu'une pensée antisystème, une envie de faire son propre chemin et de ne pas se plier aux règles. Miguel croit qu'il n'est pas un mouton, ni un loup d'ailleurs. Il ne ferme pas sa gueule. Il juge, il insulte, il cri. Il supporte très mal les injustices et son principal problème est que l'existence elle-même en est une pour lui. Il ne comprend pas ce monde, et ça le rend dingue de savoir qu'il n'aura jamais les réponses aux mystères de cette putain de vie. Pourquoi la connerie ? Pourquoi être là pour subir tout ça ? Pourquoi tout est-il blanc ou noir chez lui ? Il veut défendre, mais il frappe. Il veut protéger, mais il attaque. Au final, c'est la seule façon de satisfaire sa rage sans culpabiliser de faire partie de cette société sur laquelle il crache à longueur de journée. Il y a cette bête en lui qu'il ne contrôle pas. Tous les sacs de soufres que le monde lui renvoie dans la gueule et qu'il avale pour plus tard les recracher sans savoir se maitriser. Sa violence est celle qu'il voit depuis qu'il est né. Son assurance, il n'a pas eu d'autres choix que de la forger, donc il se croit vraiment invincible, il croit finalement que tout lui appartient. La confiance en lui, c'est ce qui lui a sauvé la vie. Au moins, ça rééquilibre un peu sa connerie de punk à deux balles...


Historique



"Moi j'en ai plein le cul de subir ce putain
de système tous les jours comme un connard !"

- La Haine



Maman chante

Sa mère, encore saoule au milieu du salon. Il est 4h du mat', Miguel n'est qu'un petit garçon. Et pourtant il la porte jusqu'au canapé, il la déchausse, la recouvre. Trop jeune pour porter ce poids, il n'a pour autant aucune envie d'un énième père pour le remplacer. Ils passent. Toutes les semaines un différent, parfois quelques mois, rarement une année. Et le petit garçon subit, ça semble cliché, mais il est là sans avoir été souhaité. Sa mère, elle est comme ça. Elle vit à cent à l'heure, elle aime s'exposer, elle rit et même qu'elle pleure. Elle est belle. Dans les yeux du gamin, ça devient banal, et chaque matin, il est là pour la porter.

Second souffle

Mizar, de toute façon c'est qu'un p'tit con. Assez con pour un nom pareil. Miguel n'est pas d'accord avec ce qu'il raconte et il n'apprécie pas qu'on critique ses fringues et encore moins sa mère. Alors il cogne. Il cogne jusqu'à avoir mal aux doigts, au poignet puis au bras. Lorsqu'un enseignant arrive, c'est déjà trop tard, or dans ce genre de quartier ce n'est pas rare. Miguel est renvoyé et placé dans un internat. Il a l'étrange impression d'enfin respirer. Ici, ce nouveau père n'y est pas. Il prie pour qu'on ne vienne pas le récupérer, mais il se sent une énième fois abandonné.

Grandir, c'est oser dire j't'emmerde

Il a la rage lorsqu'il regarde la Terre. Et il les voit, ces putains de bourgeois, les pieds dans l'herbe et sous le poids d'une autre gravité. Il imagine alors. Il les envie, puis il les déteste. Aujourd'hui en histoire on a parlé du sujet, et ça l'a fait chier. Pourquoi son ciel a lui est-il couvert ? Pourquoi ses frontières sont-elles brutales ? Ici, ça pue le chien et le métal rouillé. Il s'imagine être un point lumineux vu d'en bas. Et ça doit être beau hein ? Une étoile qui pue la merde et qu'on éloigne bien assez. La regarder de loin et en même temps l'ignorer.
Il les emmerde, ceux d'en bas.

Alors c'est ça que Dieu fait ?

Dieu fait parti de sa vie, car on en parle autour de lui. On dit qu'il est là pour lui et qu'il va l'aider à trouver sa voie. Alors le jour où Miguel commence à se faire de vrais amis, et qu'il se rapproche de la famille de Davi son acolyte à l'internat, il se dit que rien n'est impossible. Il se sent moins seul quand il rejoins sa fratrie, qu'il apprend à connaître ses deux frères et sa sœur. Mais un jour une bagarre et Davi tombe du toit. Miguel est là pour le voir, et un de ses frère aîné aussi. Alors, Miguel ne croit plus en rien. Rien qui ne concerne que lui. Désormais le monde lui semble immensément grand, et lui si petit, pour une colère qui le trahit, prend tout ce qu'elle peut dévorer et gonfle à l'échelle des tares de la société. Il se sait seul désormais. Il s'en fout. Il s'en fout de tout quitte à crever.

La bête que j'ai dans le torse me tord les entrailles

Sa bouche est une arme quand il flingue les théories de ses professeurs. Ses poings sont des cris quand ils frappent les casiers et les autres ratés. L'école, ce n'était pas fait pour lui. Ensuite, rentrer à la maison, c'était loin d'être la solution. Pourtant il essaie, quelques mois à peine avant qu'adolescent il se fasse adopté par la rue. Il s'y fait. Il apprécie, car ça lui donne un sentiment de liberté. C'est là qu'il apprend, qu'il comprend plus ou moins cette vie. Elle lui semble plus facile à cueillir quand elle se montre honnête, et ainsi il la comprend dans ses défauts et ses faiblesses. Il la veut sincère. Et de squat en squat, il se pose avec ceux qu'il ne croit pas être des amis. Les amis, ils se feront dans le temps. Il y en a qui se forgent, qui envahissent de plus en plus son environnement au fur et à mesure qu'il sait comment les prendre, les appréhender et les pardonner. Puis entre temps on lui dit qu'il faut travailler, alors naïf il va bosser. Or, chaque ordre le fait vriller. Il abandonne, il s'en va frauder, voler, agresser ces patrons qu'il a si bien envoyé chier. Puis on lui dit qu'il doit rejoindre un gang, que ce sera plus simple. Il refuse. Les ordres le font vriller.

Parce qu'il y a toujours cette bête qui fait sa place à chaque fois qu'il grandit.

Lèche mon sang, il a le goût des étoiles

Il sort des chiottes de ce bar, et il y a ce mec au comptoir qui a le visage masqué. Son chien renifle ses bottes, mais le gars n'a pas l'air de l'avoir remarqué. Il a le flair son clebs, c'est probablement pour ça que Miguel l'aime autant, comme tous les chiens d'ailleurs. Et celui qui se tient comme un con au comptoir sans pouvoir boire, il va le voir. Il le nargue. Oui, il le lui dit qu'il est con. Puis plus tard il l'invite. Il le tient. Ce regard il l'a accroché. Ainsi Ares rencontre Jaaziel. Sur ce comptoir, sans pouvoir boire.

Jaaziel

Quand il se croit adulte, il se fait appeler Jaaziel. Mais Jaaziel c'est qu'un crétin qui domine dans les braquages et qui ne fout rien de ses journées. La tune, il en fait rien. Il nourrit ses chiens. Il traîne devant les supermarchés. Il lui arrive de se droguer, juste pour fuir un instant et pour pouvoir s'oublier. Mais il en a trop vu pour plonger. C'est comme pour ces gangs. Il fonce, mais il a conscience du chemin vers lequel tracer, parce que seul lui-même peut se détruire, sans l'aide d'autrui, jamais. Son addiction à lui c'est l'adrénaline de sa colère. Les ressentiments dans lesquels ils s'enfoncent, son manque de respect envers lui-même et ceux qui ont l'affront de l'aimer. Jaaziel s'en prend à ceux qui ont tout. L'argent. Les sentiments. Et pour se faire pardonner il vole aux plus riches pour donner aux pauvres. L'argent il s'en fiche. Il gueule dans la rue. Il s'insurge, il fait de la politique. Ses convictions c'est tout ce qui lui reste, tout ce qui lui alimente l'esprit.

Un jour il se fait attraper parce qu'il en a trop fait. Trois années de prison sur sa colonie. Il s'y fait.

Petit frère

On ne sait pas comment, mais le bébé est en bonne santé. Il est robuste parce qu'il a su surmonter les addictions de sa génitrice. C'est comme ça qu'il l’appellera sans doute, plus tard, quand celle-ci crèvera de son alcoolisme alors qu'il apprenait à peine à marcher. Le gamin reste sous la garde de son père et Miguel fait de son mieux pour venir le voir en supportant ce dernier. Il veut le lui enlever, mais le jour où il vient le chercher le petit n'est plus là. Il est placé, de familles d'accueil en familles d'accueil. Miguel se dit que c'est probablement mieux ainsi.

Tu brûleras en enfer

Il y a encore cette lueur sous le verre. La lumière est éteinte, ou plutôt elle s'efface. Jaaziel fixe le plafond de la chambre d'hôtel et il pense à quel point il est fatigué. Il y a cet autre corps qui se meut à ses côtés. La fumée d'une clope partagée. La lueur rosée par la fenêtre qui dessine leur nudité. Sa cuisse encore sévèrement marquée par les flammes d'un incendie semble plus lisse ici. Il y a quelques semaines déjà, une explosion dans un bâtiment délabré avait failli lui coûter la vie. Ares, présent ce jour là, était resté. En bon chien, il ne l'avait pas laissé.

Ce soir, Jaaziel veut changer. Ares veut encore l'aider, et après tout ce qu'ils ont traversé il veut lui promettre qu'ils vont fuir ce nouvel enfer ensemble. Avancer. Éteindre cet incendie qui les emprisonne depuis des années, à peine éteint durant son absence en taule. Il se promet qu'il va leur donner les moyens de se casser. Un dernier braquage... allez.

Te quitter

Les sirènes rugissent, elles menacent, elles sont là. Ils sont foutus. Les otages n'étaient pas prévus, et pourtant ils se font encercler, leur plan a foiré. Jaaziel n'est plus que Miguel, il est démuni, il veut partir et s'en sortir. Ça ne devait pas se passer comme ça, d'ailleurs, ça ne se passait jamais comme ça. On les a balancés, c'est sur. Et quand les flics lancent l'assaut, ça panique. Quand le squad passe en mission suicide dans l'espoir de sauver des vies, ça fuse, ça éclate. Ça n'aurait pas dû être ça. Les victimes ne viennent pas de lui, mais de la peur de voir tous ses rêves s'envoler. Et au milieu du massacre, Miguel se fait attraper. Les mains dans le dos, on le neutralise. Il aura au moins eu l'un d'entre eux. Des siens, eux ils en auront eu deux.

Son jugement sera moins virulent parce qu'il aura blessé, mais tué personne. On l'accuse néanmoins de tout ce qu'il a fait, sans le dire, manque de preuves pour cette vie de dégénéré. Puisqu'on ne peut le condamner pour tous les autres délits dont il est le fier créateur, on l'envoie directement à Rikers, là où on se débarrasse des ratés comme lui.

Cœur en chien. Loco.

Loco, c’est comme ça qu’il se fait appeler, mais ce visage il le connaît. Le frère de Davi. Alors Miguel lui raconte tout, pour tout ce qu’ils ont partagé. Ils font partie de la même fratrie malgré les années. Et les années passent justement et sans s’en rendre compte Miguel obéit. L’âge lui donne plus de docilité ou peut-être l’affection qu’il a pour ce frère qui lui promet de le protéger et que lui-même veut couver. Jaaziel est derrière lui et Miguel retrouve sa famille. Fidèle bras droit de ce gang basé sur les mêmes ressentiments que lui, de ce jour où Davi est tombé de ce toit.
Pseudo: Nevroz

Age: Bientôt la fin

Comment avez-vous connu le forum? Il a poppé dans ma tête °-°

Le mot de la fin?  Jaaziel ~ Miguel Galvez 1193048383  

Nikita Belinski
Messages : 56
Métier/Activité : Jardins
Humeur : Douce
Dim 15 Nov - 17:21
Nikita Belinski
Krova
Tu es validé !


J'te souhaite pas la bienvenue je connais beaucoup trop bien ta trogne ! Par contre je te valide avec ma sainte baguette pour bénir cette -foutue fiche- magnifique fiche qui t'aura arraché sueur et peine ! Toujours aussi belle plume.

Ta cellule se trouve dans la zone #1 et ton camarade de cellule pas de bol… c'est Indiana. Que la force soi avec toi padawan.

Maintenant que tu es officiellement enfermé des nôtres, tu peux dés à présent réserver ton avatar. Tu seras, du reste, ajouté automatiquement à la liste des métiers. Une fois fait, tu peux faire une demande de lien ou une recherche rp afin de commencer l'aventure, et dans un même temps créer ton carnet de bord. Les intrigues sont à ta disposition si tu souhaites te pencher vers une quelconque enquête :)

Bon chance.

Jaaziel ~ Miguel Galvez
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1
Sujets similaires
-
» Perdus ici - Miguel Galvez

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
RikersSJP :: administration :: Les incarcerations :: Fiches validees :: Les prisonniers-
Sauter vers: