les yeux sont les fenêtres de l'âme - Glaz L2vo
An 2588. Nous sommes à Rikers Space Jail Processing, un centre d'incarcération spatial. Détenus, surveillants, médecins, employés ou même pilotes chargés des vaisseaux de sauvetage, vous séjournez dans la station la plus éloignée du monde terrestre et des colonies qui gravitent autour de la Terre. Mais sauriez-vous percer le secret qui plane sur la Sedna Corporation, l'entreprise à l'origine de Rikers ?
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les yeux sont les fenêtres de l'âme - Glaz

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Ven 29 Jan - 21:29
Invité
Glaz
« Et l’Œil, dans la tombe, regardait Caïn. »
Carte d'identité
Prénom & Nom: Lazar Ienine

Matricule: I6 – 9927

Âge: 27 ans

Taille: 1m95

Poids: 57kg

Couleur des yeux: Gris blanchâtres

Lieu de naissance: Lunaire

Origines: Slaves

Situation familiale: Un père décédé, une mère qui est tout comme.

Motif(s) d'incarcération: Homicides prémédités en série

Années de détention: Perpétuité

Années effectuées: Cinq

Groupe: Krovaskaïa

Fonction/métier: force de frappe / buanderie


Signes de reconnaissance

feat. L’aveugle de La maison dans laquelle

Visage: Long, étiré, fin. Paradoxe, Glaz a l’air jeune, il a l’air si vieux tout à la fois. La peau est lisse et pourtant, les traits sont marqués, obtus. Des angles raides sur lesquels on pourrait se couper les doigts. Il pourrait être joli s’il n’avait pas l’air aussi abimé, même ses lèvres sont sanglantes à force d’avoir été usées par ses dents.

Cheveux: Longs et noirs, ils s’effilochent, sont en train de mourir ou bien déjà morts. Secs comme pas possible. Plus d’une fois, ses mèches se coincent au creux de ses lèvres.

Musculature: Inexistante, svelte au point d’être maigre. Des creux dans son corps, dans ses os qui apparaissent saillants.

Allure générale: Monochrome et longiligne, il se dégage quelque chose d’à la fois calme et morne de lui. Impersonnel au possible, c’est comme s’il était sur le point de disparaitre ou bien, de devenir transparent. Sa présence même s’efface, il est presque invisible.

Détails sur la tenue: Depuis son entrée à Rikers, il a maigri et cela se voit. La combinaison n’est pas customisée et, si elle n’est pas bien fermée, elle s’évase sur ses épaules. Trop grande pour lui. En revanche, on ne saurait imaginer les poches cachées à l’intérieur, de quoi y flanquer un petit quelque chose, une lame de rasoir bienvenue.

Signes distinctifs: Des yeux gris, littéralement gris. Limite translucides. La génétique s’est foiré quelque part mais heureusement, sa vision n’a pas été trop affectée. Néanmoins, les fortes lumières l’aveuglent totalement.

Autres: Osseux, ses mains ressemblent à des pattes d’araignées. Ni tatoué et pas plus percé, Glaz ne garde aucune trace, si ce n’est, peut-être, une cicatrice au creux de sa paume droite.


Dossier mental
Qualités: Calme ; Toujours très poli ; Infiniment patient ; Passionné ; Précieux quelque part

Défauts: Frustré ; Secret ; Ne ressent pas d’empathie ; Obsessionnel ; Rancunier ; Il fait mine de ne pas comprendre quand il ne veut pas répondre ; Des pulsions sadiques dures à réprimer

Orientation sexuelle: Si on s’en réfère aux trouvailles de l’enquête, sa préférence irait vers les femmes adultes âgées entre 20 et 35 ans, majoritairement des brunes aux yeux clairs, les cheveux souvent coupés courts. Et si la description matche relativement bien, Glaz pourrait affirmer que ce n’est pas tout à fait vrai, il y a eu des exceptions dans son dossier et certaines, dans les cas les plus rares, n’étaient pas des femmes.

Comment gère-t-il l’hostilité ? Avec un calme certain, on pourrait même dire qu’il s’écrase complètement face à l’agressivité. De loin, on pourrait facilement dire que c’est une victime. Seulement voilà, Lazar n’oublie pas. Il se souvient de tout et retient qui lui a fait du mal, qui a blessé ses ‘‘proches’’. Et lorsqu’il se venge, il sait prendre son temps pour être parfaitement certain que ça fasse mal.

Que pense-t-il de l'écart de privilèges entre les colonies et les Terriens? Il n’en pense pas grand-chose, les terriens sont chouchoutés et les coloniens pourraient agir s’ils le voulaient vraiment. En fait, il trouve la situation générale relativement déplorable et regrette qu’il manque de personnes assez intelligentes pour le réaliser.

Quel est son plus grand rêve? Pouvoir aimer pleinement quelqu’un sans qu’on vienne lui arracher cette personne ;

Quel est son pire cauchemar? Être seul, définitivement seul et mourir seul.

Quel est son but en prison? C’est avec calme qu’il l’envisage, survivre le plus longtemps possible mais surtout, trouver le moyen de s’évader, même si le plan parait infiniment long. Si Glaz n’a pas de projet précis, il ne compte pas mourir en prison.

Description générale: [250 mots minimum] Il parait que le silence en dit plus que les mots. Qu’il possède son propre langage. Lazar ne craint pas le silence, il n’en a jamais eu peur. Et lorsqu’une présence l’accompagne, il pourrait totalement l’embrasser. C’est ça, qui importe le plus. La solitude est le pire des fléaux, c’est qu’il ne peut supporter. Pourtant, on pourrait remarquer avec amusement qu’il n’est pas le plus sociable des hommes. Il évite de parler, ne va pas forcément vers les autres et se fait discret. Mais il y a une différence entre être expansif et aimer le contact des autres. Il est aussi plus facile d’observer le monde de loin que de s’y mêler pleinement. L’envie est là, pourtant, elle guette comme une bête avide mais contraint par une force invisible, Lazar se retient et cela vient nourrir l’une de ses nombreuses frustrations internes.
Parce que s’il se tient bien, propre sur lui et particulièrement poli envers ses pairs, qu’il a une sincère envie de se mêler à eux, c’est pour mieux emprunter l’apparence que cette société lui ordonne d’arborer. C’est un carnaval sans fin, un manège fou qui se sera complètement emballé. Lazar imite les convenances à la perfection sans parvenir à les comprendre, l’homme est un acteur au script interminable. Il essaye, il essaye pourtant si fort, il n’a jamais réussi à ressentir les émotions qu’il imite. Et cet effort infernal est probablement ce qui le rend un peu fou. Il tente et se rate immanquablement mais aux yeux des autres, il n’est qu’un saint. Un écho pâle de la lune qui l’a vu naître, auréolé de blanc. C’est qu’il parait si doux, les gestes tendres au bout de ses doigts, on oublierait presque à quel point ils sont crochus. Longs et élimés, assez pour étreindre finement une gorge offerte, Lazar, il aime quand le souffle s’écoule lentement. Ils partent sans vraiment s’éloigner et ainsi, il les garde rien que pour lui, pour toujours.
S’il y a quelque chose sur laquelle il n’a jamais menti c’est sur son amour dévorant. Il aime, quand quelqu’un lui happe le cœur, il aime si fort que s’en est insoutenable. Plus rien ne devrait les séparer, la mort ? C’est celle qui les lie, s’assure qu’on ne le quittera pas, pas consciemment. Puis les corps décrépissent et la peine est grande.
Il n’a jamais trouvé de solution à ce problème.

Historique
Elle lui a appris comment aimer.

Elle était toujours là, prête à s’occuper de tout, surtout de papa. Maman c’est une sacré femme. Ils vivaient dans un taudis sur ce caillou blanc, blanc comme les yeux de son enfant. Heureusement, il n’y avait pas beaucoup de lumière au fond du trou, alors le garçon peut voir correctement. Il y avait une époque où papa n’était pas trop là, c’était un temps qui s’étirait doucement, Lazar ne le voit pas ça, que papa ne veut plus rester. Que papa voudrait être ailleurs et ailleurs, il s’y rendait souvent. Heureusement, il y avait maman. Elle était là, toujours au poste, à caresser les cheveux de Lazar.
Et qui est un bon garçon ?
Et elle lui souriait avec une tendresse qui le déchirait. Avec papa, c’était pareil, toujours des gestes doux. C’était peut-être pour ça qu’il a fini par revenir. Ou bien pour des choses que l’enfant ne voyait pas. Il était plus fatigué papa, il devait rester au lit. Il était peut-être malade, mais au moins, il était là. Sa mère lui disait alors d’apporter son plateau, dedans, il y avait de maigres rations, ce qu’ils pouvaient se permettre. Des barres énergétiques, de la viande recomposée, quelques patates. Mais surtout, il y avait ce verre de jus où Lazar avait vu maman mélanger une poudre de cachets écrasés. Peut-être qu’au fond, il savait que c’était le prix à payer pour qu’ils soient une famille unifiée. Pendant ce temps, papa s’étouffait toujours plus fort, la fièvre grimpait. Jusqu’au jour, il y a eu ce jour, où il ne s’est pas réveillé.
Et c’est qui le bon garçon maintenant ?

Ils étaient toujours une famille, juste un peu différente maintenant. Il y avait la photo de papa sur un meuble, il arrivait qu’elle s’envole avec d’autres objets quand maman n’était pas d’humeur. Avec ça, juste quelques bleus, mais ce n’était pas grave, parce que maman revenait toujours lui caresser les cheveux. Et c’était ça, le plus important.

L’amour.

Il s’en rendit rapidement compte en voyant cette jolie fille, pendant qu’il écrasait les fourmis un à une sur son banc. Des parasites qui avaient réussi à voyager jusque dans l’espace pour envahir les plantes en pot et les rares espaces verts de la colonie. C’était une adolescente alors qu’il n’était encore qu’un enfant, mais elle lui rappelait quelque chose de familier avec ses longues jambes et ses courts cheveux bruns. Elle venait régulièrement dans le coin, porter des jouets aux gamins perdus comme lui. Elle restait un peu avec eux pour discuter, elle était un foyer pour ceux qui restaient dans la rue après l’école. Ce n’était pas que Lazar avait peur de rentrer non, il aimait au contraire faire trainer le temps et revenir à la maison au plus tard. Comme ça, il savait que maman montrerait son inquiétude à coup sûr, qu’elle le marquerait avec son amour.

Et il aimait ça.

« Je t’aime. » Qu’il lui a dit avec ses yeux grands. Deux grandes lunes qui dévoraient la demoiselle.
« C’est gentil. » Qu’elle lui a répondu.
Et lui attendait.
Il attendait.

Alors, il a commencé à la suivre, dès qu’il le pouvait. Il s’était fait une carte mentale de ses allées et venues. Au début, rester de loin, ça lui suffisait. Mais très vite, il a fallu qu’il aille la voir. Il devait la voir, il devait la toucher. Peut-être qu’elle n’aimait pas ça, elle lui a fait comprendre de ne plus recommencer, que si elle le retrouvait à lui tourner autour, elle préviendrait sa mère. Ah. Qu’elle la prévienne, il n’avait pas peur. Maman. Et un beau jour, après qu’il y ait eu des étrangers qui soient passés, la jolie fille n’était plus là à la sortie de chez elle. Ni dans le quartier. Entre temps, maman avait été mise au courant et de nouvelles marques sont venues orner ses bras, ses jambes. Puis de nouvelles caresses.

Je suis la seule qui t’aime.

C’est comme ça que se termine le récit de son premier amour. Mais ce n’est que ça, le premier, comme si on pouvait oublier les autres. C’est peut-être ça son plus grand malheur, Lazar n’oublie pas, il se souvient de tout, de chacune d’entre elles, de chacun d’entre eux. Au début, il n’a pas chercher à tuer, c’était un accident. Elle lui rappelait tellement son premier amour qu’il n’a pas pu s’empêcher. Et quand elle a voulu partir, il a simplement cherché à la retenir.
Il l’a tenue.
Il l’a tenue si fort.
Qu’elle n’a plus jamais été capable de le quitter.
Dans un premier temps, il a paniqué. Il a essayé de la réveiller, sans succès. Il ne lui voulait pas de mal, alors pourquoi a-t-il commencé à lui retirer ses vêtements ? Vous savez, quand on aime, on est rarement rationnel. Il l’a embrassée et la serrée dans ses bras ce qui lui a semblé être une éternité.

Une éternité, ce n’était pas assez.

Il était resté dans la maison familiale après que maman avait été emmenée de force. Elle faisait beaucoup de bruit à ce moment-là et il parait qu’elle était dangereuse pour elle-même, pour les autres. S’ils savaient. En tout cas, l’appartement lui était revenu et il était dedans lorsque l’incident était arrivé. Il n’était pas sorti tout du long, puis, il a commencé à craindre pour l’odeur, les voisins auraient pu dire quelque chose. Alors il a été chercher une scie à métaux et est allé la retrouver dans la baignoire où il l’avait laissé. Il y avait versé des glaçons mais l’inévitable était en train d’arriver.
Elle aussi, aura été une première fois.
Puis il y a eu les autres.

C’est devenu évident qu’il ne pouvait plus rester habiter au même endroit alors il a déménagé et ça aura tenu, pendant un temps, pendant qu’il découvrait de nouvelles choses, qu’il expérimentait. Sauf qu’être un génie du meurtre, ça ne s’invente pas et on le retrouva bien vite. On l’arrêta pour une partie de ses crimes, tous les corps n’ayant pas été retrouvés. Lui, ne voyait pas l’intérêt de mentir alors il raconta tout. La seule chose qu’il occulta, c’était l’emplacement des victimes restantes. Il voulait qu’il reste une partie de lui avec elles, quelque part.

L’examen psychologique était de trop, selon lui. Il n’était pas fou et était parfaitement conscient de ce qu’il faisait, de ce qu’il avait fait. Alors, il aurait pu plaider la folie et éviter la prison mais pourquoi faire, Lazar ne trouvait tout simplement aucune raison validant cette stratégie. Dans tous les cas, c’était une peine à perpétuité, et il se voyait mieux s’échapper de prison que d’un asile.

« Il parait que tu les as baisés ? » Il n’était pas arrivé depuis longtemps que des rumeurs circulaient déjà. Un meurtrier, il n’était pas le seul dans cette prison, en revanche, il était probablement plus rare de trouver quelqu’un qui avait aimé ses victimes aussi fort que lui. Il n’était pas froissé par les racontars, même s’ils manquaient de délicatesse à son goût. Il sourit donc doucement en penchant légèrement la tête :
« Ce que tu demandes, c’est personnel. »
L’initiation n’avait pas été si douloureuse, c’était ce qu’il se disait. Au moins, il était content d’avoir trouvé une famille, la Krovaskaïa n’est clairement pas pire qu’une autre. Et ses compétences avaient trouvé un point d’encrage, un endroit où elles seraient reconnues à leur juste valeur. C’est quelque chose qui l’amusait quand il y repensait, au début, on ne le prenait pas au sérieux. Puis on lui a commandité une mission, personne ne pensait qu’il allait s’exécuter.
Et il l’a fait.
C’était si simple, il lui a suffit de cacher une lame de rasoir, l’autre type n’a rien vu venir.

Et l’isolement, au final, c’est quoi ? Il suffit juste d’attendre. Ainsi parfois, on peut l’entendre siffloter, de l’autre côté de la porte. La prison, tout lui semble si normal. Il pourrait presque s’y plaire, la seule chose qui lui manque, qui lui manque tant …

… c’est une personne à aimer.

Pseudo: Charlie
Age: Toujours 27 ans

Comment avez-vous connu le forum? Déjà là

Le mot de la fin? Je suis faible.

Nikita Belinski
Messages : 56
Métier/Activité : Jardins
Humeur : Douce
Ven 29 Jan - 21:44
Nikita Belinski
Krova
Ok, ok j'aime pas dire bienvenue sur les fiches (parce que je suis une fucking maniaque qui aime pas avoir des sujets horps rp dans sa liste de profil ) d'habitude mais je dois dire que j'ai hâte de lire la suite de ton illustre personnage.

les yeux sont les fenêtres de l'âme - Glaz 12638369

avatar
Sam 30 Jan - 8:38
Invité
J'aime le clin d'oeil à Victor Hugo ♥ *corde sensible*
Rebienvenue Monsieur cheveux en toile d'araignée \o/
C'est une vraie industrie du DC ici XD

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Sam 30 Jan - 8:50
Invité
Wow, ce "petit" promet ! Rebienvenue !

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Sam 30 Jan - 10:48
Invité
Nikita Belinski a écrit:
Ok, ok j'aime pas dire bienvenue sur les fiches (parce que je suis une fucking maniaque qui aime pas avoir des sujets horps rp dans sa liste de profil )

les yeux sont les fenêtres de l'âme - Glaz 12638369

Ou parce que tu es une fucking associale les yeux sont les fenêtres de l'âme - Glaz 3542112596

Bienrevenue à toi petit grand brun et bon courage pour la suite de ta fiche !! les yeux sont les fenêtres de l'âme - Glaz 30969993

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Sam 30 Jan - 15:08
Invité
Ce perso.. les yeux sont les fenêtres de l'âme - Glaz 2817153971 J'adore cette subtilité qu'il dégage tout en étant aussi inquiétant o,o Pi franchement tu me régales avec ta plume, hâte de lire la suite ! ♥

Miguel Galvez
Messages : 263
Matricule : G8 - 2231
Métier/Activité : laverie / mécanique
Humeur : fulminante
Dim 31 Jan - 22:40
Miguel Galvez
Black Perros
Re-bienvenue ihih les yeux sont les fenêtres de l'âme - Glaz 3542112596

Je suis impatient de lire tout ça! Je m'occupe de toi demain ♥

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Lun 1 Fév - 0:44
Invité
Rrrrrrre bienvenue ♥

avatar
Lun 1 Fév - 3:38
Invité
Rebienvenue BB ♥

Miguel Galvez
Messages : 263
Matricule : G8 - 2231
Métier/Activité : laverie / mécanique
Humeur : fulminante
Mer 3 Fév - 23:23
Miguel Galvez
Black Perros
Tu es validé !

Tu nous as à nouveau offert un personnage très intéressant, et j'avoue être très curieux de le voir en interaction avec les autres (surtout Candy ou Ryu/Icare, j'avoue, entre timbrés passionnés)  les yeux sont les fenêtres de l'âme - Glaz 4237689306

Ce fut agréable à lire, qui plus est, j'ai beaucoup aimé l'histoire qui donne presque une vision de ce qu'il s'est passé, selon la sienne. Tout en légèreté pour des atrocités  les yeux sont les fenêtres de l'âme - Glaz 1209056631

Ta cellule se trouve dans la zone 01 et ton camarade de cellule n'est autre que Matzen Desmon...  les yeux sont les fenêtres de l'âme - Glaz 1592124033
(on devra parler en pv toi et moi hihi )

Maintenant que tu es officiellement enfermé des nôtres, tu peux dés à présent réserver ton avatar. Tu seras, du reste, ajouté automatiquement à la liste des métiers. Une fois fait, tu peux faire une demande de lien ou une recherche rp afin de commencer l'aventure, et dans un même temps créer ton carnet de bord. Les intrigues sont à ta disposition si tu souhaites te pencher vers une quelconque enquête :)

Amuse-toi bien !

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» il n'est qu'un ange dont les ailes se sont envolées. ◇ aimé. (uc)

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