Built to break - Mauro L2vo
An 2588. Nous sommes à Rikers Space Jail Processing, un centre d'incarcération spatial. Détenus, surveillants, médecins, employés ou même pilotes chargés des vaisseaux de sauvetage, vous séjournez dans la station la plus éloignée du monde terrestre et des colonies qui gravitent autour de la Terre. Mais sauriez-vous percer le secret qui plane sur la Sedna Corporation, l'entreprise à l'origine de Rikers ?
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Built to break - Mauro

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Sam 16 Jan - 18:50
Invité
Grey
« Boxing isn't a sport, it's survival »
Carte d'identité
Prénom & Nom: Mauro Phillips

Matricule: P6 - 0927

Age: 27 ans

Taille: 167cm

Poids: 61.3kg

Couleur des yeux: Bleu terne

Lieu de naissance: Colonies

Origines: Italo-anglais des étoiles

Situation familiale: Deux parents théoriques, une ancienne colocataire-amie moins théorique

Motif(s) d'incarcération: Troubles à l’ordre public, hacking

Années de détention: 9

Années effectuées: 2 et quelques mois

Groupe: Risen Blood

Fonction/métier: Hacker (type bas-de-gamme) pour les Risen Blood, à mi-temps à la bibliothèque


Signes de reconnaissance

feat. Ianthe de The locked tomb

Visage: De loin cet air de finesse et de fausse jeunesse, des lèvres pleines et des traits altiers. De près un peu de trop, un peu de nez trop grand et de travers, de bouche trop pulpeuse, de cernes trop marqués, de sourcils pas assez visibles et de petites cicatrices -arcade, lèvres, nez, des blessures de boxeur- pour être vraiment beau.

Cheveux: De loin clairs, longs, une cascade laiteuse qui lui tombe devant les yeux et caresse ses omoplates dans le dos. De près, ce mélange de blond jamais entretenu et de blanc précoce aussi séduisant que la neige sale, manifestement laissé à pousser par manque de volonté d’en faire quoi que ce soit.

Musculature: Utile, efficace, créée sur les rings. Le poids super-léger n’est pas là pour faire beau mais pour faire mal : il n’y a pas de définition, pas d’esthétique; il y a de la force dans le crochet et de la hauteur dans le saut.

Allure générale: Il n’est pas grand-chose. Il n’est pas non plus rien. Il se tient droit parce qu’il le faut, il marche avec assurance parce qu’il ne sait pas faire autrement mais il n’a pas le charisme nécessaire pour faire des vagues et ne veut pas l’avoir. Tout ce qu’on retient de lui, lorsqu’on s’approche assez pour ne plus se laisser berner par l’idée vague d’une chose blonde et évaporée façon créature des bois, c’est la certitude qu’il n’a rien à faire de lui-même

Détails sur la tenue: La combinaison orange portée généralement nouée aux hanches, un haut blanc lâche en guise de cache-pudeur, des lacets décolorés en blanc et une bande de boxe cachée au fond de ses poches -moitié comme porte-bonheur, moitié pour pouvoir la mettre s’il a besoin de se défendre sans se casser de nouveau les poignets.

Signes distinctifs: Une absence totale de tatouages, piercings, altérations du corps quelconque. Rien à quoi s’accrocher vraiment.

Autres: Mauro n’a pas confiance en sa propre enveloppe charnelle. C’est visible dans de petits détails subtils, dans cette manière de s’étirer souvent pour chasser les blocages de son dos, dans sa jambe droite qui traîne plus que la gauche, dans le soin qu’il met à bouger son bras gauche pour ne pas malmener son épaule. Ce n’est pas parce qu’il cache les symptômes de ses anciennes blessures qu’il arrive à parfaitement les faire oublier.


Dossier mental
Qualités: Constant, d’une humeur égale, prévisible et réglé comme une horloge il est, en somme toute, quelqu’un sur qui on peut compter pour ne pas surprendre. Il ne cherche pas spécialement d’ennuis -mais ne les fuit pas-, il ne provoque pas l’autorité -mais ne s’étale pas devant ses représentants. Il n’est pas socialement incapable mais sait vivre sa vie s’il est seul également. Il apprend vite et contrairement à d’autres, il aime participer pour de bon à tout ce qui se passe autour de lui. Il possède la ténacité, la volonté face à l’effort et le stoïcisme standard des boxeurs.

Défauts: Il possède également l’absence totale d’auto-protection, l’acharnement et la propension au silence des boxeurs. Petite cuillère émotionnelle, il ne sait pas gérer son propre cerveau et se contente d’ignorer chaque signal de détresse qu’il envoie. Il n’est pas spécialement patient : avoir à attendre, les tâches trop longues et les personnes qui parlent trop lui courent sur les nerfs. Il fait preuve d’un dédain massif pour son propre corps qui, à ses yeux, n’existe pas vraiment : il le pousse plus loin qu’il le devrait, ne se repose pas, ne se lave que parce qu’il y est obligé. Et il fait partie d’un gang de suprémacistes blancs. Ce n’est pas vraiment une qualité.

Orientation sexuelle: Il ne s’est pas vraiment posé la question : il a une libido non-orientée -ou orientée sur tout, peu importe, c’est fonctionnellement pareil.

Comment gère-t-il l’hostilité ? Comme lorsqu’il était sur un ring : en levant haut les poings devant son visage, en envoyant les coups, en poussant les autres dans les cordes, dans les fautes, dans les chutes au sol. Il se braque et se fait grand et se fait fort et violent, parce qu’il survit ainsi.

Que pense-t-il de l'écart de privilèges entre les colonies et les Terriens? Ayant grandi dans les colonies, il n’a jamais vraiment eu conscience de l’ampleur de cette différence. Il est difficile d’enrager pour quelque chose que l’on ne comprend pas, alors il est en colère mais il n’est pas prêt à se battre pour tout raser et remettre tous les hommes sont égaux en droits et en devoirs sur le tapis.

Quel est son plus grand rêve? Flotter. Flotter dans le rien, dans le calme, dans l’absence de présence, n’être plus qu’un esprit. Puisque ce n’est pas possible, sortir de Rikers et manger un gros repas avec son ancienne colocataire suffira.

Quel est son pire cauchemar? Vivre passé ses 30 ans, probablement.

Quel est son but en prison? Rester en vie, à la base. Obtenir au moins une once d’attention de Dad, maintenant.

Description générale: Mauro est taillé par l’indifférence.
Parce que ses parents ne le voyait pas, il a un besoin intense d’être quelqu’un aux yeux de celui qui est son père de substitution du moment. La personne qui a cet insigne honneur peut l’orienter tant que dure sa fascination, ce qui n’a jamais été une bonne chose pour lui -mais il n’en a pas grand-chose à faire. Le patriarche d’adoption du moment est Dad : il est donc dévoué aux Risen Blood, intéressé pour développer ses compétences en hacking, ne se mélange pas avec les autres s’il peut l’éviter.
A cause du silence des adultes autour de lui lorsqu’il était le souffre-douleur d’autres enfants, il a appris à tout taire. Il se gère -mal-, et il ne demande pas aux autres de l’aider même lorsqu’il le faudrait. Lorsqu’il craque, il est déjà trop tard et il ne peut plus vraiment guérir de ses maux. C’est ce qui est arrivé à son corps. C’est ce qui arrivera sans doute à son esprit aussi.
C’est parce qu’il a tant connu l’indifférence qu’il ne sait pas quoi faire de l’attention positive, paniquant lorsqu’il en reçoit. L’affection n’est pas quelque chose qu’il a appris étant jeune et même maintenant, son premier réflexe est de s’en éloigner le plus vite possible. Ceux qui parviennent à l’amadouer sont rares et le terrifient malgré tout l’amour qu’il a pour eux. Son ancienne colocataire est le meilleur exemple de ce paradoxe : il est prêt à mourir pour elle mais ce simple fait lui noue le ventre.
Et enfin, c’est cette absence d’attention envers lui-même qui le caractérise le mieux. Il se fiche de son état. Il ne voit aucun intérêt à prendre soin de lui, il n’est pas intéressé par son apparence ou son état général tant qu’il n’est pas dérangé par son état d’abandon. Tant qu’il peut faire presque ce qu’il veut de lui-même, qu’il est capable de marcher, de parler et de se défendre, tant qu’il ne tombe pas KO, il va bien. Peu lui importe que ce ne soit pas vrai. Ou qu’il voit très bien les signes avant-coureurs de l’énorme crise mentale qui lui fond dessus.

Historique
...
Mauro a quelques mois. Il pleure comme tous les bébés. Sa mère dit que si on l’ignore il finira par arrêter et ferme la porte de la salle de bain où est son berceau. C’est comme ça que tout a commencé.

Il a six ans. Le ciel artificiel est noir, la journée est finie. Il mange assis à la table. Devant lui, l’arrière du crâne de son père et plus loin encore, la lumière de l’écran qu’il regarde avec plus d’intérêt qu’il n’en a jamais accordé à son fils. Ta journée ?, qu’il demande parce qu’il le faut, parce qu’il est un père.
Rien de spécial, alors que Mauro porte la main à son flanc. Un bleu ininterrompu de ses côtes à ses cuisses. Peut-être un os cassé. Il ne sait pas trop. Juste l’école.
Son père n’entend même pas la vibration de douleur dans sa voix. Tant mieux, fait-il.

Il a neuf ans. Quel est ton nom ?, fait l’homme inconnu qui vient de le voir mettre en fuite deux des gamins qui voulaient le rouer de coups. Mauro, qu’il répond. Si c’est quelqu’un qui veut l’enlever, il peut. Ce ne sera pas grave.
Mais il ne l’enlève pas. Il lui donne l’adresse d’un bâtiment, un des gymnases spécialisés de la station. Il y a un ring d'entraînement. Un ring pour les matchs. Et il y a un entraîneur. Tout ce qu’il faut. Mauro s’y rend, l’inconnu lui dit qu’il va l’entraîner tous les jours à la sortie de l’école s’il le veut. Il accepte. Quel autre choix a-t-il ?

Mauro a douze ans. Il est sur un ring face à un gamin de son âge et tout autour, des adultes hurlent des encouragements. Pour lui. Pour son adversaire. Alors que son uppercut part, il se rend compte qu’il ne s’est jamais senti aussi bien qu’en ce moment : il a un objectif, des spectateurs, des règles du jeu. Même s’il prend des coups, il sait les rendre et il le fait dans le respect de l’esprit sportif. ALLEZ MAURO ALLEZ, meugle l'entraîneur. Derrière son protège-dents, il sourit.

Mauro a treize ans. Il est allongé sur le sol du ring et il hurle de douleur, l’épaule déboitée, le bras qui pend mollement à ses côtés. Sa première vraie blessure. Pas sa dernière.

Il a seize ans. Il a un sac sur le dos. Il est lourd, il contient toutes ses affaires, tout ce qu’il possédait encore chez ses parents. Dans la pièce principale, son père et sa mère regardent encore l’écran. Je pars, qu’il fait.
D’accord, dit sa mère.
Comme tu veux, dit son père.
Ce sera la dernière image qu’il aura d’eux : deux arrière de crânes et la lumière jaune de ce qui avait leur attention. Il la grave dans sa mémoire.

Il a dix-sept ans. Il dort à la salle d’entraînement. Il se bat pour de l’argent presque tous les soirs, occupant les autres pauvres types de la station avec sa sueur, son sang et ses poings. Il gagne sa vie. Son entraîneur est fier. Lorsqu’il est là, sur le ring, plus rien d’autre n’a d’importance.
Sauf qu’il se blesse.
La cheville, le genou, les poignets, les doigts, le visage. La cheville, le genou les poignets les doigts les… C’est un cycle. Ce qui guérit finit par casser de nouveau.
Mais toujours il remonte entre les cordes.
Toujours il relève les poings.

Mauro a dix-huit ans. Elle lui sourit, elle tend le bras pour qu’il lui serre la main et il le fait. Sam, enchantée !, il répond en murmurant son nom. Elle lui semble bizarre, cette colocataire qui veut bien de lui, mais il n’a pas d’autre choix que de l’accepter dans sa vie. L'entraîneur lui a dit qu’il devait se trouver un vrai endroit où vivre. Il a dû se rendre compte que la carrière de son protégé ne durerait pas beaucoup plus longtemps, alors il le pousse doucement mais fermement vers la sortie.

Mauro a dix-neuf ans. Il n’est pas remonté sur un ring depuis des mois. Il ne s’est même pas levé de son lit depuis tout ce temps. Ce n’est pas qu’il ne veut pas, c’est qu’il ne peut pas : les médecins ont été formels sur le fait qu’il doit rester au repos. Que la rupture musculaire de son mollet ne guérira que comme ça. Que s’il veut éviter une opération dont il n’a pas les moyens, il doit obéir à leurs ordres.
Alors il reste allongé sur son lit et il s’ennuie.
Puis il trouve de quoi s’occuper, parce que Sam est une fille fantastique et qu’elle lui suggère des vidéos d’initiation au hacking -des choses innocentes, comment améliorer votre four intelligent ou comment ajuster la luminosité de votre ampoule de salle de bain- pour qu’il aie au moins quelque chose à faire. Il n’y trouve certainement pas une passion mais il est plutôt doué lorsqu’il s’agit de contourner les sécurités de son frigo, alors il continue de le faire pour ne pas mourir d’ennui.

Il a vingt ans. L’entraîneur lui dit qu’il ne veut plus le voir dans la salle et sur le ring. Qu’il n’a qu’à trouver autre chose à faire. Derrière lui, un gamin de dix ans tout au plus frappe sur un sac.

Il a vingt ans. Au-dessus de lui, le panneau de ciel artificiel est éteint. Autour de lui, les passants s’inquiètent de cette coupure soudaine, ignorant à quoi elle est dûe. A qui elle est dûe.
A lui.
Au moins il a encore le contrôle sur quelque chose.

Mauro a vingt-et-un ans. On le contacte parfois pour qu’il rentre dans un système informatisé ou un autre, qu’il ouvre une porte, qu’il éteigne des lumières. Il accepte à chaque fois parce que c’est ce qui lui permet de payer pour le loyer, la nourriture, les vêtements sur son dos. Il ne demande jamais à quoi serviront ses manipulations. C’est pour ça qu’il continue à avoir du travail.

Il a vingt-trois ans. Sam lui brosse les cheveux, assise sur le canapé alors que lui est au sol, occupé à jouer avec une des lampes intelligentes du salon. Il l’a trafiquée pour qu’elle change de couleur lorsqu’il tapote sur son écran. Vert. Rose. Bleu. Vert. Jaune. Tu as de plus en plus de cheveux blancs, qu’elle remarque soudain.
Des quoi ? Il ne s’en est jamais rendu compte. Il ne sait même plus vraiment de quelle couleur ils sont supposés être.
Cheveux blancs. Tu les as forcément vus. Ils sont partout.
Il fronce les sourcils. Elle fronce les sourcils. Tout le monde a les sourcils froncés et il y a un moment de silence.
Tu te regardes dans le miroir parfois ?, demande-t-elle. Non. Elle n’a pas l’air étonnée.

Il a vingt-cinq ans et le juge le regarde de haut derrière son bureau. Trouble à l’ordre public. Il ne voit pas “allumer tous les sprinklers d’un quartier et rendre le ciel rouge” comme un trouble, mais peut-être qu’éteindre les feux de signalisation était de trop. Il ne se sent pas vraiment concerné en tout cas : se faire remarquer était le but, histoire de sortir du néant dans lequel il est depuis des années. Il ne pensait simplement pas que les policiers qui l’attraperaient n’auraient rien d’autre à faire que de monter un dossier contre lui, puis que le système judiciaire le prendrait au sérieux en tant que menace. Il regarde d’un air torve le juge sans bouger. Hacking. Voilà qui est plus cohérent comme chef d’accusation. Heureusement qu’ils ne peuvent pas le relier aux petits boulots qu’il a fait pour d’autres.
Neuf ans, et Mauro rit tristement. Est-ce beaucoup, est-ce peu ? Il ne le sait pas. Sam semble effondrée, elle. Il n’a de la peine que parce qu’elle en a. Il jure, alors qu’on l’embarque pour l’envoyer au loin, qu’il reviendra en vie. Qu’elle peut l’attendre et qu’il reviendra.
Parce qu’il ne s’est pas vraiment défendu pendant son procès, parce que le juge était mal luné ce soir, pour l’exemple ou pour des raisons qu’il ne veut même pas savoir, c’est pour Rikers qu’on le charge.

Mauro a vingt-cinq ans. Et un mois de détention. Les raisons de sa présence à Rikers sont remontées aux bonnes oreilles et une connaissance de connaissance de copiaute lui a fait savoir qu’il ferait bien de décolorer ses lacets. Il y a des gens qui pourraient t’aider, qu’il a dit, si tu les aides en échange. De bonnes personnes. Pas comme d’autres, a-t-il fini en jetant un regard sur le latino de l’autre côté du couloir.
Alors Mauro a décoloré ses lacets.
Et maintenant Dad lui souhaite la bienvenue chez eux, chez lui. Au milieu de ses frères. On lui tape sur l’épaule, on le félicite, et il se sent faire partie de quelque chose. D’une famille peut-être. D’un groupe qui le tiendra en vie assez longtemps pour qu’il puisse sortir de prison, certainement.

Il a vingt-sept ans. Et il est encore en vie.

Pseudo: Vi

Age: Quelque part autour de 30 ans

Comment avez-vous connu le forum? Alors y’a ce cuisinier, tu vois, et...

Le mot de la fin? Sysygie ?

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Sam 16 Jan - 19:56
Invité
J'adore ce qui se dégage de ton perso, c'est fou. Bienvenue par ici et bon courage pour la suite de ta rédaction ♥ Built to break - Mauro 2849309416

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Sam 16 Jan - 20:13
Invité
AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
Bon maintenant faut que je lise cette merveilleuseté Built to break - Mauro 937377659 Built to break - Mauro 937377659 Built to break - Mauro 937377659

EDIT : claque dans maggle. Il est comme tu l'as promis, sublime et raté, et il me fend le cœur Built to break - Mauro 753821148

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Dim 17 Jan - 1:57
Invité
Bienvenue, bonne chance pour ta fiche !

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Dim 17 Jan - 17:11
Invité
Bienvenuueeee ♥ beau bébé que voilà *_*

Miguel Galvez
Messages : 263
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Métier/Activité : laverie / mécanique
Humeur : fulminante
Dim 17 Jan - 17:31
Miguel Galvez
Black Perros
Bienvenue Built to break - Mauro 1112251846

Je suis complètement fan de ce qui se dégage déjà de l'avatar. Et en plus, un riseeeeeen Built to break - Mauro 41779613 !!!

Je suis curieux de lire tout ça, et je m'occupe de toi mardi Built to break - Mauro 74812901

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Dim 17 Jan - 18:29
Invité
Bienvenue !
Mauro a un truc, c'est indéniable ! J'ai été pris par son histoire Built to break - Mauro 4224168824 j'ai hâte de le voir évoluer dans la prison ! Et un premier aux lacets décolorés, yay !

Miguel Galvez
Messages : 263
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Métier/Activité : laverie / mécanique
Humeur : fulminante
Mar 19 Jan - 17:19
Miguel Galvez
Black Perros

Tu es validé !

Mauro est simple et j'aime beaucoup Built to break - Mauro 4224168824
Ce fut si léger et très agréable à lire, le personnage est très intéressant, à la fois "normal" et pourtant si particulier Built to break - Mauro 2286351639
Je suis trop impatient de le voir évoluer ! Et j'aime beaucoup tes interactions avec la colonie <3

Ta cellule se trouve dans la zone 01 et ton camarade de cellule n'est autre Personne. Monsieur Personne. (pour le moment)

Maintenant que tu es officiellement enfermé des nôtres, tu peux dés à présent réserver ton avatar. Tu seras, du reste, ajouté automatiquement à la liste des métiers. Une fois fait, tu peux faire une demande de lien ou une recherche rp afin de commencer l'aventure, et dans un même temps créer ton carnet de bord. Les intrigues sont à ta disposition si tu souhaites te pencher vers une quelconque enquête :)

Amuse-toi bien !


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